Il réalisa depuis son siège de la Région, et par le TCSP la plus belle opération de réhabilitation de la ville de Fort de France, avec un budget hors ville, celui de la région. Une pure douceur, en force. Mais pourquoi s’en priverait-il pour peu qu’il considérât au moment de sa décision que ce n’était que rendre justice à cette ville capitale à qui on avait tant réduit les moyens d’actions sous l’ère Césairienne .
Commençons par le début.
Quand Serge Letchimy est arrivé en politique comme maire de Fort de France, et qu’il a laissé sa fonction administrative de technicien, il y est parvenu grâce au seul Camille Darsières dont tout le monde sait que ce dernier était en lutte contre Claude Lise, qui envisageait de prendre la succession au trône de Césaire. Claude Lise était plus populaire que Darsières, mais Césaire préférait Darsières.
C’est comme pour la nomination de Didier Laguerre. Serge Letchimy tout seul l’aura décidé ainsi. S’il l’avait préféré, cela aurait pu être Catherine Conconne , ou Yvon Paquit. Mais comme Darsières l’avait préféré , il a préféré Didier Laguerre.
Césaire avait véritablement donné une mission à Serge Letchimy avec l’aval de Darsières et Aliker; celle de redresser la ville. Serge Letchimy en a donné une à Didier Laguerre: être son homme de confiance à la mairie.
Les outils d’organisation de la ville, étaient arrivés en bout de course. Pour preuve, 10 ans après la mort de Césaire, la ville n’est toujours pas sortie d’affaire. Sur le plan financier la situation est tendue et le centre ville témoigne de la difficulté à relancer la machine. La photo de ces trois hommes, à l’origine de ces choix, hante les murs de la mairie bouchant probablement toute ouverture sur un autre modèle de développement imaginé par ceux qui occupent le fauteuil de maire.
On peut dire qu’à cette époque, pas si ancienne , le « dauphin de Darsières » avait une appétence exacerbée pour la tâche qui lui avait été confiée. Il avait en plus une légitimité. Mieux il avait l’envie, et il donnait envie. Fort de France mourait de sa belle mort et il fallait au moins un urbaniste pour repenser le futur de cette ville, à défaut d’un financier. Serge Letchimy est allé au-delà de toutes les espérances sur cette mission. Il a donné un tel "balan" à la ville, que son entourage a pu le convaincre qu’il fallait aller prendre la direction du pays. L’homme avait envie et il donnait envie sauf que sa tâche foyalaise n'était pas terminée.
Finalement et probablement par voracité du nouveau PPM Serge Letchimy se retrouva à la tête du pays. Comprenant qu’il n’avait pas les équipes pour agir, ou persuadé qu’un seul chantier créerait 5000 emplois, il prit un chantier emblématique et une fois lancé se mit à imaginer un développement sectoriel en dentelle.
Il réalisa depuis son siège de la Région, et par le TCSP la plus belle opération de réhabilitation de la ville de Fort de France, avec un budget hors ville, celui de la région. Une pure douceur, en force.
Mais pourquoi s’en priverait-il pour peu qu’il considérât au moment de sa décision que ce n’était que rendre justice à cette ville capitale à qui on avait tant réduit les moyens d’actions sous l’ère Césairienne .
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Quand Serge Letchimy est arrivé en politique comme maire de Fort de France, et qu’il a laissé sa fonction administrative de technicien, il y est parvenu grâce au seul Camille Darsières dont tout le monde sait que ce dernier était en lutte contre Claude Lise, qui envisageait de prendre la succession au trône de Césaire. Claude Lise était plus populaire que Darsières, mais Césaire préférait Darsières.
C’est comme pour la nomination de Didier Laguerre. Serge Letchimy tout seul l’aura décidé ainsi. S’il l’avait préféré, cela aurait pu être Catherine Conconne , ou Yvon Paquit. Mais comme Darsières l’avait préféré , il a préféré Didier Laguerre.
Césaire avait véritablement donné une mission à Serge Letchimy avec l’aval de Darsières et Aliker; celle de redresser la ville. Serge Letchimy en a donné une à Didier Laguerre: être son homme de confiance à la mairie.
Les outils d’organisation de la ville, étaient arrivés en bout de course. Pour preuve, 10 ans après la mort de Césaire, la ville n’est toujours pas sortie d’affaire. Sur le plan financier la situation est tendue et le centre ville témoigne de la difficulté à relancer la machine. La photo de ces trois hommes, à l’origine de ces choix, hante les murs de la mairie bouchant probablement toute ouverture sur un autre modèle de développement imaginé par ceux qui occupent le fauteuil de maire.
On peut dire qu’à cette époque, pas si ancienne , le « dauphin de Darsières » avait une appétence exacerbée pour la tâche qui lui avait été confiée. Il avait en plus une légitimité. Mieux il avait l’envie, et il donnait envie. Fort de France mourait de sa belle mort et il fallait au moins un urbaniste pour repenser le futur de cette ville, à défaut d’un financier. Serge Letchimy est allé au-delà de toutes les espérances sur cette mission. Il a donné un tel "balan" à la ville, que son entourage a pu le convaincre qu’il fallait aller prendre la direction du pays. L’homme avait envie et il donnait envie sauf que sa tâche foyalaise n'était pas terminée.
Finalement et probablement par voracité du nouveau PPM Serge Letchimy se retrouva à la tête du pays. Comprenant qu’il n’avait pas les équipes pour agir, ou persuadé qu’un seul chantier créerait 5000 emplois, il prit un chantier emblématique et une fois lancé se mit à imaginer un développement sectoriel en dentelle.
Il réalisa depuis son siège de la Région, et par le TCSP la plus belle opération de réhabilitation de la ville de Fort de France, avec un budget hors ville, celui de la région. Une pure douceur, en force.
Mais pourquoi s’en priverait-il pour peu qu’il considérât au moment de sa décision que ce n’était que rendre justice à cette ville capitale à qui on avait tant réduit les moyens d’actions sous l’ère Césairienne .
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