ci en l’occurrence de quoi s’agit-il : Il semblerait qu’un enseignant aurait demandé à ses élèves de suivre certaines consignes. Dont une qui risque d’interpeller l’opinion publique. Pour preuve la reprise de cette information sur le mur d’un élu majeur de la CTM ;
Voici son exclamation
« En plein 21ème siècle, 169 ans après l'abolition de l'esclavage, on aura tout vu en Martinique !
C'est une blague !???
Un ami de Rivière Pilote m'a transmis la copie d'un "règlement intérieur" qu'un enseignant français, récemment arrivé dans notre Pays, aurait remis aux élèves du Collège Jacques Roumain. Celui-ci voudrait-il revenir aux années d'avant 1950, en interdisant aux élèves de s'exprimer en CREOLE !!! (voir la copie ci-dessous)
Je n'ose pas le croire !!!
Pour moi, c'est à celui, qui arrive dans un Pays, d'apprendre la langue parlée par l'immense majorité de la population qui y vit.
Cet enseignant français n'a qu'à s'adresser à l'Université des Antilles, en particulier au GEREC, pour apprendre notre langue, au lieu d'avoir la prétention chimérique de chercher à l'interdire dans sa classe ! »
A ce stade comme on dit le coup est parti. Voici une info qui va buzer. A ICICMARTINIQUE.COM nous nous sommes posés deux questions. Est-ce que l’affaire serait la même si l’enseignant était Martiniquais ? Et pourquoi un enseignant isolé ferait son règlement personnel et le soumettrait aux élèves sans le faire valider par son supérieur hiérarchique.
C’est plus cet aspect des choses qui nous interpelle, d’autant que bon nombre d’enfants, devenus médecin avocats, racontent avec délectation l’époque durant laquelle à la MARTINIQUE des parents interdisaient strictement à des enfants de parler la langue maternelle. Il en est de même que pour les enfants d’immigrés caraïbéens en MARTINIQUE, dont les descendants ne parlaient pas anglais. Autre point qui nous interpelle c’est que le document de ce règlement ne situe ni le lieu ni la personne. Donc il convient d’enquêter pour bien comprendre d’où vient le vent.
A ce titre nous avons posé la question par écrit, officiellement au service communication de l’académie et au collège de Rivière pilote. Nous vous ferons connaître leur réponse.
Voici son exclamation
« En plein 21ème siècle, 169 ans après l'abolition de l'esclavage, on aura tout vu en Martinique !
C'est une blague !???
Un ami de Rivière Pilote m'a transmis la copie d'un "règlement intérieur" qu'un enseignant français, récemment arrivé dans notre Pays, aurait remis aux élèves du Collège Jacques Roumain. Celui-ci voudrait-il revenir aux années d'avant 1950, en interdisant aux élèves de s'exprimer en CREOLE !!! (voir la copie ci-dessous)
Je n'ose pas le croire !!!
Pour moi, c'est à celui, qui arrive dans un Pays, d'apprendre la langue parlée par l'immense majorité de la population qui y vit.
Cet enseignant français n'a qu'à s'adresser à l'Université des Antilles, en particulier au GEREC, pour apprendre notre langue, au lieu d'avoir la prétention chimérique de chercher à l'interdire dans sa classe ! »
A ce stade comme on dit le coup est parti. Voici une info qui va buzer. A ICICMARTINIQUE.COM nous nous sommes posés deux questions. Est-ce que l’affaire serait la même si l’enseignant était Martiniquais ? Et pourquoi un enseignant isolé ferait son règlement personnel et le soumettrait aux élèves sans le faire valider par son supérieur hiérarchique.
C’est plus cet aspect des choses qui nous interpelle, d’autant que bon nombre d’enfants, devenus médecin avocats, racontent avec délectation l’époque durant laquelle à la MARTINIQUE des parents interdisaient strictement à des enfants de parler la langue maternelle. Il en est de même que pour les enfants d’immigrés caraïbéens en MARTINIQUE, dont les descendants ne parlaient pas anglais. Autre point qui nous interpelle c’est que le document de ce règlement ne situe ni le lieu ni la personne. Donc il convient d’enquêter pour bien comprendre d’où vient le vent.
A ce titre nous avons posé la question par écrit, officiellement au service communication de l’académie et au collège de Rivière pilote. Nous vous ferons connaître leur réponse.