Voici le poème
Lettre ouverte aux martiniquais
Pour un pays apaisé
Dans le chaos polémiste perpétuel instauré, notre terre est couchée.
Plus un jour sans violences gratuites, acerbes et meurtrières, plus un jour sans volcan fou, cracheur
de feu, ivre à la dérive, plus un jour sans vacarme marécageux.
Les poings, les armes, les bouches se font les messagers kamikazes de « violences-caméléons »,
sournoises et assommantes, gangrènes de nos dernières parcelles de dignité.
Je m’insurge contre ces comportements barbares.
Je m’élève contre ce qui ambitionne de briser notre lien d’humanité par la polémique stérile, la
critique gratuite, la diffamation malveillante pouvant de près ou de loin porter préjudice physique ou
moral à quiconque.
Je m’élève, contre la dérive des mots assassins et au-dessus des détracteurs des bords querelleurs.
Au-delà des clivages politiques, des femmes et des hommes ont travaillé, travaillent et travailleront
au progrès de notre pays, au mieux-vivre de nos aînés, au bien-être de notre jeunesse.
Telle est notre force vive, commune et nourricière.
Donnons-lui la chance de son éclosion,
Mesurons nos mots, apaisons nos volcans.
Je crois en la force du propos serein et en la puissance pacificatrice des idées qu’il peut porter.
Je crois en l’impact du verbe et à sa résonnance apaisante dans nos actes quotidiens.
Je crois en la vitalité du sens critique constructif.
Je crois aussi que l’échange ne peut se faire que sur la base de l’estime réciproque.
Alors, je choisis le plus large contre le plus étroit
Pour le mouvement qui nous met au coude à coude
Pour celui qui rassemble les énergies contre celui qui les divise;
Pour celui qui libère « le faire-ensemble » dans le respect et la tolérance.
Pour notre pays et pour nos enfants,
Je choisis la parole salvatrice, humble et digne.
Je suis AUSSI homme-courbaril.
Pour un pays apaisé
Dans le chaos polémiste perpétuel instauré, notre terre est couchée.
Plus un jour sans violences gratuites, acerbes et meurtrières, plus un jour sans volcan fou, cracheur
de feu, ivre à la dérive, plus un jour sans vacarme marécageux.
Les poings, les armes, les bouches se font les messagers kamikazes de « violences-caméléons »,
sournoises et assommantes, gangrènes de nos dernières parcelles de dignité.
Je m’insurge contre ces comportements barbares.
Je m’élève contre ce qui ambitionne de briser notre lien d’humanité par la polémique stérile, la
critique gratuite, la diffamation malveillante pouvant de près ou de loin porter préjudice physique ou
moral à quiconque.
Je m’élève, contre la dérive des mots assassins et au-dessus des détracteurs des bords querelleurs.
Au-delà des clivages politiques, des femmes et des hommes ont travaillé, travaillent et travailleront
au progrès de notre pays, au mieux-vivre de nos aînés, au bien-être de notre jeunesse.
Telle est notre force vive, commune et nourricière.
Donnons-lui la chance de son éclosion,
Mesurons nos mots, apaisons nos volcans.
Je crois en la force du propos serein et en la puissance pacificatrice des idées qu’il peut porter.
Je crois en l’impact du verbe et à sa résonnance apaisante dans nos actes quotidiens.
Je crois en la vitalité du sens critique constructif.
Je crois aussi que l’échange ne peut se faire que sur la base de l’estime réciproque.
Alors, je choisis le plus large contre le plus étroit
Pour le mouvement qui nous met au coude à coude
Pour celui qui rassemble les énergies contre celui qui les divise;
Pour celui qui libère « le faire-ensemble » dans le respect et la tolérance.
Pour notre pays et pour nos enfants,
Je choisis la parole salvatrice, humble et digne.
Je suis AUSSI homme-courbaril.