Quand on parle de patrimoine, on se réfère souvent à l’idée qu’il s’agit d’un « bien d’ héritage qui descend suivant les lois, des pères et des mères aux enfants ».
Pour certains, on peut penser que le patrimoine historique n’est pas très loin de cette notion de patrimoine, mais, il dépasse le cadre restreint de la famille.
C’est pour toutes les sociétés humaines, un ensemble de représentations matérielles qui lient une communauté d’individus non plus en fonction de leur appartenance familiale mais selon « leur commune appartenance au passé »
Monument: « de (avertir, rappeler) » donc qui fait appel à la mémoire.
Un monument est « tout artefact édifié par une communauté d’individus pour se remémorer ou faire remémorer à d’autres générations des personnes, des évènements, des sacrifices, des rites ou des croyances.(…)mais ce passé invoqué …n’est pas quelconque:il est localisé et sélectionné à des fins vitales, dans la mesure où il peut , directement, contribuer à maintenir et préserver l’ identité d’ une communauté, ethnique ou religieuse, nationale, tribale ou familiale ».
Le monument se positionne donc comme moyen de contrer l’action du temps, de se défendre contre l’oubli, en fonction de l’appartenance au passé de cette communauté d’hommes.
Comment donc gérer ce passé.
Gérer ce Nous Martiniquais.
D
ans ce « Nous » pouvons nous y mettre les békés qui volontairement se sont mis hors Pays ?
Pour Riegl , « le monument est une création délibérée…tandis que le monument historique
n’ est pas initialement voulu…il est constitué a posteriori »(donc le monument historique est le fait d’ un processus qui part du présent et qui va vers le passé , attribution d’une fonction mémoriale à posteriori, qui n’ est pas l’ objet au départ de la création du monument).
Monument et monument historique ont un rapport différent au temps, à la mémoire et au savoir.
De fait, les seuls monuments historiques qui s’imposent à Nous depuis fort longtemps sont ce Belain D’Esnambuc,cette putain de Joséphine de Beauharnais , Jeanne D’arc au Lamentin,et le Fort- Saint- Louis.
Nos Negs Mawon sont réduits à deux mètres du sol et les représentations des esclavagistes dominent.
C’est pour cela messieurs de Tous créoles que nous avons constitué une association de protection et de défense des lieux de Mémoire, est ouverte à Tous les Martiniquais.
Les attaques gratuites en petits cercle contre cette association seront vaines.
Et aussi attention.
A bon entendeur salut.
Pour certains, on peut penser que le patrimoine historique n’est pas très loin de cette notion de patrimoine, mais, il dépasse le cadre restreint de la famille.
C’est pour toutes les sociétés humaines, un ensemble de représentations matérielles qui lient une communauté d’individus non plus en fonction de leur appartenance familiale mais selon « leur commune appartenance au passé »
Monument: « de (avertir, rappeler) » donc qui fait appel à la mémoire.
Un monument est « tout artefact édifié par une communauté d’individus pour se remémorer ou faire remémorer à d’autres générations des personnes, des évènements, des sacrifices, des rites ou des croyances.(…)mais ce passé invoqué …n’est pas quelconque:il est localisé et sélectionné à des fins vitales, dans la mesure où il peut , directement, contribuer à maintenir et préserver l’ identité d’ une communauté, ethnique ou religieuse, nationale, tribale ou familiale ».
Le monument se positionne donc comme moyen de contrer l’action du temps, de se défendre contre l’oubli, en fonction de l’appartenance au passé de cette communauté d’hommes.
Comment donc gérer ce passé.
Gérer ce Nous Martiniquais.
D
ans ce « Nous » pouvons nous y mettre les békés qui volontairement se sont mis hors Pays ?
Pour Riegl , « le monument est une création délibérée…tandis que le monument historique
n’ est pas initialement voulu…il est constitué a posteriori »(donc le monument historique est le fait d’ un processus qui part du présent et qui va vers le passé , attribution d’une fonction mémoriale à posteriori, qui n’ est pas l’ objet au départ de la création du monument).
Monument et monument historique ont un rapport différent au temps, à la mémoire et au savoir.
De fait, les seuls monuments historiques qui s’imposent à Nous depuis fort longtemps sont ce Belain D’Esnambuc,cette putain de Joséphine de Beauharnais , Jeanne D’arc au Lamentin,et le Fort- Saint- Louis.
Nos Negs Mawon sont réduits à deux mètres du sol et les représentations des esclavagistes dominent.
C’est pour cela messieurs de Tous créoles que nous avons constitué une association de protection et de défense des lieux de Mémoire, est ouverte à Tous les Martiniquais.
Les attaques gratuites en petits cercle contre cette association seront vaines.
Et aussi attention.
A bon entendeur salut.