CRASH DU 3 DÉCEMBRE 1969 : FAIRE ÉCLATER LA VÉRITÉ !
Environ 200 personnes ont assisté mercredi 4 décembre, à la salle des fêtes du François, à la réunion d’information sur la catastrophe aérienne du vol AF 212 du 3 décembre 1969, qui a vu, juste après son décollage de Caracas, la mort des 62 passagers.
Une mort tenue de plus en plus pour non accidentelle, en dépit du discours à géométrie variable qui a été servi aux familles depuis une quarantaine d’années, et qui, au regard des premiers éléments en la possession des familles et des associations en recherche de la vérité, apparaît pour un vrai mensonge d’État.
Car, il est de plus en plus manifeste que 62 passagers ont été sacrifiés pour ôter la vie à deux dirigeants des partis communistes de Martinique et de Guadeloupe au sortir du congrès du parti communiste chilien. Et c’est cet attentat relaté de façon clairvoyante, que sont venus dire les membres de la famille de Dolor Banidol ainsi que des représentants de différentes organisations syndicales, politiques – dont le GRS – et autres intervenants.
Une réunion qui a pointé sans détour la responsabilité – au moins – de l’État colonialiste français, et qui a vu la participation de Dédé Saint-Prix (et d’autres musiciens) qui tenait à honorer de sa présence, cette manifestation.
Le travail d’information et de mobilisation de « l’Association Dolor Banidol sur la vérité sur la catastrophe aérienne du 3 décembre 1969 » continue. Seule une mobilisation de masse pourra permettre, sur la base des informations en notre possession, de faire éclater la vérité, sans attendre, dans 10 ans, la levée du « secret défense » qui entoure ce dossier.
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Une mort tenue de plus en plus pour non accidentelle, en dépit du discours à géométrie variable qui a été servi aux familles depuis une quarantaine d’années, et qui, au regard des premiers éléments en la possession des familles et des associations en recherche de la vérité, apparaît pour un vrai mensonge d’État.
Car, il est de plus en plus manifeste que 62 passagers ont été sacrifiés pour ôter la vie à deux dirigeants des partis communistes de Martinique et de Guadeloupe au sortir du congrès du parti communiste chilien. Et c’est cet attentat relaté de façon clairvoyante, que sont venus dire les membres de la famille de Dolor Banidol ainsi que des représentants de différentes organisations syndicales, politiques – dont le GRS – et autres intervenants.
Une réunion qui a pointé sans détour la responsabilité – au moins – de l’État colonialiste français, et qui a vu la participation de Dédé Saint-Prix (et d’autres musiciens) qui tenait à honorer de sa présence, cette manifestation.
Le travail d’information et de mobilisation de « l’Association Dolor Banidol sur la vérité sur la catastrophe aérienne du 3 décembre 1969 » continue. Seule une mobilisation de masse pourra permettre, sur la base des informations en notre possession, de faire éclater la vérité, sans attendre, dans 10 ans, la levée du « secret défense » qui entoure ce dossier.
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