Alors que va-t-il se passer maintenant ?
Trois solutions :
Soit on repart pour un tour : Promesses plan social etc
Soit une liquidation pure et simple
Autre solution c'est qu' enfin le personnel prenne ses responsabilités avec une coop de travailleurs indépendants qui produit l'information et qui s'adresse à un imprimeur, pourquoi pas la société qui a acheté la nouvelle presse.
Mais ce serait trop demander à des journalistes habitués au luxe de recevoir chaque mois un salaire régulier, à l'image des faits qui montrent qu'ils sont incapables de produire une presse qui bouscule. A force de sortir une presse docile c'est tout le personnel qui se sera anesthésié ne croyant plus en lui même et incapable de s'entendre entre eux.
C'est ce que nous appelons la décomposition recomposition de la Martinique. Aujourd'hui c'est France Antilles qui se décompose, c'est l'annonce d'un nouveau projet demain. Ainsi va le monde des affaires, ici et ailleurs.
Nous attendons de savoir quand le personnel fera sa nouvelle grève, le bras de fer commence pour la défense des intérêts particuliers et glacés. Le plus terrible dans cette affaire, c'est que si on tient compte des montants qui seront distribués entre primes de départ, Assédic et AGS, donc par l'état au personnel, sans doute qu' il en faudrait beaucoup moins pour restructurer cette entreprise dont les dirigeants n'ont toujours pas compris que le papier c'est fini, et qu'on ne vend pas les campagnes de pub numérique au forfait, mais au coup pour Mille.
Si France Antilles ne marche plus c'est tout simplement que les annonceurs qu'on pigeonnait ont arrêté d'être des idiots !
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Soit on repart pour un tour : Promesses plan social etc
Soit une liquidation pure et simple
Autre solution c'est qu' enfin le personnel prenne ses responsabilités avec une coop de travailleurs indépendants qui produit l'information et qui s'adresse à un imprimeur, pourquoi pas la société qui a acheté la nouvelle presse.
Mais ce serait trop demander à des journalistes habitués au luxe de recevoir chaque mois un salaire régulier, à l'image des faits qui montrent qu'ils sont incapables de produire une presse qui bouscule. A force de sortir une presse docile c'est tout le personnel qui se sera anesthésié ne croyant plus en lui même et incapable de s'entendre entre eux.
C'est ce que nous appelons la décomposition recomposition de la Martinique. Aujourd'hui c'est France Antilles qui se décompose, c'est l'annonce d'un nouveau projet demain. Ainsi va le monde des affaires, ici et ailleurs.
Nous attendons de savoir quand le personnel fera sa nouvelle grève, le bras de fer commence pour la défense des intérêts particuliers et glacés. Le plus terrible dans cette affaire, c'est que si on tient compte des montants qui seront distribués entre primes de départ, Assédic et AGS, donc par l'état au personnel, sans doute qu' il en faudrait beaucoup moins pour restructurer cette entreprise dont les dirigeants n'ont toujours pas compris que le papier c'est fini, et qu'on ne vend pas les campagnes de pub numérique au forfait, mais au coup pour Mille.
Si France Antilles ne marche plus c'est tout simplement que les annonceurs qu'on pigeonnait ont arrêté d'être des idiots !
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