C’est donc ainsi pense-t-on que la gauche se maintient aux affaires. Rien ne prouve ces suppositions. Aucun institut de sondages, ni même d’études scientifiques n’ont prouvé cet état de fait, pourtant admis de tous les analystes politiques en Martinique.
Selon Hector ELISABETH, bien connu du monde politique, pour avoir été au cœur de la vie des institutions, il existe plus des bandes que des partis vissés idéologiquement à des dogmes que ces derniers défendraient. Les hommes politiques durant les périodes électorales auraient donc plus des comportements de meutes organisées pour aller chasser la proie qu’ils vont dépecer durant le mandat. Cette proie c’est le pouvoir, et les attributs qui l’accompagnent en particulier les indemnisations liées à l’occupation des postes identifiés à ce prétendu pouvoir.
« La meilleure illustration de cette dynamique c'est le trio Azerot/Nilor/Tiraut. Azerot et Nilor fonctionnent en parfaite entente à l'assemblée nationale et sans doute ailleurs. Nilor et Tiraut fonctionnent très bien ensemble et viennent encore d'en donner la preuve à l'espace Sud.
J'entends déjà les gardiens du dogme crier à la trahison idéologique. Mais cela c'est du pipeau. Il n'y a aucune fracture idéologique dans ce pays. Il y a des bandes. Et selon qu'on soit dans une bande ou une autre on exerce pouvoir et on touche les prébendes. »
Selon Yves Léopold MONTHIEUX, nous nous étonnons sans doute pour les besoins du débat. « Car les flirts entre la droite et la gauche ou les indépendantistes n’étonnent plus personne. C’est quand même la droite qui a permis à AMJ d’atteindre le niveau qu’on sait.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les mots d’AMJ ont toujours été plus durs pour le PPM que pour la droite.
C’est aussi la droite qui a permis à Serge LETCHIMY de s’installer. Le directeur de campagne de Malsa était un ancien secrétaire général du RPR, tandis que le candidat du MIM était soutenu à St Joseph par un autre ancien secrétaire général de l’UMP.
Ils ne font l’objet de la moindre critique ni de la gauche ni de la droite. »
Si la preuve est faite que les alliances de circonstance sont monnaie courante peut-ont imaginer que la droite nouvelle, celle des TIREAULT, MAIGNAN, RAPHA, et autres élus de conseil municipaux d’opposition municipale soit en mesure de ne plus être le jouet sombre du carnaval de la gauche.
Rien n’est moins sûr !
La vente par le maire du SAINT ESPRIT de sa voix au RDM au moment même où Eugène LARCHER n’avait pas besoin de son vote pour être élu président de l’Espace Sud laisse interrogatif. Un vote blanc au premier tour et un appui pour les vices présidences aurait sans doute tout changé.
Mais la peur de perdre le pouvoir, et cette habitude du bidouillage politique marqueront dans le marbre la première trahison de TIRAULT contre son propre camp : la droite. Ainsi comment imaginer que demain celui si soit celui qui pourra rassembler le camp de la droite.
C’est dommage car sa seule jeunesse était un grand espoir un grand bol d’air.
Ce dernier devrait s’expliquer pour clarifier sa position s’il ne veut pas que ce positionnement lui colle au dos, tout le long de sa carrière politique.
L’autre fait marquant c’est la bataille du vieux gorille de la droite qui se prend fort de son expérience réussie des affaires pour le néo jeune premier de la droite.
Il s’agit de Yan MONPLAISIR.
Ce dernier qui a le sens des affaires sait reconnaître les influences des tendances…
Sa non-participation aux dernières municipales est sa manière d’arriver comme un sous neuf prêt à être misé pour la bataille de 2015. Ses nombreuses batailles perdues pour la conquête d’un point d’encrage ne peuvent faire oublier la lutte historique qui existe entre Miguel LAVENTURE et lui.
Compte tenu de l’occupation des médias par ce dernier, dès le soir des municipales sur tous les média et ces derniers jours sur l’antenne de zouk télévision il apparait clair que ce dernier n’a pas l’intention de se faire faire une quenelle par la néo génération de droite.
Il semble donc que le même problème du qui se pose entre les néo et les historiques au MIM risque de se poser à la droite dans son ensemble si demain si cette droite en fragment se veut être une entité homogène.
C’est à ce seul prix qu’elle peut jouer un rôle majeur dans cette élection à deux tours de 2015 ou une partie de la gauche déçue de la gauche dépourvue d’idées neuves pourrait cette fois faire peser la droite nouvelle, moderne, séductrice, patriote et libérale.
Selon Hector ELISABETH, bien connu du monde politique, pour avoir été au cœur de la vie des institutions, il existe plus des bandes que des partis vissés idéologiquement à des dogmes que ces derniers défendraient. Les hommes politiques durant les périodes électorales auraient donc plus des comportements de meutes organisées pour aller chasser la proie qu’ils vont dépecer durant le mandat. Cette proie c’est le pouvoir, et les attributs qui l’accompagnent en particulier les indemnisations liées à l’occupation des postes identifiés à ce prétendu pouvoir.
« La meilleure illustration de cette dynamique c'est le trio Azerot/Nilor/Tiraut. Azerot et Nilor fonctionnent en parfaite entente à l'assemblée nationale et sans doute ailleurs. Nilor et Tiraut fonctionnent très bien ensemble et viennent encore d'en donner la preuve à l'espace Sud.
J'entends déjà les gardiens du dogme crier à la trahison idéologique. Mais cela c'est du pipeau. Il n'y a aucune fracture idéologique dans ce pays. Il y a des bandes. Et selon qu'on soit dans une bande ou une autre on exerce pouvoir et on touche les prébendes. »
Selon Yves Léopold MONTHIEUX, nous nous étonnons sans doute pour les besoins du débat. « Car les flirts entre la droite et la gauche ou les indépendantistes n’étonnent plus personne. C’est quand même la droite qui a permis à AMJ d’atteindre le niveau qu’on sait.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les mots d’AMJ ont toujours été plus durs pour le PPM que pour la droite.
C’est aussi la droite qui a permis à Serge LETCHIMY de s’installer. Le directeur de campagne de Malsa était un ancien secrétaire général du RPR, tandis que le candidat du MIM était soutenu à St Joseph par un autre ancien secrétaire général de l’UMP.
Ils ne font l’objet de la moindre critique ni de la gauche ni de la droite. »
Si la preuve est faite que les alliances de circonstance sont monnaie courante peut-ont imaginer que la droite nouvelle, celle des TIREAULT, MAIGNAN, RAPHA, et autres élus de conseil municipaux d’opposition municipale soit en mesure de ne plus être le jouet sombre du carnaval de la gauche.
Rien n’est moins sûr !
La vente par le maire du SAINT ESPRIT de sa voix au RDM au moment même où Eugène LARCHER n’avait pas besoin de son vote pour être élu président de l’Espace Sud laisse interrogatif. Un vote blanc au premier tour et un appui pour les vices présidences aurait sans doute tout changé.
Mais la peur de perdre le pouvoir, et cette habitude du bidouillage politique marqueront dans le marbre la première trahison de TIRAULT contre son propre camp : la droite. Ainsi comment imaginer que demain celui si soit celui qui pourra rassembler le camp de la droite.
C’est dommage car sa seule jeunesse était un grand espoir un grand bol d’air.
Ce dernier devrait s’expliquer pour clarifier sa position s’il ne veut pas que ce positionnement lui colle au dos, tout le long de sa carrière politique.
L’autre fait marquant c’est la bataille du vieux gorille de la droite qui se prend fort de son expérience réussie des affaires pour le néo jeune premier de la droite.
Il s’agit de Yan MONPLAISIR.
Ce dernier qui a le sens des affaires sait reconnaître les influences des tendances…
Sa non-participation aux dernières municipales est sa manière d’arriver comme un sous neuf prêt à être misé pour la bataille de 2015. Ses nombreuses batailles perdues pour la conquête d’un point d’encrage ne peuvent faire oublier la lutte historique qui existe entre Miguel LAVENTURE et lui.
Compte tenu de l’occupation des médias par ce dernier, dès le soir des municipales sur tous les média et ces derniers jours sur l’antenne de zouk télévision il apparait clair que ce dernier n’a pas l’intention de se faire faire une quenelle par la néo génération de droite.
Il semble donc que le même problème du qui se pose entre les néo et les historiques au MIM risque de se poser à la droite dans son ensemble si demain si cette droite en fragment se veut être une entité homogène.
C’est à ce seul prix qu’elle peut jouer un rôle majeur dans cette élection à deux tours de 2015 ou une partie de la gauche déçue de la gauche dépourvue d’idées neuves pourrait cette fois faire peser la droite nouvelle, moderne, séductrice, patriote et libérale.