Ce duel est un combat politique, au sens du positionnement des partis dans leur capacité à avoir un député pour l’Assemblée Nationale. Un député donne une envergure nationale au mouvement auquel il appartient et une aide sérieuse au financement du mouvement. À l’époque Alfred MARIE JEANNE l’avait compris et avait renié son engagement, à ne jamais participer aux élections françaises.
Depuis le MIM a une représentation nationale, et le second député JPN est venu confirmer d’une part la force du mouvement local et son impact au plus haut niveau de la république.
Les deux députés du MIM n’ont jamais, fait bataille sur le fondement idéologique de l’indépendance. Au mieux ils auraient chevillé pour l’obtention du 74. AMJ s’abritant derrière le concept de peuple qui dispose. JPN, choisissant un concept plus inclusif, mais aussi vide de sens que celui de « l’endidantité».
Comprenez pour ceux qui ne sont pas sur les tréteaux, le concept de dan pep la , pou pep la épi pep la. Ces deux élus se sont anchoukés dans le peuple, et n’ont jamais fait avancer la cause indépendantiste. Il n’est même pas certain qu’ils aient réussi à expliquer leur programme économique indépendantiste, quand bien même à un moment, ils ont disposé du seul levier performant qui pouvait transformer l’économie Martiniquaise.
Prenez l’exemple de l’artisanat, un déficit chronique ronge le principal levier d’initiative du pays. Ni LETCHIMY ni AMJ ne se sont véritablement penché sur ce sujet.
Effectivement comme nous le savons tous, il n’y a pas eu de révolution économique, pendant l’ère AMJ. Ce n’est pas du seul fait du Président Désankailleur, de l’époque, mais comment imaginer une inversion dans le hub caraïbe de la consommation. La plate-forme de consommation , MARTINIQUE a pour vocation économique de consumer les productions de sociétés industrielles Européennes.
À travers les transferts de fonds de l’état, de l’Europe, c’est une incitation à la consommation qui est propulsée par un état approuvé par la population de cette MARTINIQUE.
Donc quand NILORS et MARIE JEANNE n’ont pas développé la question de l’indépendance, ils ont fait ce que le peuple voulait ainsi. Mais Ils ont continué de développer un comptoir européen, ne pouvant lutter seuls contre une machine mondialisée qui est celle de l’organisation mondiale des marchés, c'est-à-dire l’OMC.
Depuis le MIM a une représentation nationale, et le second député JPN est venu confirmer d’une part la force du mouvement local et son impact au plus haut niveau de la république.
Les deux députés du MIM n’ont jamais, fait bataille sur le fondement idéologique de l’indépendance. Au mieux ils auraient chevillé pour l’obtention du 74. AMJ s’abritant derrière le concept de peuple qui dispose. JPN, choisissant un concept plus inclusif, mais aussi vide de sens que celui de « l’endidantité».
Comprenez pour ceux qui ne sont pas sur les tréteaux, le concept de dan pep la , pou pep la épi pep la. Ces deux élus se sont anchoukés dans le peuple, et n’ont jamais fait avancer la cause indépendantiste. Il n’est même pas certain qu’ils aient réussi à expliquer leur programme économique indépendantiste, quand bien même à un moment, ils ont disposé du seul levier performant qui pouvait transformer l’économie Martiniquaise.
Prenez l’exemple de l’artisanat, un déficit chronique ronge le principal levier d’initiative du pays. Ni LETCHIMY ni AMJ ne se sont véritablement penché sur ce sujet.
Effectivement comme nous le savons tous, il n’y a pas eu de révolution économique, pendant l’ère AMJ. Ce n’est pas du seul fait du Président Désankailleur, de l’époque, mais comment imaginer une inversion dans le hub caraïbe de la consommation. La plate-forme de consommation , MARTINIQUE a pour vocation économique de consumer les productions de sociétés industrielles Européennes.
À travers les transferts de fonds de l’état, de l’Europe, c’est une incitation à la consommation qui est propulsée par un état approuvé par la population de cette MARTINIQUE.
Donc quand NILORS et MARIE JEANNE n’ont pas développé la question de l’indépendance, ils ont fait ce que le peuple voulait ainsi. Mais Ils ont continué de développer un comptoir européen, ne pouvant lutter seuls contre une machine mondialisée qui est celle de l’organisation mondiale des marchés, c'est-à-dire l’OMC.