RENCONTRE DE LEPINE PPM.MP3 (38.01 Mo)
Le Parti progressiste martiniquais (PPM) est un parti politique martiniquais créé par Aimé Césaire et Pierre Aliker. Il est actuellement présidé par Serge Letchimy. Il se définissait à l'origine comme « un parti nationaliste, démocratique et anticolonialiste, inspiré de l'idéal socialiste » (art. 3 de ses statuts).
Source WIKIPEDIA
Il compte actuellement un député Serge Letchimy, une sénatrice Catherine Conconne, 7 conseillers à l'Assemblée de Martinique encartés PPM et 5 maires, Didier Laguerre (Fort-de-France), Rodolphe Désiré (Le Marin), Henri Romana (Fond-Saint-Denis), Jean-Claude Ecanvil (Le Carbet) Marie-Thérèse Casimirius (Basse-Pointe) et Félix Ismain (Bellefontaine). Le PPM compte à ce jour 2 000 adhérents et 30 balisiers (sections) sur l'ensemble du territoire de la Martinique.
Lors du IIIe congrès du parti les 12 et 13 août 1967, le PPM adopte le mot d'ordre d'autonomie. Dans son discours de clôture, Aimé Césaire déclare « Cette indispensable conquête du pouvoir politique par le peuple martiniquais, nous, le PPM, nous pensons qu'elle ne peut se faire par l'accession de la Martinique à l'autonomie dans l'ensemble français... tout en restant dans le cadre français, nous entendons pouvoir prendre librement les décisions qui nous concernent au premier chef en tant que martiniquais et exécuter nous-mêmes ces décisions...
Ecoutez le témoignage d'Edouard De Lépine
Source WIKIPEDIA
Il compte actuellement un député Serge Letchimy, une sénatrice Catherine Conconne, 7 conseillers à l'Assemblée de Martinique encartés PPM et 5 maires, Didier Laguerre (Fort-de-France), Rodolphe Désiré (Le Marin), Henri Romana (Fond-Saint-Denis), Jean-Claude Ecanvil (Le Carbet) Marie-Thérèse Casimirius (Basse-Pointe) et Félix Ismain (Bellefontaine). Le PPM compte à ce jour 2 000 adhérents et 30 balisiers (sections) sur l'ensemble du territoire de la Martinique.
Lors du IIIe congrès du parti les 12 et 13 août 1967, le PPM adopte le mot d'ordre d'autonomie. Dans son discours de clôture, Aimé Césaire déclare « Cette indispensable conquête du pouvoir politique par le peuple martiniquais, nous, le PPM, nous pensons qu'elle ne peut se faire par l'accession de la Martinique à l'autonomie dans l'ensemble français... tout en restant dans le cadre français, nous entendons pouvoir prendre librement les décisions qui nous concernent au premier chef en tant que martiniquais et exécuter nous-mêmes ces décisions...
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