La première manœuvre des nouveaux repreneurs a consisté à enlever l'immobilier de la société d'exploitation du journal.
Pour ceux qui ne le savent pas, une société c'est schématiquement deux boîtes, chacune sur le plateau d'une balance. Ces boîtes sont l'actif et le passif. Une fois liquidée, une entreprise est débarrassée de tout son passif. L'actif lui, est composé de plusieurs tiroirs dont deux déterminants, l'actif corporel et l'actif incorporel. C'est ce qui donne la nouvelle valeur de l'entreprise.
L'actif incorporel c'est entre autre chose, la marque de l'entreprise à savoir , les différents titres: France Antilles Choubouloute, Créola, ect ; L'actif corporel lui est composé principalement des machines et de l'immobilier, mais pas que. Sauf que dans le cas de France-Antilles, la vraie valeur palpable de l'entreprise c'est l'immobilier de la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique. On parle d'une valeur réelle de plus de 25 millions avec le fond de commerce .
C'est entre autre cela, que les nouveaux actionnaires viennent de racheter pour dit -on une enveloppe globale de 9 millions. Faites vous-même le calcul et imaginez la plus-value au départ. Cet immobilier a été sorti de la société d'exploitation du journal pour environ 9 millions. Dès l'instant nous pouvons considérer que les seules valeurs restantes dans l'entreprise vendue en cession sont les valeurs incorporelles, la machine de labeur ayant montré ses limites.
Ghislaine Joachim- Arnaud dirait : Du Pipi de chat !
Voici donc comment un hold-up légal a été organisé en toute méthode sur une entreprise du patrimoine martiniquais. Les repreneurs avaient le droit de faire ce qu'ils ont fait , sauf qu'ils ne devaient pas êtes désignés comme repreneurs et se retrouver en mesure de faire une telle manœuvre si la loi n'avait pas été appliquée avec une certaine légèreté. Disons avec complaisance.
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L'actif incorporel c'est entre autre chose, la marque de l'entreprise à savoir , les différents titres: France Antilles Choubouloute, Créola, ect ; L'actif corporel lui est composé principalement des machines et de l'immobilier, mais pas que. Sauf que dans le cas de France-Antilles, la vraie valeur palpable de l'entreprise c'est l'immobilier de la Guadeloupe, la Guyane et la Martinique. On parle d'une valeur réelle de plus de 25 millions avec le fond de commerce .
C'est entre autre cela, que les nouveaux actionnaires viennent de racheter pour dit -on une enveloppe globale de 9 millions. Faites vous-même le calcul et imaginez la plus-value au départ. Cet immobilier a été sorti de la société d'exploitation du journal pour environ 9 millions. Dès l'instant nous pouvons considérer que les seules valeurs restantes dans l'entreprise vendue en cession sont les valeurs incorporelles, la machine de labeur ayant montré ses limites.
Ghislaine Joachim- Arnaud dirait : Du Pipi de chat !
Voici donc comment un hold-up légal a été organisé en toute méthode sur une entreprise du patrimoine martiniquais. Les repreneurs avaient le droit de faire ce qu'ils ont fait , sauf qu'ils ne devaient pas êtes désignés comme repreneurs et se retrouver en mesure de faire une telle manœuvre si la loi n'avait pas été appliquée avec une certaine légèreté. Disons avec complaisance.
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