La seconde c'est que lui autant que nous, sommes persuadés que la Martinique ne pourra pas sortir de ses difficultés si la méfiance entre nègre,béké et vice versa persiste.
Mais on sait aussi maintenant que sa parole est politique depuis peu. Effectivement notre ami de savane, (c'est à dire que nous rencontrons hors de chez lui et hors de chez nous) a aussi appelé à voter pour un camp aux élections européennes. C'est sont droit de faire aussi de la politique, en plus des affaires qu'il dirige, mais sa parole prend aussi un autre relief ! Un relief de partisan désormais...
Mais bien loin de nous opposer à lui comme le titre de cet article semble pouvoir l’entendre, pour un effet de style et d'attraction, nous croyons que la situation est plus grave que De Reynal ne veut bien le dire. Oui la situation est gravissime du seul fait de la place des collectivités dans notre économie, mais ce qui la rend encore plus périlleuse, c'est que 80 % de la valeur ajoutée crée en Martinique sur le secteur marchand soient détenus par les rois de l'importation, sans que ceux ci ne soient dans un rapport de confiance et de partage de ces bénéfices avec le reste des acteurs économiques.
Le Professeur Charles Nicolas lui même l'affirmait, la Martinique ne pourra avancer collectivement que lorsque l'impasse de l'esclavage, de la domination , des sévices, de l'inégalité des chances et de la séparation seront traités.
Que vient faire ici encore me direz-vous à ce stade la question de l'esclavage ?
Pour comprendre notre argumentation cliquez sur page suivante.
Mais bien loin de nous opposer à lui comme le titre de cet article semble pouvoir l’entendre, pour un effet de style et d'attraction, nous croyons que la situation est plus grave que De Reynal ne veut bien le dire. Oui la situation est gravissime du seul fait de la place des collectivités dans notre économie, mais ce qui la rend encore plus périlleuse, c'est que 80 % de la valeur ajoutée crée en Martinique sur le secteur marchand soient détenus par les rois de l'importation, sans que ceux ci ne soient dans un rapport de confiance et de partage de ces bénéfices avec le reste des acteurs économiques.
Le Professeur Charles Nicolas lui même l'affirmait, la Martinique ne pourra avancer collectivement que lorsque l'impasse de l'esclavage, de la domination , des sévices, de l'inégalité des chances et de la séparation seront traités.
Que vient faire ici encore me direz-vous à ce stade la question de l'esclavage ?
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