L'autre impossibilité c'est le vivre ensemble de plusieurs communautés dont le système de valeur est différent.
Les Haïtiens se sont appropriés la place de l'Abbé Grégoire, paraîtrait qu'ils font même leur levée de drapeau. Les Latinos fonctionnent la nuit, mais c'est durant la journée qu'ils exposent la marchandise sur les trottoirs et "les boutiques que ma maman m'a donnée" ont une rentabilité très forte semble-t-il ! Les Anglophones seraient moins respectueux des normes en vigueur et n'hésiteraient pas à transformer certaines rues en Friday Night !
Les Martiniquais, originaires des Terres Sainville, obligés de rester dans le quartier, ou ayant fait le choix de résister à la pression, sont devenus les tristes spectateurs d'un quartier qu'ils ne comprennent plus. Plus grave encore il se voient considérer comme minorité dans le quartier qui n'est plus le leur. Souvent, ces Martiniquais sont des personnes âgées qui ne peuvent se mettre en opposition avec des groupes plus dynamiques parfois armés, et décidés à devenir la fureur de ceux qui n'ont pas d'autre choix que de subir . Les règlements de compte sont là pour rappeler aux uns et aux autres un peu audacieux que la vie d'un homme, n'est rien de plus que celle d'un chien sur l'autoroute de la violence.
Ce n'est pas les plus de 200 logements des HLM qui vont pouvoir changer l'issue incertaine du quartier, ni faire monter le niveau social du quartier. Au contraire, les habitants martiniquais Sainvilliens semblent dire que ceux qui y sont nouvellement affectés sont principalement des étrangers, et que parfois même certains appartements sous couvert de logement principal seraient en définitive des hôtels de passe. Cette affirmation , ce n'est pas nous qui le disons, c'est la population, et si elle le dit, tout ce qu'elle dit ne peut être totalement faux car elle vit dans le quartier.
Que font donc les autorités ? Pour poursuivre cliquez sur page suivante ou page 3
Pour écouter la population cliquez sur le bouton démarrage
.
Les Martiniquais, originaires des Terres Sainville, obligés de rester dans le quartier, ou ayant fait le choix de résister à la pression, sont devenus les tristes spectateurs d'un quartier qu'ils ne comprennent plus. Plus grave encore il se voient considérer comme minorité dans le quartier qui n'est plus le leur. Souvent, ces Martiniquais sont des personnes âgées qui ne peuvent se mettre en opposition avec des groupes plus dynamiques parfois armés, et décidés à devenir la fureur de ceux qui n'ont pas d'autre choix que de subir . Les règlements de compte sont là pour rappeler aux uns et aux autres un peu audacieux que la vie d'un homme, n'est rien de plus que celle d'un chien sur l'autoroute de la violence.
Ce n'est pas les plus de 200 logements des HLM qui vont pouvoir changer l'issue incertaine du quartier, ni faire monter le niveau social du quartier. Au contraire, les habitants martiniquais Sainvilliens semblent dire que ceux qui y sont nouvellement affectés sont principalement des étrangers, et que parfois même certains appartements sous couvert de logement principal seraient en définitive des hôtels de passe. Cette affirmation , ce n'est pas nous qui le disons, c'est la population, et si elle le dit, tout ce qu'elle dit ne peut être totalement faux car elle vit dans le quartier.
Que font donc les autorités ? Pour poursuivre cliquez sur page suivante ou page 3
Pour écouter la population cliquez sur le bouton démarrage
.
17022019 TSV population.MP3 (10.19 Mo)