Tout le monde sait que dans une société la place importante que revêt un T M C. Pour ceux qui ne le savent pas, comprenez que quand une entreprise est en difficulté, qu’elle a des dettes, qu’elle a besoin d’une restructuration, qu’elle envisage un licenciement collectif, le Tribunal de commerce est un passage obligé.
S’il est admis qu’il n’y a pas d’institutions pourries, parfois les hommes qui constituent, ces institutions peuvent être vertueuses au départ et pourrir avec le temps. Car effectivement comment admettre, que certains juges ne soient pas mis en situation de ne pas faire jouer leur filiation, leurs réseaux d’affaires et leurs amitiés.
Oui, il faut des représentations des différents corps sociaux, mais dans un pays où la proximité peut créer de la promiscuité, comment ne pas prendre des dispositions pour que des réseaux d’intérêts, ne se développent pas au détriment d’une véritable justice au sens noble du terme.
Plusieurs affaires sont déjà venus émailler la vie du tribunal, comme l’affaire Gibert. Cette fois c’est la tête qui était gangrenée, puisque celui qui était mis en cause n’était autre que le président en exercice de ce tribunal. L’affaire avait fait grand bruit. Combien d’autres petits chefs d’entreprises se sont déjà plaints conditions des rendus de jugement et des mesures prises pendant le redressement judiciaire. Nous avons-nous aussi crié au loup sans que retentisse un seul coup de fusil qui sonne la fin de petits arrangements, si ce n’était de Hold-up sur toute une profession. L’affaire de la COOPEMAR est équivoque en ce sens.
Suite du dossier cliquez sur page suivante , merci.
S’il est admis qu’il n’y a pas d’institutions pourries, parfois les hommes qui constituent, ces institutions peuvent être vertueuses au départ et pourrir avec le temps. Car effectivement comment admettre, que certains juges ne soient pas mis en situation de ne pas faire jouer leur filiation, leurs réseaux d’affaires et leurs amitiés.
Oui, il faut des représentations des différents corps sociaux, mais dans un pays où la proximité peut créer de la promiscuité, comment ne pas prendre des dispositions pour que des réseaux d’intérêts, ne se développent pas au détriment d’une véritable justice au sens noble du terme.
Plusieurs affaires sont déjà venus émailler la vie du tribunal, comme l’affaire Gibert. Cette fois c’est la tête qui était gangrenée, puisque celui qui était mis en cause n’était autre que le président en exercice de ce tribunal. L’affaire avait fait grand bruit. Combien d’autres petits chefs d’entreprises se sont déjà plaints conditions des rendus de jugement et des mesures prises pendant le redressement judiciaire. Nous avons-nous aussi crié au loup sans que retentisse un seul coup de fusil qui sonne la fin de petits arrangements, si ce n’était de Hold-up sur toute une profession. L’affaire de la COOPEMAR est équivoque en ce sens.
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