Jacques-Stéphen de Thoré ce directeur de site celui là même dont la justice tolère qu’il se comporte en administrateur, ne pouvait pas ne pas savoir que le choix des partenaires SERVICHEFF, MARIN PECHE TOTAL MAXXI MARINE finirait par s’avérer inopérant.
Mais sa préoccupation était probablement de favoriser un partenaire avec lequel il avait déjà suggérer aux autres repreneurs de s’associer et avec lequel on lui suppose des amitiés.
La répétition des faillites dans un même cabinet créant effectivement des sympathies avec les auxiliaires de justice, le patron de MAXXI MARINE ayant à son actif plusieurs faillites dont certaines non clôturés à cette date.
Il fallait des amitiés pour remporter une affaire sans la fourniture de tous les bilans des partenaires repreneurs. SERVI CHEF en réalité propriétaire de MARIN PECHE n’a fourni qu’un bilan, ce dernier déficitaire de surcroit.
Il fallait des amitiés pour que ce dossier dès lors irrecevable soit considéré comme acceptable. Ne pas exiger les trois bilans ou de MARIN PECHE (Aucun) où de SERVICHEF (1 remis) c’est un passe droit qui prouve l’existence de favoritisme.
Même avec l’étude sérieuse des bilans incomplets qui étaient fourni par le groupe favorisé, l’administrateur aurait du observer que la consolidation des bilans des partenaires, donnait une capacité d’autofinancement négative, des fonds propres négatifs, et une dette vis-à-vis des obligations fiscales et sociales.
C’est ce dossier, dans cet état de désolation financière évidente, qui à remporter la mise !
La répétition des faillites dans un même cabinet créant effectivement des sympathies avec les auxiliaires de justice, le patron de MAXXI MARINE ayant à son actif plusieurs faillites dont certaines non clôturés à cette date.
Il fallait des amitiés pour remporter une affaire sans la fourniture de tous les bilans des partenaires repreneurs. SERVI CHEF en réalité propriétaire de MARIN PECHE n’a fourni qu’un bilan, ce dernier déficitaire de surcroit.
Il fallait des amitiés pour que ce dossier dès lors irrecevable soit considéré comme acceptable. Ne pas exiger les trois bilans ou de MARIN PECHE (Aucun) où de SERVICHEF (1 remis) c’est un passe droit qui prouve l’existence de favoritisme.
Même avec l’étude sérieuse des bilans incomplets qui étaient fourni par le groupe favorisé, l’administrateur aurait du observer que la consolidation des bilans des partenaires, donnait une capacité d’autofinancement négative, des fonds propres négatifs, et une dette vis-à-vis des obligations fiscales et sociales.
C’est ce dossier, dans cet état de désolation financière évidente, qui à remporter la mise !
Est-ce qui explique le désarroi actuel des repreneurs. Est-ce qui justifie qu’ils cherchent à passer en force, alors que tout devrait les conduire à plus de prudence.
La présence de Yan MONPLAISIR un politique de premier plan comme actionnaire n’empêche pas à ses patrons voyous à des comportements à la limite de la légalité. Voici ce qui se passe : Alors qu’un regroupement de marins-pêcheurs du François et de Case Pilote défend l’idée de la remise des AOT aux professionnels ces derniers forcent les barrages et remplissent subrepticement au petit matin, des cuves pour lesquelles ils n’ont pas un accord d’utilisation du propriétaire.
En effet le 5 septembre un référé du groupe RUBIS doit confondre les propriétaires et ces d’occupants illégaux au tribunal de Fort de France. RUBIS a porté plainte, et entend faire respecter sa propriété.
Le Procureur de la République avait prévenu les juges « Si MAXIPECH’ devait être le cessionnaire cela ne pourrait se faire sans une discontinuité du service de vente de carburant. » Les patrons de MAXXIPECH’ savaient que le positionnement du groupe TOTAL au cœur de leur stratégie causerait bien des problèmes dans le cadre de la reprise des actifs de la COOPEMAR.
Enfumé par un administrateur partisan, le juge commissaire faisait un rapport défavorable aux adversaires de MAXXI PECH’. Ce dernier reconnaissait dans la salle des pas perdu du tribunal n’avoir pas obtenu suffisamment de temps pour étudier le dossier. Il ignorait même qu'un second chèque de banque de l'offre concurrente avait été remis à l'administrateur. La précipitation pour la remise rapide des clefs de la COOPEMAR à ce groupe de tricheurs, ne pouvait même pas attendre que la CTM étudie une solution de soutien au 800 patron marins –pécheurs actionnaires de la coopérative.
On aurait pu penser que la présence d’un élu de premier plan parmi les actionnaires aurait modérer les ardeurs. Loin s’en faut. Le rapport de La DEAL en charge de la protection des normes environnementales, signale que les installations pétrolières de la COOPEMAR sont inconnues. Plus grave le bilan environnemental déplorable réalisé pendant la période de redressement demande une remise à la norme immédiate avant la poursuite des activités. Les juges ont liquidé la COOPEMAR pour entre autres raisons son incapacité à payer ces frais.
En effet le 5 septembre un référé du groupe RUBIS doit confondre les propriétaires et ces d’occupants illégaux au tribunal de Fort de France. RUBIS a porté plainte, et entend faire respecter sa propriété.
Le Procureur de la République avait prévenu les juges « Si MAXIPECH’ devait être le cessionnaire cela ne pourrait se faire sans une discontinuité du service de vente de carburant. » Les patrons de MAXXIPECH’ savaient que le positionnement du groupe TOTAL au cœur de leur stratégie causerait bien des problèmes dans le cadre de la reprise des actifs de la COOPEMAR.
Enfumé par un administrateur partisan, le juge commissaire faisait un rapport défavorable aux adversaires de MAXXI PECH’. Ce dernier reconnaissait dans la salle des pas perdu du tribunal n’avoir pas obtenu suffisamment de temps pour étudier le dossier. Il ignorait même qu'un second chèque de banque de l'offre concurrente avait été remis à l'administrateur. La précipitation pour la remise rapide des clefs de la COOPEMAR à ce groupe de tricheurs, ne pouvait même pas attendre que la CTM étudie une solution de soutien au 800 patron marins –pécheurs actionnaires de la coopérative.
On aurait pu penser que la présence d’un élu de premier plan parmi les actionnaires aurait modérer les ardeurs. Loin s’en faut. Le rapport de La DEAL en charge de la protection des normes environnementales, signale que les installations pétrolières de la COOPEMAR sont inconnues. Plus grave le bilan environnemental déplorable réalisé pendant la période de redressement demande une remise à la norme immédiate avant la poursuite des activités. Les juges ont liquidé la COOPEMAR pour entre autres raisons son incapacité à payer ces frais.
MAXXI pêche eux, en toute impunité va commercialiser du carburant sans remise aux normes, ils remplissent des cuves sans respect de la propriété privé, ils tentent de racheter des entreprises de quatre millions d’euros de chiffre d’affaires avec 10 000 euros
(dix mille) oui c'est le bon chiffre proposéen premier lieu. Un véritable baroufle qui n'a pas marché heureusement du seul fait de présence des établissements ROSETTE. Les MAXXI PËCHE ne fournissent pas les bilans obligatoires, cela se déroule en présence d’élus de premier plan, et dans l’indifférence d’une certaine presse.
Il est effectivement difficile de s’hérisser ou de mener des enquêtes sérieuses et contradictoires lorsque pendant plusieurs jours on se sera alcoolisé, beurré à la MERCURY PLAYA. C’est cela avoir de l’entregent, c’est la culture sexe, argent, embrouille et compromission.
MAKACLA a un autre parti, celui de la dénonciation, en hurlant seul s’ il le faut. Certains veulent déjà faire taire MAKACLA ou le racheter, qu’ils nous poursuivre en diffamation si ce que nous avons dit en nommant les protagonistes dans cet article est erroné.
Pour le rachat de MAKACLA le prix proposé pour l’instant est beaucoup trop faible. La liberté de dire est une valeur inestimable qui ne supporte aucune « monétisation » !
Il est effectivement difficile de s’hérisser ou de mener des enquêtes sérieuses et contradictoires lorsque pendant plusieurs jours on se sera alcoolisé, beurré à la MERCURY PLAYA. C’est cela avoir de l’entregent, c’est la culture sexe, argent, embrouille et compromission.
MAKACLA a un autre parti, celui de la dénonciation, en hurlant seul s’ il le faut. Certains veulent déjà faire taire MAKACLA ou le racheter, qu’ils nous poursuivre en diffamation si ce que nous avons dit en nommant les protagonistes dans cet article est erroné.
Pour le rachat de MAKACLA le prix proposé pour l’instant est beaucoup trop faible. La liberté de dire est une valeur inestimable qui ne supporte aucune « monétisation » !