On ne peut comprendre en 2017 cet effort disproportionné, mis, avec des moyens de plus en plus sophistiqués et de plus en plus coûteux sur le maintien d’un « système de santé » aveugle, et ce, au détriment d’une prévention absolument fondamentale dans le processus même de santé !
Quelques propositions face à cette situation préoccupante et ce grand délabrement à venir :
Nous vivons dans la crainte d’un système de santé à deux vitesses, entend-on souvent dire !
Le système de santé DOIT être à 3, 4, 5 voire dix vitesses, ce qui ne doit pas l’empêcher de chercher à être égalitaire et accessible à tous !
Tout d’abord, responsabiliser le citoyen sur sa propre santé à quelque niveau qu’il se trouve de l’échelle sociale :
La santé à un coût ! Elle s’entretient au quotidien ! Et nous sommes tous responsables de notre propre santé, même si nous ne sommes pas tous génétiquement égaux devant la santé.
Rester en santé est un énorme bienfait qui est à la portée de chacun grâce aux capacités de cette formidable machine qu’est le corps humain qui arrive à gérer au quotidien
3 000 milliards de cellules ayant différentes fonctions.
Le système de santé dont nous bénéficions prend en charge nos soins sans que nous n’ayons aucune idée réelle de ce que cela coûte. Au décès d’un parent âgé, certains jettent une véritable pharmacie pouvant atteindre plusieurs centaines d’euros de médicaments et autres matériels de soins prescrits, renouvelés systématiquement et stockés sur toute la durée de la maladie …
Chaque citoyen devrait recevoir en fin d’année, de la sécurité sociale et des mutuelles, le coût total de sa prise en charge dans l’année ! Cela contribuerait à la prise de conscience de ses proches et de lui-même du coût réel de sa santé, et influerait peut-être son comportement de citoyen responsable.
Nous sommes en interaction avec un environnement au sens large qui a tendance à devenir de plus en plus agressif et délétère et que les politiques, en premier lieu, mais aussi chacun d’entre nous avons la possibilité de garder et de protéger du mieux possible, en toute conscience (pollution, agressivité commerciale des grands groupes agroalimentaires et des fast foods…)
Comme cela se passe actuellement au Canada, tout projet de quelque ordre que ce soit devrait être étudié avant réalisation sur l’angle de l’impact sur l’environnement et la santé humaine, et le niveau acceptable et tolérable de cet impact.
L’éducation à la santé physique et psychique, la cuisine, devrait être au cœur de l’enseignement, surtout dans le primaire, au même titre que l’écriture, la lecture et les mathématiques !
L’ensemble des professionnels de santé devrait être recrutés et formés, non pas seulement sur leur capacité technique, mais aussi sur leur aptitude à la relation, qui n’est pas une aptitude innée !
Cette formation à la relation dans le soin devrait être la base de tout cursus de formation de quelque professionnel de santé que ce soit !!!
La promotion de saines habitudes de vie, devrait être portée tant par le politique que par le sanitaire, et ce avec des moyens conséquents !!!
Concernant les structures de soin,
L’accès aux soins pour tous dans la proximité devrait être le maitre mot, avec un accès de premier recours à toutes les thérapeutiques validées existantes (homéopathie, phytothérapie, acupuncture, physiothérapie, psychothérapie…, c’est à dire l’ensemble des thérapies dites naturelles, à côté de la médecine allopathique, et souvent à moindre coût que cette dernière). La population y a d’ailleurs déjà largement recours de façon plus ou moins avouée.
La prise en charge de problèmes plus graves devrait être le fait de structures MCO (Médecine, chirurgie, obstétrique) de court séjour, organisées et performantes avec une structure (publique ou privée) par territoire.
Nous vivons dans la crainte d’un système de santé à deux vitesses, entend-on souvent dire !
Le système de santé DOIT être à 3, 4, 5 voire dix vitesses, ce qui ne doit pas l’empêcher de chercher à être égalitaire et accessible à tous !
Tout d’abord, responsabiliser le citoyen sur sa propre santé à quelque niveau qu’il se trouve de l’échelle sociale :
La santé à un coût ! Elle s’entretient au quotidien ! Et nous sommes tous responsables de notre propre santé, même si nous ne sommes pas tous génétiquement égaux devant la santé.
Rester en santé est un énorme bienfait qui est à la portée de chacun grâce aux capacités de cette formidable machine qu’est le corps humain qui arrive à gérer au quotidien
3 000 milliards de cellules ayant différentes fonctions.
Le système de santé dont nous bénéficions prend en charge nos soins sans que nous n’ayons aucune idée réelle de ce que cela coûte. Au décès d’un parent âgé, certains jettent une véritable pharmacie pouvant atteindre plusieurs centaines d’euros de médicaments et autres matériels de soins prescrits, renouvelés systématiquement et stockés sur toute la durée de la maladie …
Chaque citoyen devrait recevoir en fin d’année, de la sécurité sociale et des mutuelles, le coût total de sa prise en charge dans l’année ! Cela contribuerait à la prise de conscience de ses proches et de lui-même du coût réel de sa santé, et influerait peut-être son comportement de citoyen responsable.
Nous sommes en interaction avec un environnement au sens large qui a tendance à devenir de plus en plus agressif et délétère et que les politiques, en premier lieu, mais aussi chacun d’entre nous avons la possibilité de garder et de protéger du mieux possible, en toute conscience (pollution, agressivité commerciale des grands groupes agroalimentaires et des fast foods…)
Comme cela se passe actuellement au Canada, tout projet de quelque ordre que ce soit devrait être étudié avant réalisation sur l’angle de l’impact sur l’environnement et la santé humaine, et le niveau acceptable et tolérable de cet impact.
L’éducation à la santé physique et psychique, la cuisine, devrait être au cœur de l’enseignement, surtout dans le primaire, au même titre que l’écriture, la lecture et les mathématiques !
L’ensemble des professionnels de santé devrait être recrutés et formés, non pas seulement sur leur capacité technique, mais aussi sur leur aptitude à la relation, qui n’est pas une aptitude innée !
Cette formation à la relation dans le soin devrait être la base de tout cursus de formation de quelque professionnel de santé que ce soit !!!
La promotion de saines habitudes de vie, devrait être portée tant par le politique que par le sanitaire, et ce avec des moyens conséquents !!!
Concernant les structures de soin,
L’accès aux soins pour tous dans la proximité devrait être le maitre mot, avec un accès de premier recours à toutes les thérapeutiques validées existantes (homéopathie, phytothérapie, acupuncture, physiothérapie, psychothérapie…, c’est à dire l’ensemble des thérapies dites naturelles, à côté de la médecine allopathique, et souvent à moindre coût que cette dernière). La population y a d’ailleurs déjà largement recours de façon plus ou moins avouée.
La prise en charge de problèmes plus graves devrait être le fait de structures MCO (Médecine, chirurgie, obstétrique) de court séjour, organisées et performantes avec une structure (publique ou privée) par territoire.
En résumé une structure dimensionnée type Clinique St Paul, au cœur géographique de chaque territoire, Avec un plateau technique répondant à l’urgence de second niveau et prenant en charge un panel large de pathologies en ambulatoire. (75 % actuellement pour la clinique St Paul, contre 20% pour l’hôpital public)
Quatre structures de ce type au coût moyen de 30 millions d’Euros par an, soit 120 millions d’euros.
Les hôpitaux actuels de Trinité, de Mangot Vulcin, transformés en SSR, EHPAD, centre de référence de prise en charge de l’obésité morbide, centre d’éducation et de prise en charge du diabète, de l’HTA…propositions à adapter à la réalité des besoins.
Le plateau technique de la Maynard, au centre de l’ile, exclusivement dévolu à la réanimation adulte et pédiatrique et à des surspécialités tels la neurochirurgie, la chirurgie cardio-respiratoire, l’imagerie interventionnelle spécialisée…fonctionnant par référence exclusivement !
Tout le reste de l’hôtellerie de cette structure doit être réaffectée à l’épidémiologie et la recherche centrée sur les innovations pharmacologiques et technologiques, les sciences fondamentales de la santé et de l’environnement, autour d’unités fonctionnelles type Unité Inserm.
Le concept même de CHU dans ses normes actuelles n’a aucun sens ici, car plus de 20 années de fonctionnement l’a laissé au stade de faculté de médecine de Lilliput ! Ce qui n’empêche pas que des hospitalo universitaires, puissent trouver place dans chacune des 4 structures MCO publiques et sur le cœur des surspécialités et de la recherche. L’ensemble du réseau de soin pourrait être annexées à une grande université parisienne, et dotées progressivement de PUPH, et de laboratoire de sciences fondamentales et de recherche, jusqu’à ce qu’il soit en capacité de s’autonomiser vers une vraie université de médecine.
Passez à la page suivante. Merci
Quatre structures de ce type au coût moyen de 30 millions d’Euros par an, soit 120 millions d’euros.
Les hôpitaux actuels de Trinité, de Mangot Vulcin, transformés en SSR, EHPAD, centre de référence de prise en charge de l’obésité morbide, centre d’éducation et de prise en charge du diabète, de l’HTA…propositions à adapter à la réalité des besoins.
Le plateau technique de la Maynard, au centre de l’ile, exclusivement dévolu à la réanimation adulte et pédiatrique et à des surspécialités tels la neurochirurgie, la chirurgie cardio-respiratoire, l’imagerie interventionnelle spécialisée…fonctionnant par référence exclusivement !
Tout le reste de l’hôtellerie de cette structure doit être réaffectée à l’épidémiologie et la recherche centrée sur les innovations pharmacologiques et technologiques, les sciences fondamentales de la santé et de l’environnement, autour d’unités fonctionnelles type Unité Inserm.
Le concept même de CHU dans ses normes actuelles n’a aucun sens ici, car plus de 20 années de fonctionnement l’a laissé au stade de faculté de médecine de Lilliput ! Ce qui n’empêche pas que des hospitalo universitaires, puissent trouver place dans chacune des 4 structures MCO publiques et sur le cœur des surspécialités et de la recherche. L’ensemble du réseau de soin pourrait être annexées à une grande université parisienne, et dotées progressivement de PUPH, et de laboratoire de sciences fondamentales et de recherche, jusqu’à ce qu’il soit en capacité de s’autonomiser vers une vraie université de médecine.
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