Les détracteurs de notre média, dont le plus illustre ,Daniel Marie-Sainte, qui dernièrement faisait ressortir un article de France-Antilles relatif à l'expérience que j'ai vécue en qualité de repreneur d'Agri-Caraibes considérait qu'une telle expérience était un échec. Pour moi, c'est une expérience de monde de l'entreprise. C'est grâce à cette expérience vécue que nous allons vous expliquer pourquoi l'arrêt de l'entreprise France-Antilles ne correspond pas forcément à l'arrêt du titre France-Antilles.
Ce que nous allons vous dire ici, d'autres journalistes pourraient vous l'avoir dit. Mais ils font de l'actualité. C'est à dire qu'ils courent après l'info. Or pour les Martiniquais, qui veulent comprendre comment la Martinique fonctionne vraiment, c'est une information qui analyse les enjeux, donne les dessous de l'affaire, et explique l'intrigue dont les Martiniquais ont besoin.
C'est la raison d'être d'un média comme le notre. Analyser, révéler expliquer pour anticiper un réel immédiat et futur ...
Notre avis, c'est que le journal France-Antilles ne sera pas liquidé. Le préfet est à la manœuvre, et nous serions étonné dans un pays sous administration, que la justice donne tort au préfet, dans un tel dossier. Dans cette opération de sauvetage du seul canal de diffusion écrit dont dispose l'état dans les pays d'outremers, l'essentiel doit être sauvegardé.
Nous , nous allons par contre dans un premier temps vous dire pourquoi le risque de liquidation est grand, pourquoi et comment on a pu en arriver là, et surtout pourquoi c'est le personnel qui est le grand perdant de ce qui peut être assimilé à une opération commando, pour sauver dans l'entreprise le média pour l'Etat et l'immobilier pour les repreneurs.
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C'est la raison d'être d'un média comme le notre. Analyser, révéler expliquer pour anticiper un réel immédiat et futur ...
Notre avis, c'est que le journal France-Antilles ne sera pas liquidé. Le préfet est à la manœuvre, et nous serions étonné dans un pays sous administration, que la justice donne tort au préfet, dans un tel dossier. Dans cette opération de sauvetage du seul canal de diffusion écrit dont dispose l'état dans les pays d'outremers, l'essentiel doit être sauvegardé.
Nous , nous allons par contre dans un premier temps vous dire pourquoi le risque de liquidation est grand, pourquoi et comment on a pu en arriver là, et surtout pourquoi c'est le personnel qui est le grand perdant de ce qui peut être assimilé à une opération commando, pour sauver dans l'entreprise le média pour l'Etat et l'immobilier pour les repreneurs.
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