En effet quand on sait le pompage de richesse fait au moment du statut de colonie de nos pays, on comprend bien que si la France est venue ici ce n’est pas pour les beaux yeux des Martiniquais, mais bien pour ses propres intérêts.
La France est le premier financier du budget de la CTM
A partir de ce moment il devient dérisoire de discuter des orientations d’un budget dont l’articulation est tournée vers la consommation :
200 millions pour la solidarité, donc pour consommer,
200 millions pour la protection des enfants et des personnes âgées,
Et un montant global de fonctionnement de 865 509 154 €, dans lequel les salaires des 4000 agents de la collectivité sont payés pour que ces derniers consomment eux aussi.
Après donc , tout devient une question d’équilibre savant entre les nouvelles directives vis-à-vis des collectivités édictées par l’État et un ajustement par un prêt en investissement limité par les propres capacités de la collectivité pour faire face à un endettement.
Par conséquent ne retenir que le montant des investissements, envers le monde économique, c'est regarder le problème du développement de la MARTINIQUE par le petit bout de la lorgnette. Le vrai problème de la MARTINIQUE c’est que le budget de l’aide sociale est plus élevé que tous les budgets d’investissement. Cette réalité est plus préoccupante quand on sait qu’avec l’idée d’une seule collectivité ce chiffre de l’aide sociale reste proéminent. Il est d’autant plus inquiétant qu’il est non compensé entièrement par l’Etat. Par conséquent quand l’État décide d’établir le RSA et qu’ il le décide seul, mais en l’imposant aux élus de la principale collectivité, la CTM, sans une totale compensation , cet Etat en fait appauvrit le pays.
On peut donc dire que ce que l’Etat donne pour la solidarité , il le reprend d’une manière ou d’une autre , mais en endettant la collectivité qui est en charge du développement économique.
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200 millions pour la solidarité, donc pour consommer,
200 millions pour la protection des enfants et des personnes âgées,
Et un montant global de fonctionnement de 865 509 154 €, dans lequel les salaires des 4000 agents de la collectivité sont payés pour que ces derniers consomment eux aussi.
Après donc , tout devient une question d’équilibre savant entre les nouvelles directives vis-à-vis des collectivités édictées par l’État et un ajustement par un prêt en investissement limité par les propres capacités de la collectivité pour faire face à un endettement.
Par conséquent ne retenir que le montant des investissements, envers le monde économique, c'est regarder le problème du développement de la MARTINIQUE par le petit bout de la lorgnette. Le vrai problème de la MARTINIQUE c’est que le budget de l’aide sociale est plus élevé que tous les budgets d’investissement. Cette réalité est plus préoccupante quand on sait qu’avec l’idée d’une seule collectivité ce chiffre de l’aide sociale reste proéminent. Il est d’autant plus inquiétant qu’il est non compensé entièrement par l’Etat. Par conséquent quand l’État décide d’établir le RSA et qu’ il le décide seul, mais en l’imposant aux élus de la principale collectivité, la CTM, sans une totale compensation , cet Etat en fait appauvrit le pays.
On peut donc dire que ce que l’Etat donne pour la solidarité , il le reprend d’une manière ou d’une autre , mais en endettant la collectivité qui est en charge du développement économique.
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