En effet si on va vers la liquidation c’est que l’administrateur considère qu’il n’y a plus aucune chance de sauver le marié. Pour sauver le bébé il faut tuer la mère trop malade. Selon nos renseignements, 10 millions d’euros de dettes au moins seraient à régler.
10 millions de marges à dégager, lorsque même la régie publicitaire du groupe moteur de cette affaire, est en redressement judiciaire elle-même. C’est selon l’administrateur, une mission impossible à réaliser. La période de plan l’a confirmé.
Autrement dit pour sauver ce qui peut être sauvé, il convient de passer par un plan de cession. Avantage c’est que toute la dette s’efface au saut du maillet des juges par la liquidation. Tout le personnel est « virable », payé par les AGS, au chômage, en reconversion, ou sur le compte de leur maman selon leur contrat. Les pigistes ont les situations les plus précaires.
Par contre l’entreprise hors de toutes dettes et avec un minimum de reprise de personnel, une belle somme d’argent du repreneur à partager, entre auxiliaires de justice et certains créanciers, (s’il reste de l’argent) redevient banquable, réinitialisable, défiscalisable, subventionnable et envisageable.
C’est donc un gros coup qui se joue actuellement pour ceux qui sont en chasse dans ce dossier. Une enseigne leader, et un véritable réseau de pouvoir économique et politique.
Par contre ce que MAKACLA.COM ne comprend pas c’est comment un ancien actionnaire peut raisonnablement se retrouver à la table des repreneurs.
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10 millions de marges à dégager, lorsque même la régie publicitaire du groupe moteur de cette affaire, est en redressement judiciaire elle-même. C’est selon l’administrateur, une mission impossible à réaliser. La période de plan l’a confirmé.
Autrement dit pour sauver ce qui peut être sauvé, il convient de passer par un plan de cession. Avantage c’est que toute la dette s’efface au saut du maillet des juges par la liquidation. Tout le personnel est « virable », payé par les AGS, au chômage, en reconversion, ou sur le compte de leur maman selon leur contrat. Les pigistes ont les situations les plus précaires.
Par contre l’entreprise hors de toutes dettes et avec un minimum de reprise de personnel, une belle somme d’argent du repreneur à partager, entre auxiliaires de justice et certains créanciers, (s’il reste de l’argent) redevient banquable, réinitialisable, défiscalisable, subventionnable et envisageable.
C’est donc un gros coup qui se joue actuellement pour ceux qui sont en chasse dans ce dossier. Une enseigne leader, et un véritable réseau de pouvoir économique et politique.
Par contre ce que MAKACLA.COM ne comprend pas c’est comment un ancien actionnaire peut raisonnablement se retrouver à la table des repreneurs.
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