DÉCRET DU 1er DÉCEMBRE: UN PAS VERS LE MACOUTISME DANS LA FONCTION PUBLIQUE
Dans un quasi silence fort inquiétant, un décret publié au journal officiel met fin au paritarisme dans la fonction publique en ce qui concerne mobilité, évolution de carrière et en un sens recrutement dans la fonction publique. Toutes les décisions qui supposaient une discussion préalable des administrations avec les organisations syndicales seront désormais prises sans l'ombre d'un contrôle ou d'une concertation avec les représentants du personnel.
L'heure du larbinisme a sonné et on connaît son pendant : le macoutisme des petits chefs.
Toute la haine de Macron, Blanquer et Cie contre les droits et la dignité des subalternes apparaît ici. Ainsi pour rester comme fonctionnaire dans un établissement scolaire par exemple, pour monter en grade, ne pas subir de sanctions ouvertes ou indirectes, pour ne pas être muté contre son gré, une seule solution : il faudra..."soucer" ! Le recours au tribunal administratif sera bien aléatoire puisqu'aucune transparence ne permettra au récalcitrant d'avoir les éléments pour se défendre.
Les beaux discours sur la liberté, les droits individuels, le libéralisme montrent crûment ce qu'ils sont : du vent ! Se soumettre dans la flagornerie ou se rebeller collectivement telle est l'alternative. Les syndicats de la Fonction publique dont une bonne partie de leur utilité aux yeux des syndiqué-e-s réside dans leur participation de droit, hier dans les commissions paritaires vont - t’ils organiser ( même tardivement !) la rébellion ? Ce serait de la légitime défense !!!
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L'heure du larbinisme a sonné et on connaît son pendant : le macoutisme des petits chefs.
Toute la haine de Macron, Blanquer et Cie contre les droits et la dignité des subalternes apparaît ici. Ainsi pour rester comme fonctionnaire dans un établissement scolaire par exemple, pour monter en grade, ne pas subir de sanctions ouvertes ou indirectes, pour ne pas être muté contre son gré, une seule solution : il faudra..."soucer" ! Le recours au tribunal administratif sera bien aléatoire puisqu'aucune transparence ne permettra au récalcitrant d'avoir les éléments pour se défendre.
Les beaux discours sur la liberté, les droits individuels, le libéralisme montrent crûment ce qu'ils sont : du vent ! Se soumettre dans la flagornerie ou se rebeller collectivement telle est l'alternative. Les syndicats de la Fonction publique dont une bonne partie de leur utilité aux yeux des syndiqué-e-s réside dans leur participation de droit, hier dans les commissions paritaires vont - t’ils organiser ( même tardivement !) la rébellion ? Ce serait de la légitime défense !!!
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