Trois types d’arguments se frottent, mais la vérité est toute autre.
Celle du financement des partis par l’État.
Tous les électeurs ne savent pas que c’est sur la base des résultats des législatives que les partis sont financés depuis la nouvelle disposition qui interdit aux entreprises de financer les groupes politiques.
Quand Marine LE PEN, propose 4 candidats en MARTINIQUE, ce n’est pas pour faire mignon. En fait, elle souhaite capitaliser sur les 30 000 voix réalisées sur tout le pays pour aider au financement de son action politique globale.
Mais aucun Parti politique Martiniquais n’avoue publiquement cet argument. Un bulletin de vote vaudra 1.60 € par ans sur 5 ans.
Le second argument développé par la rumeur serait lié aux revenus des députés pour eux-mêmes. Entre les avantages induits et le prestige de la fonction, il est indiscutable que le titre peut changer l’aspect du compte bancaire d’un honnête citoyen pour peu qu’il soit élu par le peuple.
C’est donc un second argument financier.
Mais il existe des arguments politiques. Selon une certaine rumeur, travailler au côté du Président de la C T M serait devenu compliqué, risqué, et insupportable. Nous n’allons pas développer cet argument qui est plus du registre de la polémique, du ragot et du militantisme primaire. Sauf qu’effectivement en regardant comment ce dernier traite ses propres militants, on peux resté perplexe sur leur capacité à avaler tout le temps les couleuvres sans sourcillier. Prenez le cas du député NILOR. Il est traité de traître, mis à l’indexe, évité par le chef pour avoir simplement oser oser.
Preuve que cette méchanceté gratuite a choqué plus d’un, ils viennent de tout bord du tricotage électoral du GS supporter le candidat déstabilisé par son chef, lui-même instrumentalisée par une certaine presse au service de la droite locale.
Également, Claude LISE nanifié par Alfred MARIE JEANNE est accouru au secours de celui qui avait pourtant refusé catégoriquement qu’il fasse corps de l’alliance de base du GRAND SAMBLE. Comme quoi en politique ce qui compte c’est le coup d’après.
Ce n’est pas l’expérience d’apprenti sorcier de DMS pour l’affaire DUNON qui nous démentira sur ce point. AMJ a imposé à son groupe ce candidat seul, en dehors des instances du parti, et pour montrer sa fidélité au seul personnage de son groupe politique auquel il estimait pouvoir faire confiance. Dunon est donc un symbole que des militants battent en brèche en soutenant un candidat adverse ; PEM
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Tous les électeurs ne savent pas que c’est sur la base des résultats des législatives que les partis sont financés depuis la nouvelle disposition qui interdit aux entreprises de financer les groupes politiques.
Quand Marine LE PEN, propose 4 candidats en MARTINIQUE, ce n’est pas pour faire mignon. En fait, elle souhaite capitaliser sur les 30 000 voix réalisées sur tout le pays pour aider au financement de son action politique globale.
Mais aucun Parti politique Martiniquais n’avoue publiquement cet argument. Un bulletin de vote vaudra 1.60 € par ans sur 5 ans.
Le second argument développé par la rumeur serait lié aux revenus des députés pour eux-mêmes. Entre les avantages induits et le prestige de la fonction, il est indiscutable que le titre peut changer l’aspect du compte bancaire d’un honnête citoyen pour peu qu’il soit élu par le peuple.
C’est donc un second argument financier.
Mais il existe des arguments politiques. Selon une certaine rumeur, travailler au côté du Président de la C T M serait devenu compliqué, risqué, et insupportable. Nous n’allons pas développer cet argument qui est plus du registre de la polémique, du ragot et du militantisme primaire. Sauf qu’effectivement en regardant comment ce dernier traite ses propres militants, on peux resté perplexe sur leur capacité à avaler tout le temps les couleuvres sans sourcillier. Prenez le cas du député NILOR. Il est traité de traître, mis à l’indexe, évité par le chef pour avoir simplement oser oser.
Preuve que cette méchanceté gratuite a choqué plus d’un, ils viennent de tout bord du tricotage électoral du GS supporter le candidat déstabilisé par son chef, lui-même instrumentalisée par une certaine presse au service de la droite locale.
Également, Claude LISE nanifié par Alfred MARIE JEANNE est accouru au secours de celui qui avait pourtant refusé catégoriquement qu’il fasse corps de l’alliance de base du GRAND SAMBLE. Comme quoi en politique ce qui compte c’est le coup d’après.
Ce n’est pas l’expérience d’apprenti sorcier de DMS pour l’affaire DUNON qui nous démentira sur ce point. AMJ a imposé à son groupe ce candidat seul, en dehors des instances du parti, et pour montrer sa fidélité au seul personnage de son groupe politique auquel il estimait pouvoir faire confiance. Dunon est donc un symbole que des militants battent en brèche en soutenant un candidat adverse ; PEM
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