Analyse de Frédéric Angleviel
« Quand on regarde les résultats électoraux de ces dernières années, il y a 35 à 40 % d’indépendantistes, et 60 à 65 % de non indépendantistes. Le ratio peut changer un peu dans un sens ou dans un autre. Mais il devrait logiquement être le même », prédit Frédéric Angleviel. Selon lui, en cas de victoire du « non », une autre question devrait tout de même se poser : « doit-on signer un troisième accord ou doit-on aller aux urnes pour un deuxième référendum ? »