Pour MAKACLA.COM JUVENAL REMIR et son groupe ont droit à la parole comme tout le monde. Leur groupe ne faisant l'objet d'aucune interdiction administrative.
« Juvenal Remir, dans une campagne d’auto victimisation, tente de dénaturer l’action légitime des 11 antifascistes qui se sont manifestés au Marigot samedi dernier.
Comme les médias présents l’ont bien montré, nous sommes venus pour réclamer la parole dans une conférence publique annoncée comme suivie d’un débat. Plusieurs des 20 personnes environ présentées par Remir comme ses partisans, nous ont d’ailleurs demandé de prendre la parole mais le chef a refusé. Et on connaît le slogan des fascistes : » Mussolini a toujours raison ».
Juvenal Remir, apprenti Mussolini de carnaval, ajoute dans sa campagne de victimisation des propos antisyndicaux. Il est là en cohérence avec la ligne du FN et de sa cheftaine, dont le programme contient l’attaque contre le droit de grève et dont la pratique contre les syndicats ouvriers est constante: Marine Lepen s’était opposée à la lutte contre la » loi travail » qu’ elle fait semblant de détester aujourd’hui!
En revanche Monsieur Remir, qui n’en est pas à une contradiction près, vilipende en ce moment les syndicats en oubliant que plus d’une fois il s’est infiltré dans des délégations syndicales lorsque ses interets étaient en jeu ou qu’un interet mediatique pointait à l’horizon. Le dernier exemple en date remonte à la lutte pour le maintien d’un directeur de lycée agricole. Il n’était pas choqué qu’on lui donne alors la parole en pleine maison des syndicats, entouré des syndicalistes qu’il injurie en ce moment.
Le lieutenant féminin actuel de Mr Remir, Mme Marie-Jeanne Jeanville, s’est d’ailleurs rendue célèbre en 2009 en s’infiltrant frauduleusement dans la délégation intersyndicale pour les négociations à la préfecture. Elle ne savait pas alors tout le mal que son mentor du jour, Juvenal Remir dirait du mouvement de 2009.
Leur refus commun de notre prise de parole au Marigot n’exprimait en realite qu’une chose: la peur panique de nous voir révéler leurs multiples incohérences. Mais nous persistons et nous signons: nous mettons au défi ces lepenistes colorés d’accepter le débat contradictoire public auquel je suis personnellement prêt ( faisant alors une exception à mon refus de discuter avec les vrais fascistes dont Juvenal Remir n’est après tout qu’une caricature plutôt loufoque.
Philippe Pierre-Charles , GRS, membre du Kolektif Matinik kont Marine Lepen. »
Comme les médias présents l’ont bien montré, nous sommes venus pour réclamer la parole dans une conférence publique annoncée comme suivie d’un débat. Plusieurs des 20 personnes environ présentées par Remir comme ses partisans, nous ont d’ailleurs demandé de prendre la parole mais le chef a refusé. Et on connaît le slogan des fascistes : » Mussolini a toujours raison ».
Juvenal Remir, apprenti Mussolini de carnaval, ajoute dans sa campagne de victimisation des propos antisyndicaux. Il est là en cohérence avec la ligne du FN et de sa cheftaine, dont le programme contient l’attaque contre le droit de grève et dont la pratique contre les syndicats ouvriers est constante: Marine Lepen s’était opposée à la lutte contre la » loi travail » qu’ elle fait semblant de détester aujourd’hui!
En revanche Monsieur Remir, qui n’en est pas à une contradiction près, vilipende en ce moment les syndicats en oubliant que plus d’une fois il s’est infiltré dans des délégations syndicales lorsque ses interets étaient en jeu ou qu’un interet mediatique pointait à l’horizon. Le dernier exemple en date remonte à la lutte pour le maintien d’un directeur de lycée agricole. Il n’était pas choqué qu’on lui donne alors la parole en pleine maison des syndicats, entouré des syndicalistes qu’il injurie en ce moment.
Le lieutenant féminin actuel de Mr Remir, Mme Marie-Jeanne Jeanville, s’est d’ailleurs rendue célèbre en 2009 en s’infiltrant frauduleusement dans la délégation intersyndicale pour les négociations à la préfecture. Elle ne savait pas alors tout le mal que son mentor du jour, Juvenal Remir dirait du mouvement de 2009.
Leur refus commun de notre prise de parole au Marigot n’exprimait en realite qu’une chose: la peur panique de nous voir révéler leurs multiples incohérences. Mais nous persistons et nous signons: nous mettons au défi ces lepenistes colorés d’accepter le débat contradictoire public auquel je suis personnellement prêt ( faisant alors une exception à mon refus de discuter avec les vrais fascistes dont Juvenal Remir n’est après tout qu’une caricature plutôt loufoque.
Philippe Pierre-Charles , GRS, membre du Kolektif Matinik kont Marine Lepen. »