Il ne s’agit pas de se satisfaire de ce triste tableau ! C’est quoi ces observateurs politiques qui savent observer, critiquer, et soupeser sans faire de proposition?
Là, notre point de vue est de considérer qu’il convient de modifier dans un premier temps les structures administratives de la CTM. En particulier sur la prime au gagnant qui est trop importante. Le mieux serait de la supprimer entièrement.
Secondairement le principe d’un conseil exécutif qui infantilise le reste de l’assemblée nous semble être à l’usage, un mauvais modèle politique. Il serait mieux de revenir au principe d’une assemblée délibérante de type où la proportionnalité serait respectée.
Enfin, en terme de modèle de développement il est clair que le système libéral ne peut plus satisfaire la majorité des habitants martiniquais. Il doit demeurer pour satisfaire les angoisses existentielles de certains, mais le bon schéma, serait celui d’un développement mutualiste où tous les Martiniquais pourraient retrouver leur billes sans un sentiment d’exclusion, d’une MARTINIQUE plus juste où les positions de privilégiés de certaines familles ne remplacent pas les ascenseurs sociaux et la compétence dans les collectivités .
Il n’est pas normal par exemple, de passer sa vie à payer un logement social et ne ne pas à terme et parfois 40 ans plus tard pouvoir bénéficier d’un titre de propriété, ne serait ce que celui de part sociale dans les sociétés de HLM
Il n’est pas normal que des chefs d’entreprises, terminent leur vie sans retraite sérieuse, sans un certain confort alors qu’il ont passé leur temps au travail, quand ce n’est pas l’endettement qui les guette ou les affaires relatives à leurs activités d’entrepreneurs.
Il n’est pas normal que des jeunes ne trouvent pas de solution d’insertion alors que l’on apprend que des lignées politiques distribuent du travail en collectivité pour des gens qui sachant leurs privilèges, ne respectent ni leur chef de service , ni les usagers.
Il est encore moins normal que des générations entières soient victimes d’une catastrophe sanitaire sans précédent, et que l’on apprenne que l’Etat qui est en charge de protéger les populations soit celui là même qui propose d’augmenter les taux d’admissibilité des perturbateurs endocriniens au moment où il faudrait consommer des produits sains et dépourvus de toute trace de polluants.
Vous voyez, la liste pourrait être longue, résumons toute cette désolation en une phrase, courte exaspérante et positive : Il serait temps que le développement durable s’applique en MARTINIQUE.
Fin du dossier Dossier budget CTM 2018
Secondairement le principe d’un conseil exécutif qui infantilise le reste de l’assemblée nous semble être à l’usage, un mauvais modèle politique. Il serait mieux de revenir au principe d’une assemblée délibérante de type où la proportionnalité serait respectée.
Enfin, en terme de modèle de développement il est clair que le système libéral ne peut plus satisfaire la majorité des habitants martiniquais. Il doit demeurer pour satisfaire les angoisses existentielles de certains, mais le bon schéma, serait celui d’un développement mutualiste où tous les Martiniquais pourraient retrouver leur billes sans un sentiment d’exclusion, d’une MARTINIQUE plus juste où les positions de privilégiés de certaines familles ne remplacent pas les ascenseurs sociaux et la compétence dans les collectivités .
Il n’est pas normal par exemple, de passer sa vie à payer un logement social et ne ne pas à terme et parfois 40 ans plus tard pouvoir bénéficier d’un titre de propriété, ne serait ce que celui de part sociale dans les sociétés de HLM
Il n’est pas normal que des chefs d’entreprises, terminent leur vie sans retraite sérieuse, sans un certain confort alors qu’il ont passé leur temps au travail, quand ce n’est pas l’endettement qui les guette ou les affaires relatives à leurs activités d’entrepreneurs.
Il n’est pas normal que des jeunes ne trouvent pas de solution d’insertion alors que l’on apprend que des lignées politiques distribuent du travail en collectivité pour des gens qui sachant leurs privilèges, ne respectent ni leur chef de service , ni les usagers.
Il est encore moins normal que des générations entières soient victimes d’une catastrophe sanitaire sans précédent, et que l’on apprenne que l’Etat qui est en charge de protéger les populations soit celui là même qui propose d’augmenter les taux d’admissibilité des perturbateurs endocriniens au moment où il faudrait consommer des produits sains et dépourvus de toute trace de polluants.
Vous voyez, la liste pourrait être longue, résumons toute cette désolation en une phrase, courte exaspérante et positive : Il serait temps que le développement durable s’applique en MARTINIQUE.
Fin du dossier Dossier budget CTM 2018