« Ils ne jouaient pas »
« Ils ne jouaient pas » puisqu’il se dit que ces salopards auraient fait des victimes en blessant ceux qui étaient attaqués. Il se dit que l’on a rarement vu une telle violence, qu’ils étaient lourdement armés, et prêt à tout.
Le bruit dit que ; « ce seraient des Saint-Luciens ». Rien ne permet de l’affirmer, mais c’est ce qui se dit. Alors est-ce vrai que pendant que les Martiniquais vont jouer au riche à la MERCURY que des pauvres détrousseraient les derniers vrais pauvres restés au pays ? Il serait trop facile de prendre de tels raccourcis et de mauvais goût de penser que c’est la richesse prétendue qui attire les gangsters des Caraïbes !
La vraie question que nous devons, nous poser, c’est comment dans une telle période d’insécurité mettre en place un système réactif. Ici nous sommes en aussi en alerte gouvernementale maximum et nous devons comprendre qui si nous ne pouvons plus éviter le risque, nous devons apprendre à réagir face à toutes insécurités.
Or il paraît que la MARTINIQUE s’équipe de vidéosurveillance, de caméras capables d’aller lire une plaque minéralogique et lire immatriculation d’une voiture. Fort-de-France en particulier.
Comment comprendre que depuis tout ce temps les vidéos n’aient pas craché le morceau alors qu’elles verbalisent déjà ? Les autorités administratives toutes confondues doivent à la population des explications, c’est la meilleure manière d’apprendre aux Martiniquais à être vigilants et responsables.
Nous ne sommes pas à l’abri de ce qui se passe en Europe, puisque nous sommes l’Europe. Nous ne sommes pas loin des filières trinidadiennes, puisque des Trinidadiens investissent en MARTINIQUE, nous ne sommes pas loin des États-Unis puisque des vols directs nous y relient. Nous ne sommes donc pas loin d’aucun de ces dangers qui gangrènent le monde.
Certains ont pris la décision de déstabiliser l’occident, et de briser notre quiétude, alors que les autorités nous désarment pour plus de sécurité interne. C’est donc à ses autorités dès cet instant de nous assurer que nous sommes bien protégés.
Ce n’est ni une question sociale, ni environnementale, mais la sécurité est devenue vitale. Nous devons y être associés au moins par une information constante.
Le bruit dit que ; « ce seraient des Saint-Luciens ». Rien ne permet de l’affirmer, mais c’est ce qui se dit. Alors est-ce vrai que pendant que les Martiniquais vont jouer au riche à la MERCURY que des pauvres détrousseraient les derniers vrais pauvres restés au pays ? Il serait trop facile de prendre de tels raccourcis et de mauvais goût de penser que c’est la richesse prétendue qui attire les gangsters des Caraïbes !
La vraie question que nous devons, nous poser, c’est comment dans une telle période d’insécurité mettre en place un système réactif. Ici nous sommes en aussi en alerte gouvernementale maximum et nous devons comprendre qui si nous ne pouvons plus éviter le risque, nous devons apprendre à réagir face à toutes insécurités.
Or il paraît que la MARTINIQUE s’équipe de vidéosurveillance, de caméras capables d’aller lire une plaque minéralogique et lire immatriculation d’une voiture. Fort-de-France en particulier.
Comment comprendre que depuis tout ce temps les vidéos n’aient pas craché le morceau alors qu’elles verbalisent déjà ? Les autorités administratives toutes confondues doivent à la population des explications, c’est la meilleure manière d’apprendre aux Martiniquais à être vigilants et responsables.
Nous ne sommes pas à l’abri de ce qui se passe en Europe, puisque nous sommes l’Europe. Nous ne sommes pas loin des filières trinidadiennes, puisque des Trinidadiens investissent en MARTINIQUE, nous ne sommes pas loin des États-Unis puisque des vols directs nous y relient. Nous ne sommes donc pas loin d’aucun de ces dangers qui gangrènent le monde.
Certains ont pris la décision de déstabiliser l’occident, et de briser notre quiétude, alors que les autorités nous désarment pour plus de sécurité interne. C’est donc à ses autorités dès cet instant de nous assurer que nous sommes bien protégés.
Ce n’est ni une question sociale, ni environnementale, mais la sécurité est devenue vitale. Nous devons y être associés au moins par une information constante.