C’est donc par Daniel Marie Sainte qui est à la fois responsable des appels d’offres et des infrastructures que les patrons de ce secteur d’activité entendent se faire entendre à défaut de se faire écouter par ce dernier. Ils veulent une rencontre d’autant que DMS refuse de les rencontrer en organisation. Ce dernier considère que sa position de décideur dans les appels d’offres est incompatible avec des rencontres privées.
Cette position n’est pas habituelle, mais elle est respectable. Effectivement, le monde des affaires est habitué à de plus grandes proximités quand ce n’est pas une plus grande promiscuité avec les élus. La droite, pourtant partenaire du contrat de gestion , par son leader a déjà fait savoir que ce n’est pas sa position. Mais quand on sait que le groupe Monplaisir est actionnaire d’un des principaux groupes de BTP, on peut comprendre que la vision soit différente. Il convient donc de respecter à mon sens la décision de DMS, mais la profession doit aussi trouver un interlocuteur qui ne soit pas un second couteau.
Vu les relations de certains patrons du BTP avec certains politiques de l’opposition, la collaboration est parfois impossible, et la confiance impossible avec la majorité actuelle, mais le secteur s’enfonce inexorablement ,et pas du seul fait de ne pas trouver une oreille attentive.
À icimartinique.com, nous ne sommes pas surpris de ces situations de blocage. Depuis la fin de la défiscalisation et plus particulièrement depuis au moins 10 ans le secteur vit une crise sans précédent. Ce ne sont ni les plans de relance 1, ni les plans de relance 2 qui auront réglé cette déstructuration de la filière.
Au mieux ils auront maintenu artificiellement des entreprises déjà sous perfusion, au pire ils auront précipité à leur perte les dernières entreprises qui auront bénéficié de ces marchés. En cause des délais de paiement des entreprises trop longs.
L’administration prétextant le changement de logiciel, les adversaires politiques, eux affirmant qu’il s’agissait de marchés lancés sans savoir comment ils seraient financés.
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Vu les relations de certains patrons du BTP avec certains politiques de l’opposition, la collaboration est parfois impossible, et la confiance impossible avec la majorité actuelle, mais le secteur s’enfonce inexorablement ,et pas du seul fait de ne pas trouver une oreille attentive.
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Au mieux ils auront maintenu artificiellement des entreprises déjà sous perfusion, au pire ils auront précipité à leur perte les dernières entreprises qui auront bénéficié de ces marchés. En cause des délais de paiement des entreprises trop longs.
L’administration prétextant le changement de logiciel, les adversaires politiques, eux affirmant qu’il s’agissait de marchés lancés sans savoir comment ils seraient financés.
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