Le changement de logo, du site internet, le bon coté de l'iceberg.
Le vrai visage de l'affaire France Antilles c'est surtout une grosse opération immobilière qu'il convenait de mettre hors d'une liquidation définitive pure et simple. Nous avons de source intérieure au journal, compris que désormais cet immobilier avait été niché dans d'autres sociétés. Alors désormais que reste-il de tout ce qui existait avant ?
Maintenant la marque France Antilles est oubliée pour la marque FA,. C'est bien la preuve que France Antilles n'était pas la valeur première. Maintenant que l'immobilier est en sécurité que reste-il de l’œuf ? Une coquille vide madame la Marquise. Rappelez-vous, nous nous interrogions sur un point essentiel: Comment était-il possible qu'à la barre du tribunal une nièce rachète ce qu'un oncle avait mis en faillite ?
Nous avions hurlé à ce fait incroyable validé par les juges.. Mais comme dans toutes les magouilles,il faut un complice, cette affaire se sera réalisée parce que les gens de l'intérieur le voulaient bien. Le personnel n'est pas un personnel d'idiots. Au contraire , une bonne majorité d'intellectuels, des journalistes en particulier. Si à cette époque le personnel a accepté que l'on remette le journal à une nièce, c'est tout simplement que cette nièce promettait monts et merveilles.
Le moins de licenciement possible !
Et c'est avec cette promesse que le personnel est resté docile, et aura permis la cession à la nièce de celui qui avait fait la faillite. Aujourd'hui on revient à la case départ mais les bons fruits sont à l'abri : L'immobilier
Que va -t-il se passer, cliquez sur page suivant
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Maintenant la marque France Antilles est oubliée pour la marque FA,. C'est bien la preuve que France Antilles n'était pas la valeur première. Maintenant que l'immobilier est en sécurité que reste-il de l’œuf ? Une coquille vide madame la Marquise. Rappelez-vous, nous nous interrogions sur un point essentiel: Comment était-il possible qu'à la barre du tribunal une nièce rachète ce qu'un oncle avait mis en faillite ?
Nous avions hurlé à ce fait incroyable validé par les juges.. Mais comme dans toutes les magouilles,il faut un complice, cette affaire se sera réalisée parce que les gens de l'intérieur le voulaient bien. Le personnel n'est pas un personnel d'idiots. Au contraire , une bonne majorité d'intellectuels, des journalistes en particulier. Si à cette époque le personnel a accepté que l'on remette le journal à une nièce, c'est tout simplement que cette nièce promettait monts et merveilles.
Le moins de licenciement possible !
Et c'est avec cette promesse que le personnel est resté docile, et aura permis la cession à la nièce de celui qui avait fait la faillite. Aujourd'hui on revient à la case départ mais les bons fruits sont à l'abri : L'immobilier
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