Le montage pour arriver à l’augmentation, en particulier sur la partie aide régionale départementale et de l’état est une manière de fonctionnariser l’ensemble des travailleurs martiniquais.
Dès lors quelle sera la légitimité d’un patron, même pour » le gros béké pwofiteur » quand une partie du salaire sera générée par de la valeur ajoutée réalisée non pas par l’entreprise, mais par la solidarité nationale et l’octroi de mer. Cette solidarité nos compatriotes du Finistère n’en bénéficient pas et ça c’est une injustice.
Cette décision de faire participer les collectivités dans l’élaboration du salaire est unique dans le monde. Cette concession des élus d’abord de la Guadeloupe puis de la Martinique en quête de légitimité est la décision la plus grave prise depuis la défiscalisation.
André LUCRESSE considère qu’il ne s’agit pas là du crise sociétale, mais de la manifestation d’une maladie appelée autrefois malcadi devenu à notre époque le malkady ( le mal du caddy ). Pour soigner ce mal nous avons pris un mauvais médicament.
Roland LAOUCHEZ n’a cessé de le répéter : « les négociations salariales ont réduit à néant les possibilités immenses que pouvait offrir la seule problématique de la baisse des prix. «
Que fallait-il ? sinon une remise à plat de notre mode de vie. Du mieux plus que du plus, du durable plus que de l’éphémère.
Autrement dit au sortir de la crise nous sommes encore plus dépendants de l’argent public, car devenu des pseudos fonctionnaires
Dès lors quelle sera la légitimité d’un patron, même pour » le gros béké pwofiteur » quand une partie du salaire sera générée par de la valeur ajoutée réalisée non pas par l’entreprise, mais par la solidarité nationale et l’octroi de mer. Cette solidarité nos compatriotes du Finistère n’en bénéficient pas et ça c’est une injustice.
Cette décision de faire participer les collectivités dans l’élaboration du salaire est unique dans le monde. Cette concession des élus d’abord de la Guadeloupe puis de la Martinique en quête de légitimité est la décision la plus grave prise depuis la défiscalisation.
André LUCRESSE considère qu’il ne s’agit pas là du crise sociétale, mais de la manifestation d’une maladie appelée autrefois malcadi devenu à notre époque le malkady ( le mal du caddy ). Pour soigner ce mal nous avons pris un mauvais médicament.
Roland LAOUCHEZ n’a cessé de le répéter : « les négociations salariales ont réduit à néant les possibilités immenses que pouvait offrir la seule problématique de la baisse des prix. «
Que fallait-il ? sinon une remise à plat de notre mode de vie. Du mieux plus que du plus, du durable plus que de l’éphémère.
Autrement dit au sortir de la crise nous sommes encore plus dépendants de l’argent public, car devenu des pseudos fonctionnaires