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Résultat, employés et syndicats sont obligés d’arriver à des situations extrêmes pour tenter de faire entendre leur voix. Les salariés ressortent souvent humiliés, leur légitimité et leurs droits étant systématiquement remis en cause.
Finalement, que reste-t-il de l’engagement du MIM ?
En parcourant le site internet du Mouvement, ses promesses envers le peuple martiniquais sont plus vivaces que jamais, ses combats ayant traversé les siècles de manière fulgurante ‘’verticale’’ et inébranlable. Le parti tenterait encore de « rechercher un modèle sociétal qui place l’humain au centre de toutes ses préoccupations, où l’éducation, la formation, la justice sociale, la solidarité se retrouvent moteurs du développement. ». Il serait le garant de la liberté du peuple, le protecteur de la démocratie : « Nous prônons également l’exigence démocratique, car nous avons fait le choix de la voie démocratique en consultant et respectant les choix du peuple ».
Enfin nous disent-ils, le MIM, c’est un mouvement qui s’évertue à combattre l’obscurantisme donc à assurer la diffusion des savoirs et de la culture « Le MIM combat en permanence toutes les formes de dépendances et de dominations ». Ne soyons pas crédule ! Désinformer, démobiliser, désorganiser pour mieux endoctriner, voilà le plan d’action mis en place aujourd’hui. Si seulement les dirigeants du parti pouvaient appliquer ce dont ils se targuent, le monde politique se porterait bien, moins fracturé. S’ils pouvaient faire preuve de moralité, le désintérêt des citoyens pour les affaires politiques (face à ce qu’ils jugent comme un pourrissement de la classe politique) serait moins marqué ! Dernièrement, s’ils pouvaient s’armer des compétences nécessaires pour créer des projets indispensables au développement de l’île et à son attractivité, alors le PIB ne serait pas en net recul.
Travaillez pour le peuple, non pas à faire la chasse à l’ennemi, à diviser sans cesse. Amenez notre pays vers le haut, cessez de le démolir et de démolir tout le travail qui a été fait avant vous !
En parcourant le site internet du Mouvement, ses promesses envers le peuple martiniquais sont plus vivaces que jamais, ses combats ayant traversé les siècles de manière fulgurante ‘’verticale’’ et inébranlable. Le parti tenterait encore de « rechercher un modèle sociétal qui place l’humain au centre de toutes ses préoccupations, où l’éducation, la formation, la justice sociale, la solidarité se retrouvent moteurs du développement. ». Il serait le garant de la liberté du peuple, le protecteur de la démocratie : « Nous prônons également l’exigence démocratique, car nous avons fait le choix de la voie démocratique en consultant et respectant les choix du peuple ».
Enfin nous disent-ils, le MIM, c’est un mouvement qui s’évertue à combattre l’obscurantisme donc à assurer la diffusion des savoirs et de la culture « Le MIM combat en permanence toutes les formes de dépendances et de dominations ». Ne soyons pas crédule ! Désinformer, démobiliser, désorganiser pour mieux endoctriner, voilà le plan d’action mis en place aujourd’hui. Si seulement les dirigeants du parti pouvaient appliquer ce dont ils se targuent, le monde politique se porterait bien, moins fracturé. S’ils pouvaient faire preuve de moralité, le désintérêt des citoyens pour les affaires politiques (face à ce qu’ils jugent comme un pourrissement de la classe politique) serait moins marqué ! Dernièrement, s’ils pouvaient s’armer des compétences nécessaires pour créer des projets indispensables au développement de l’île et à son attractivité, alors le PIB ne serait pas en net recul.
Travaillez pour le peuple, non pas à faire la chasse à l’ennemi, à diviser sans cesse. Amenez notre pays vers le haut, cessez de le démolir et de démolir tout le travail qui a été fait avant vous !
