Dans cette période électorale, l’opinion publique a observé que la justice était capable de mettre en place tout un arsenal judiciaire pour interroger un candidat aux présidentielles en moins de 48 heures. F. Fillon en une semaine a été entendu par la police, le sénat a été perquisitionné, et toute sa famille a passé plus de 4 heures en moyenne face à la machine judiciaire.
Nous nous étonnons, alors que depuis 7 mois nous hurlons aux loups avec d’autres sur l’affaire de l’assassinat de la pêche artisanale martiniquaise par le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR et la CTM qu’aucune autorité, y compris celle de la justice, ne regarde de plus près ce qui a tous les aspects d’un accommodement irrégulier.
Depuis 7 mois une plainte a été déposée. Les déposants sont en possession de l’accusé de réception. Ils sont actionnaires, sociétaires, marins pécheurs, défenseurs de la profession et donc légitime à demander qu’un éclairage soit fait sur certaines pratiques d’auxiliaires de justice en MARTINIQUE en particulier dans ce dossier.
L’affaire GUIBERT était déjà venu montrer que si la justice pouvait être au-dessus de toute suspicion, il n’en était pas de même pour tous ceux qui la mettaient en œuvre.
850 patrons marins-pêcheurs Martiniquais meurent dans l’indifférence des autorités, alors qu’un groupe avec des complicités au mieux, une indifférence à minima, étrangle tout un secteur économique. La pêche artisanale c’est la tradition, c’est aussi la carte postale du secteur touristique, c’est encore l’approvisionnement de milliers de familles et de restaurants traditionnels.
Sur RCI un collectif a hurlé sa douleur.
Comprenez qu’il n’est pas question de critiquer la décision du tribunal de commerce. D’autant que nous avons les preuves que ceux qui devaient éclairer le dossier ont enfumé ce tribunal. Si ce n’est un enfumage, c’est de l’incompétence à moins qu’il ne s’agisse de favoriser volontairement l’un candidat en dépit de l’intérêt général et des capacités propres du porteur.
Le temps judiciaire étant passé, il s’agit maintenant d’apprécier la justesse de la décision avec l’éclairage du temps économique.
C’est donc uniquement sur la réalité économique que nous entendons vous démontrer que tout a été fait pour vous cacher les inconsistances et les incohérences de l’offre MAXIPECH portée par le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR
Il vous a été caché que le groupe MAXIPECH’ composé de trois repreneurs devait vous fournir 9 bilans. Les trois derniers pour chaque repreneur. Les juges n’en avaient que 7. Vous ne pouviez savoir ce que les deux autres cachaient.
Aujourd’hui, la réponse est claire, il s’agissait de masquer une absence de fonds propres. Résultat 7 mois après, les rayons sont vides, pas un conteneur en mer et les professionnels crient au désespoir.
Les professionnels s’organisent en comité de résistance pour crier leur malheur.
Est-ce aussi cette absence de fonds propres, qui explique que les MAXIPECH’ le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR, se transformer en occupant sans titre des cuves de la compagnie pétrolière RUBIS. Vous ne pouvez pas ne pas savoir que votre tribunal a considéré que, l’utilisation du matériel en place pour la fourniture de l’essence est abusive.
Alors que les MAXIPECH le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR avait préféré faire un enfant dans le dos au propriétaire des cuves, le procureur avait déjà prévenu que ce choix lui paraissait armer une salve de difficultés et d’impossibilités probables.
Vous aviez donc été alerté.
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Nous nous étonnons, alors que depuis 7 mois nous hurlons aux loups avec d’autres sur l’affaire de l’assassinat de la pêche artisanale martiniquaise par le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR et la CTM qu’aucune autorité, y compris celle de la justice, ne regarde de plus près ce qui a tous les aspects d’un accommodement irrégulier.
Depuis 7 mois une plainte a été déposée. Les déposants sont en possession de l’accusé de réception. Ils sont actionnaires, sociétaires, marins pécheurs, défenseurs de la profession et donc légitime à demander qu’un éclairage soit fait sur certaines pratiques d’auxiliaires de justice en MARTINIQUE en particulier dans ce dossier.
L’affaire GUIBERT était déjà venu montrer que si la justice pouvait être au-dessus de toute suspicion, il n’en était pas de même pour tous ceux qui la mettaient en œuvre.
850 patrons marins-pêcheurs Martiniquais meurent dans l’indifférence des autorités, alors qu’un groupe avec des complicités au mieux, une indifférence à minima, étrangle tout un secteur économique. La pêche artisanale c’est la tradition, c’est aussi la carte postale du secteur touristique, c’est encore l’approvisionnement de milliers de familles et de restaurants traditionnels.
Sur RCI un collectif a hurlé sa douleur.
Comprenez qu’il n’est pas question de critiquer la décision du tribunal de commerce. D’autant que nous avons les preuves que ceux qui devaient éclairer le dossier ont enfumé ce tribunal. Si ce n’est un enfumage, c’est de l’incompétence à moins qu’il ne s’agisse de favoriser volontairement l’un candidat en dépit de l’intérêt général et des capacités propres du porteur.
Le temps judiciaire étant passé, il s’agit maintenant d’apprécier la justesse de la décision avec l’éclairage du temps économique.
C’est donc uniquement sur la réalité économique que nous entendons vous démontrer que tout a été fait pour vous cacher les inconsistances et les incohérences de l’offre MAXIPECH portée par le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR
Il vous a été caché que le groupe MAXIPECH’ composé de trois repreneurs devait vous fournir 9 bilans. Les trois derniers pour chaque repreneur. Les juges n’en avaient que 7. Vous ne pouviez savoir ce que les deux autres cachaient.
Aujourd’hui, la réponse est claire, il s’agissait de masquer une absence de fonds propres. Résultat 7 mois après, les rayons sont vides, pas un conteneur en mer et les professionnels crient au désespoir.
Les professionnels s’organisent en comité de résistance pour crier leur malheur.
Est-ce aussi cette absence de fonds propres, qui explique que les MAXIPECH’ le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR, se transformer en occupant sans titre des cuves de la compagnie pétrolière RUBIS. Vous ne pouvez pas ne pas savoir que votre tribunal a considéré que, l’utilisation du matériel en place pour la fourniture de l’essence est abusive.
Alors que les MAXIPECH le groupe WAN , COPPET MONPLAISIR avait préféré faire un enfant dans le dos au propriétaire des cuves, le procureur avait déjà prévenu que ce choix lui paraissait armer une salve de difficultés et d’impossibilités probables.
Vous aviez donc été alerté.
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