Effectivement comment comprendre que ce dernier qui aurait fait des dettes pourrait se retrouver à la tête de cette même entreprise autrement que part un plan de continuation? Si c’était le cas tous les patrons et actionnaires d’entreprises liquidées pourraient demander par quel quinbwa cela serait-il possible, commencé par les différentes coopératives agricoles et pêches.
Voilà encore ce que disait RCI ; « Actionnaire minoritaire actuel du groupe Hersant Medias, la dirigeante d'AJR Participations a passé 48 heures à Fort-de-France la semaine dernière "pour rencontrer les équipes du siège d'Antilles Guyane Medias et commencer à battre campagne", comme le laissait entendre le quotidien "Le Figaro", dans son édition du 7 avril. »
N’est-ce donc pas cette même société qui aurait aussi des actions dans France Antilles. HERSAN MEDIA ne serait donc t-il pas actionnaire de France Antilles ?
Si c’était ainsi, il s’agirait d’un MIC MAC. Gageons que le bavard FA renseignera l’opinion publique sur ce point. Car s’il s’agissait par personnes interposée de faire rentrer par la fenêtre des gens que l’on fait sortir par la porte, il y aurait de quoi s’interroger sérieusement.
On peut se dire que quand les bijoux de famille sont en danger la solidarité familiale peut parfois se remettre en place.
On doit aussi à cet instant s’interroger sur la naïveté du personnel, dont des journalistes qui donnent des leçons de science des affaires, qui toujours selon RCI demanderaient eux aussi la liquidation de l’entreprise ? À moins qu’il ne s’agisse de duplicité avec l’un des repreneurs.
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Voilà encore ce que disait RCI ; « Actionnaire minoritaire actuel du groupe Hersant Medias, la dirigeante d'AJR Participations a passé 48 heures à Fort-de-France la semaine dernière "pour rencontrer les équipes du siège d'Antilles Guyane Medias et commencer à battre campagne", comme le laissait entendre le quotidien "Le Figaro", dans son édition du 7 avril. »
N’est-ce donc pas cette même société qui aurait aussi des actions dans France Antilles. HERSAN MEDIA ne serait donc t-il pas actionnaire de France Antilles ?
Si c’était ainsi, il s’agirait d’un MIC MAC. Gageons que le bavard FA renseignera l’opinion publique sur ce point. Car s’il s’agissait par personnes interposée de faire rentrer par la fenêtre des gens que l’on fait sortir par la porte, il y aurait de quoi s’interroger sérieusement.
On peut se dire que quand les bijoux de famille sont en danger la solidarité familiale peut parfois se remettre en place.
On doit aussi à cet instant s’interroger sur la naïveté du personnel, dont des journalistes qui donnent des leçons de science des affaires, qui toujours selon RCI demanderaient eux aussi la liquidation de l’entreprise ? À moins qu’il ne s’agisse de duplicité avec l’un des repreneurs.
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