4) Mais cest aussi l'occasion d'une belle rencontre et surtout un entretien avec une personne sensible, qui parfois sait laisser son émotion le déborder !
Il ne doit pas être facile pour un critique d'art de faire de l'art ! Mais c'est allègrement qu'Alain franchit la ligne de front pour passer de l'autre côté. Pour ceux qui ne le savent pas, il y eut en Martinique, une époque où ceux qui écrivaient sur les arts et la culture devaient avoir une connaissance de l'art pour en parler. Nous n'avions ni internet ni les réseaux et à cette époque certaines personnes exerçaient leur plume, faisaient , défaisaient un artiste.
KASSAV' est né dans cette période.
Dans ces papiers , publiés à une époque ou le journal France-Antilles gagnait encore de l'argent, l'invitation était permanente à la découverte des autres quand un papier était signé de lui. Un trio infernal sévissait, et instruisait les lecteurs à la chose culturelle. L'identité était une révolution césairienne, et le peuple bouffait de la culture avec avidité, pour sa structuration mentale. A RFO il y avait Daniel Bétis dans son émission "Art et spectacles", à RCI Ignace Pastel et son émission "Makrélaj" et sur France Antilles Alain Aumis et Pierre Lucette gravaient l'histoire dans le marbre.
KASSAV' est né dans cette période.
Dans ces papiers , publiés à une époque ou le journal France-Antilles gagnait encore de l'argent, l'invitation était permanente à la découverte des autres quand un papier était signé de lui. Un trio infernal sévissait, et instruisait les lecteurs à la chose culturelle. L'identité était une révolution césairienne, et le peuple bouffait de la culture avec avidité, pour sa structuration mentale. A RFO il y avait Daniel Bétis dans son émission "Art et spectacles", à RCI Ignace Pastel et son émission "Makrélaj" et sur France Antilles Alain Aumis et Pierre Lucette gravaient l'histoire dans le marbre.