Comment faire demain confiance à l’indépendance de ces journalistes si pour leur propre affaire ils couvent l’inqualifiable? Comme quoi c’est quand on tient le manche à ballet que l’on devine s’il est aisé de nettoyer devant sa porte.
Autrement dit on peut donc affirmer, si les règles de la justice sont respectées, et que France Antilles est liquidé, que tous les actionnaires actuels dont « la petite-nièce du grand-oncle » (si elle était déjà actionnaire) ont définitivement perdu leur mise. HERSAN et consorts sortiraient donc de la MARTINIQUE par la petite porte.
Si c’est le cas la déception du personnel complice serait grande !
Quand on fait des affaires il n’y a pas de mal à perdre, mais quand on réalise la puissance qu’avait France Antilles dans ce pays on est obligé d’admettre que face aux changements et l’évolution des mentalités il faut pouvoir anticiper au bon moment. À moins que les Antilles n’ait servi que de vache à lait. Effectivement combien de fois a-t-on entendu que les Antilles étaient pour le groupe la pépite. Mais là aussi c’est plus facile à dire qu’à faire et très facile de porter un jugement.
Ce qui arrive à France Antilles doit servir de signal à bon nombre de groupes locaux dont le model économique, est du même âge que celui du groupe France Antilles.
Mais ce doit être l’occasion pour ce groupe de s’interroger sur sa politique tarifaire inadaptée. Comment à l’époque de Facebook et de réseaux sociaux faire payer le papier à des prix aussi inabordables? Comment encore faire payer aux annonceurs la pub sur Internet au forfait et non au coup pour mille? À force de ne pas entendre ses clients et de vouloir faire payer au marché des frais de structure devenus insupportables on finit par scier la branche sur laquelle on est assis.
Par contre une inconnue demeure, que deviendra la radio NOSTALGIE ? C’est le seul média du groupe soumis à autorisation CSA.
Affaire donc à suivre Liquidation ne veut pas toujours dire fin de haricots pour tout le monde !
Autrement dit on peut donc affirmer, si les règles de la justice sont respectées, et que France Antilles est liquidé, que tous les actionnaires actuels dont « la petite-nièce du grand-oncle » (si elle était déjà actionnaire) ont définitivement perdu leur mise. HERSAN et consorts sortiraient donc de la MARTINIQUE par la petite porte.
Si c’est le cas la déception du personnel complice serait grande !
Quand on fait des affaires il n’y a pas de mal à perdre, mais quand on réalise la puissance qu’avait France Antilles dans ce pays on est obligé d’admettre que face aux changements et l’évolution des mentalités il faut pouvoir anticiper au bon moment. À moins que les Antilles n’ait servi que de vache à lait. Effectivement combien de fois a-t-on entendu que les Antilles étaient pour le groupe la pépite. Mais là aussi c’est plus facile à dire qu’à faire et très facile de porter un jugement.
Ce qui arrive à France Antilles doit servir de signal à bon nombre de groupes locaux dont le model économique, est du même âge que celui du groupe France Antilles.
Mais ce doit être l’occasion pour ce groupe de s’interroger sur sa politique tarifaire inadaptée. Comment à l’époque de Facebook et de réseaux sociaux faire payer le papier à des prix aussi inabordables? Comment encore faire payer aux annonceurs la pub sur Internet au forfait et non au coup pour mille? À force de ne pas entendre ses clients et de vouloir faire payer au marché des frais de structure devenus insupportables on finit par scier la branche sur laquelle on est assis.
Par contre une inconnue demeure, que deviendra la radio NOSTALGIE ? C’est le seul média du groupe soumis à autorisation CSA.
Affaire donc à suivre Liquidation ne veut pas toujours dire fin de haricots pour tout le monde !