Pour mémoire, ce membre malheureux avait été relégué d’une voix, et dès le lendemain avait fait savoir son refus des résultats.
Interrogé sur RCI, il déclarait : que s’il fallait faire gagner le pays en faisant perdre mon parti, qu’il assumait ! Il a même évoqué Césaire, et sa lettre à Maurice Thorez qui en son temps avait abandonné le Parti Communiste.
Pour illustrer ses propos, outre la procédure contestable, il fait remarquer son étonnement qu’un premier adjoint de la ville de Fort-De-France, qui depuis quatre mandats se donne, n’obtienne pas automatiquement du parti l’ensemble des accréditations. Il profite aussi pour faire observer dans le camp EPM plusieurs candidatures dont celles de BONTE, JEANNE ROSE, sont aussi des candidatures libres. Il explique aussi à cette occasion que les COPPET, CHAUMET, LORDINOT, sont aussi les victimes du nouveau mode de gestion, qualifié d’antidémocratique du PPM.
Est-ce là un affront ou un affranchissement ? Où est une campagne avec des mots choisis, pour faire gagner sa candidature ?
Peut-il créer la surprise et battre les candidats officiels du parti ? Bien imprudent celui qui répondrait à cette question. Mais une telle bataille, aux seins même du PPM et les craquements dans l’EPM n’est-il pas le signe que toutes ces alliances électorales de circonstance sont maintenant intenables.
Par contre, pour ceux qui ont une nouvelle vision pour le pays, et qui sont de la nouvelle génération, ne sonne-t-il pas le début, d’un nouveau projet.
Refonder la gauche. Sur le fondement des hommes, des idéologies, et des contenus.
Les indicateurs outremer montrent les difficultés. La famille, le mieux vivre, la santé, ubérisation sont le nouveau challenge. Où, n’est-il pas temps de sortir de la compétion, pour rentrer dans l’union nationale la plus élargie, qui permettra un véritable projet aboutissant à un développement durable de la MARTINIQUE ?
Ce qui étonne dans ce tumulte électoral et médiatique, c’est le silence de serge LETCHIMY. Pour l’avoir rencontré, il est furax de ce spectacle donné à tous les électeurs. Il affirme qu’un nouveau courrier a été adressé à Yvon PAQUIT lui indiquant les risques qu’il faisait courir à l’alliance et au PPM. Notons que pas un seul des mots d'YP ne laissait supposer un trouble avec Didier LAGUERRE.
Attendons le résultat de cette élection pour connaître la suite qui sera donnée à ce courrier, et pour savoir si Yvon PAQUIT démontrera que l’on peut vivre le Césairisme, sans être au PPM.
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Pour illustrer ses propos, outre la procédure contestable, il fait remarquer son étonnement qu’un premier adjoint de la ville de Fort-De-France, qui depuis quatre mandats se donne, n’obtienne pas automatiquement du parti l’ensemble des accréditations. Il profite aussi pour faire observer dans le camp EPM plusieurs candidatures dont celles de BONTE, JEANNE ROSE, sont aussi des candidatures libres. Il explique aussi à cette occasion que les COPPET, CHAUMET, LORDINOT, sont aussi les victimes du nouveau mode de gestion, qualifié d’antidémocratique du PPM.
Est-ce là un affront ou un affranchissement ? Où est une campagne avec des mots choisis, pour faire gagner sa candidature ?
Peut-il créer la surprise et battre les candidats officiels du parti ? Bien imprudent celui qui répondrait à cette question. Mais une telle bataille, aux seins même du PPM et les craquements dans l’EPM n’est-il pas le signe que toutes ces alliances électorales de circonstance sont maintenant intenables.
Par contre, pour ceux qui ont une nouvelle vision pour le pays, et qui sont de la nouvelle génération, ne sonne-t-il pas le début, d’un nouveau projet.
Refonder la gauche. Sur le fondement des hommes, des idéologies, et des contenus.
Les indicateurs outremer montrent les difficultés. La famille, le mieux vivre, la santé, ubérisation sont le nouveau challenge. Où, n’est-il pas temps de sortir de la compétion, pour rentrer dans l’union nationale la plus élargie, qui permettra un véritable projet aboutissant à un développement durable de la MARTINIQUE ?
Ce qui étonne dans ce tumulte électoral et médiatique, c’est le silence de serge LETCHIMY. Pour l’avoir rencontré, il est furax de ce spectacle donné à tous les électeurs. Il affirme qu’un nouveau courrier a été adressé à Yvon PAQUIT lui indiquant les risques qu’il faisait courir à l’alliance et au PPM. Notons que pas un seul des mots d'YP ne laissait supposer un trouble avec Didier LAGUERRE.
Attendons le résultat de cette élection pour connaître la suite qui sera donnée à ce courrier, et pour savoir si Yvon PAQUIT démontrera que l’on peut vivre le Césairisme, sans être au PPM.
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