Donc quand Serge Letchimy dit qu’il ne reviendra pas aux élections pour devenir géreur de l’habitation Martinique, nous le croyons sincèrement quand on analyse la situation du pays. Nous irons plus loin, nous disons que nous le comprenons. Non pas parce que la politique est devenue exécrable, mais principalement que son niveau de conscience et de connaissance des instances, lui a, sans doute fait toucher du doigt la limite de son véritable pouvoir à changer le destin des Martiniquais
Le leader incontesté des PPM posent-il en réalité ses conditions pour partir à la bataille
Cette question est importante. Nous le croyons du fait qu’il n’est pas imaginable que le PPM et alliés laissent sans espérance de revanche, les 70 000 personnes qui ont porté leurs suffrages au second tour sur la tête de liste Serge Lecthimy. Pourquoi parlons nous de revanche ?
Dans notre pays moderne, qui a tout et qui réclame plus, tous les jours, la politique n’est pas essentielle à la survie. La charge de gérer, de développer le pays MARTINIQUE est laissée en grande partie au maître des lieux, qui insiste au yeux de certains pour faire sautiller sa danseuse, il s’agit de l’État quoi qu’on dise. Le refus du 74 montre bien que les Martiniquais, ne sont pas influençables sur cette question. Cet État c’est la France !
Dans de tels pays, comme c’est le cas de la Martinique, la politique est un jeu réservé aux intellectuels, aux partisans qui sauvegardent leur bout de gras, et à tout le reste des petites gens qui pensent qu’en accomplissant leur devoir électoral, ils confirment leur citoyenneté, en se débarrassant consciemment de leurs responsabilités personnelles. A ce jeu tous les coups sont permis et désormais, c’est sur le plan judiciaire que certains tentent de se terrasser voire même cherche à se « dérailler ».
Donc quand Serge Letchimy dit qu’il ne reviendra pas aux élections pour devenir géreur de l’habitation Martinique, nous le croyons sincèrement quand on analyse la situation du pays. Nous irons plus loin, nous disons que nous le comprenons. Non pas parce que la politique est devenue exécrable, mais principalement que son niveau de conscience et de connaissance des instances, lui a, sans doute fait toucher du doigt la limite de son véritable pouvoir à changer le destin des Martiniquais.
Voici nos raisons de croire ce qu’il dit et les arguments que nous trouvons à considérer que c’est probablement une sage décision.
Pour lire la suite de l'article cliquez sur page suivante
Dans notre pays moderne, qui a tout et qui réclame plus, tous les jours, la politique n’est pas essentielle à la survie. La charge de gérer, de développer le pays MARTINIQUE est laissée en grande partie au maître des lieux, qui insiste au yeux de certains pour faire sautiller sa danseuse, il s’agit de l’État quoi qu’on dise. Le refus du 74 montre bien que les Martiniquais, ne sont pas influençables sur cette question. Cet État c’est la France !
Dans de tels pays, comme c’est le cas de la Martinique, la politique est un jeu réservé aux intellectuels, aux partisans qui sauvegardent leur bout de gras, et à tout le reste des petites gens qui pensent qu’en accomplissant leur devoir électoral, ils confirment leur citoyenneté, en se débarrassant consciemment de leurs responsabilités personnelles. A ce jeu tous les coups sont permis et désormais, c’est sur le plan judiciaire que certains tentent de se terrasser voire même cherche à se « dérailler ».
Donc quand Serge Letchimy dit qu’il ne reviendra pas aux élections pour devenir géreur de l’habitation Martinique, nous le croyons sincèrement quand on analyse la situation du pays. Nous irons plus loin, nous disons que nous le comprenons. Non pas parce que la politique est devenue exécrable, mais principalement que son niveau de conscience et de connaissance des instances, lui a, sans doute fait toucher du doigt la limite de son véritable pouvoir à changer le destin des Martiniquais.
Voici nos raisons de croire ce qu’il dit et les arguments que nous trouvons à considérer que c’est probablement une sage décision.
Pour lire la suite de l'article cliquez sur page suivante