Il m’est arrivé de rencontrer, Bernard Hayot et ses fils, ces derniers sont persuadés que je cultive une violence à l’égard des Martiniquais-békés, j’ai beau lui dire que les provocateurs et les racistes békés existent et que l’exemple de la marche des tracteurs sur Fort-de-France, les propos du patriarche Alain Huyghes-Despointes , l’ambivalence des comportements Roger de Jaham témoignent, mes exemples et mes constats ne pèsent pas grand chose .
A leurs yeux , le mal, la violence sont incarnés par mes propos sur KMT et mes écrits dans le Naïf.
Et la boucle semble se refermer,mais le temps confirme mes mises en évidence.
Face une journaliste venus du froid, les békés racistes causent en toute liberté, le documentaire de Canal Plus n’a pas servi.
Que dit la journaliste de Télérama (Emmanuelle Anizon) : « La famille de Gentile soutient financièrement le même candidat d'opposition, qui se trouve être, le hasard fait bien les choses, ex-directeur de l'office de tourisme de la Martinique. « Un béké, étant donné son "histoire", ne peut intervenir directement dans le jeu politique, regrette Jean-Michel de Gentile.
La population ne l'accepterait pas. Mais cette dissociation entre les pouvoirs économique et politique est sûrement un des drames de la Martinique. »
Son frère Bernard poursuit « Nous les békés fonctionnons en dynastie, construisons pour plusieurs générations.
Nous savons attendre, Un jour, Malsa ne sera plus là. ». On croit penser que les choses évoluent. Il y a quelques semaines, les médias locaux ont titré sur le mariage d'une fille béké avec un « Noir ». Le papa, Roger de Jaham, président de l'association Tous créoles, qui milite pour un rapprochement des Martiniquais, évoque la larme à l'oeil « ce grand jour pour les créoles ». Bernard de Gentile, invité à ce « beau mariage », nous précise tout de même que « le marié était très clair » et ne résiste pas à la boutade : « Ma femme de ménage m'a dit : "Mais c'est un Noir ! Vous n'allez pas assister à ce mariage !" »
Voilà ce que rapporte la journaliste.
b[NDLR : Nous ne sommes pas loin des propos du patriarche raciste Alain Huyghes-Despointes : « Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous [les békés] on a voulu préserver la race. ».]b
A leurs yeux , le mal, la violence sont incarnés par mes propos sur KMT et mes écrits dans le Naïf.
Et la boucle semble se refermer,mais le temps confirme mes mises en évidence.
Face une journaliste venus du froid, les békés racistes causent en toute liberté, le documentaire de Canal Plus n’a pas servi.
Que dit la journaliste de Télérama (Emmanuelle Anizon) : « La famille de Gentile soutient financièrement le même candidat d'opposition, qui se trouve être, le hasard fait bien les choses, ex-directeur de l'office de tourisme de la Martinique. « Un béké, étant donné son "histoire", ne peut intervenir directement dans le jeu politique, regrette Jean-Michel de Gentile.
La population ne l'accepterait pas. Mais cette dissociation entre les pouvoirs économique et politique est sûrement un des drames de la Martinique. »
Son frère Bernard poursuit « Nous les békés fonctionnons en dynastie, construisons pour plusieurs générations.
Nous savons attendre, Un jour, Malsa ne sera plus là. ». On croit penser que les choses évoluent. Il y a quelques semaines, les médias locaux ont titré sur le mariage d'une fille béké avec un « Noir ». Le papa, Roger de Jaham, président de l'association Tous créoles, qui milite pour un rapprochement des Martiniquais, évoque la larme à l'oeil « ce grand jour pour les créoles ». Bernard de Gentile, invité à ce « beau mariage », nous précise tout de même que « le marié était très clair » et ne résiste pas à la boutade : « Ma femme de ménage m'a dit : "Mais c'est un Noir ! Vous n'allez pas assister à ce mariage !" »
Voilà ce que rapporte la journaliste.
b[NDLR : Nous ne sommes pas loin des propos du patriarche raciste Alain Huyghes-Despointes : « Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous [les békés] on a voulu préserver la race. ».]b