Sans cette crise familiale grave, dont les traces sont profondes, qui se termine par une saignée sévère au sein du MIM le nouveau parti politique PEYI-A à l'initiative de Jean-Philippe Nilor n'existerait pas. Aujourd'hui, il est lancé sur les fonds baptismaux avec d'autres représentants du mouvement nationaliste martiniquais, les militants de Nou Pep Là. Curieusement, cette séparation à l'origine de cette distanciation au MIM est paradoxalement une réconciliation entre cousins. La deuxième génération du MIM a retrouvé la deuxième génération du MODEMAS.
Pour illustrer notre propos, c'est comme si Alfred Marie-Jeanne et Garcin Malsa s'étaient réconciliés. Alors que reste t'il de cet héritage idéologique indépendantiste et de cette guerre intestine entre fondateurs du mouvement nationaliste martiniquais ?
Jean-Philippe Nilor et Marcelin Nadeau sont au moins d'accord sur un certain nombre de points, la nécessaire utilité de réunification du mouvement nationaliste. C'est ce qui explique la présence d'une personne comme René Malouda ex Asé Pléré An Nou Lité, militant de la première heure. Le second point d'accord, c'est la notion de rendez vous générationnel. Effectivement dans le board du nouveau parti Peyi-A ,aucun membre de l’ancienne génération, quand bien même une fraction des idéologues "fractionnistes" du MIM apporte sa caution morale à ce nouveau groupe. La présence de Louis Félix Duville, l'enfant intenable de Marie-Jeanne est la meilleure preuve que ce nouveau mouvement ne part pas de rien.
Suite en page 2
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Pour illustrer notre propos, c'est comme si Alfred Marie-Jeanne et Garcin Malsa s'étaient réconciliés. Alors que reste t'il de cet héritage idéologique indépendantiste et de cette guerre intestine entre fondateurs du mouvement nationaliste martiniquais ?
Jean-Philippe Nilor et Marcelin Nadeau sont au moins d'accord sur un certain nombre de points, la nécessaire utilité de réunification du mouvement nationaliste. C'est ce qui explique la présence d'une personne comme René Malouda ex Asé Pléré An Nou Lité, militant de la première heure. Le second point d'accord, c'est la notion de rendez vous générationnel. Effectivement dans le board du nouveau parti Peyi-A ,aucun membre de l’ancienne génération, quand bien même une fraction des idéologues "fractionnistes" du MIM apporte sa caution morale à ce nouveau groupe. La présence de Louis Félix Duville, l'enfant intenable de Marie-Jeanne est la meilleure preuve que ce nouveau mouvement ne part pas de rien.
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