MAKACLA relais la tribune de Lisa DAVID.
Dans les pays où les citoyens veulent vraiment que la démocratie soit protégée, qu'elle vive, ceux-ci acceptent de payer un abonnement pour faire vivre la presse libre.
Exemple Médiapart ou le Canard Enchaîné qui vivent des abonnements de leurs lecteurs.
Alors à Freepawol, nous rions des critiques de celles et ceux qui attendent de nous, que nous soyons à leur service en publiant, communiqués, articles, ou que nous enquêtions sur tel fait, etc...
Occasion de remercier celles et ceux qui, depuis la création de freepawol.com en Janvier 2014, ont fait l'effort d'encourager notre travail en faisant un don sur le site.
Mais avec moins de 500 euros récoltés en deux ans, ce n’est même pas le montant payé à l’hébergeur…
Imaginez que chaque lecteur de Feepawol avait versé 2 euros chaque mois depuis janvier 2014 !
Notre site subit des attaques malgré nos petits moyens financiers, mais notre volonté inébranlable de n’avoir que cette citation d’Albert Londres comme guide :
« Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus que de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie »
Ce matin encore freepawol.com est inaccessible, attaqué.
Nous payons déjà cher sa sécurité, nous serons obligés de la renforcer.
Nous avons la volonté de contribuer à la pluralité de la presse, à sa liberté, mais nous nous interrogeons : Qui aux Antilles souhaite une presse libre ?
Alors les critiques, les paroles sur la presse libre, laisse tomber !
Lisa David
Exemple Médiapart ou le Canard Enchaîné qui vivent des abonnements de leurs lecteurs.
Alors à Freepawol, nous rions des critiques de celles et ceux qui attendent de nous, que nous soyons à leur service en publiant, communiqués, articles, ou que nous enquêtions sur tel fait, etc...
Occasion de remercier celles et ceux qui, depuis la création de freepawol.com en Janvier 2014, ont fait l'effort d'encourager notre travail en faisant un don sur le site.
Mais avec moins de 500 euros récoltés en deux ans, ce n’est même pas le montant payé à l’hébergeur…
Imaginez que chaque lecteur de Feepawol avait versé 2 euros chaque mois depuis janvier 2014 !
Notre site subit des attaques malgré nos petits moyens financiers, mais notre volonté inébranlable de n’avoir que cette citation d’Albert Londres comme guide :
« Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus que de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie »
Ce matin encore freepawol.com est inaccessible, attaqué.
Nous payons déjà cher sa sécurité, nous serons obligés de la renforcer.
Nous avons la volonté de contribuer à la pluralité de la presse, à sa liberté, mais nous nous interrogeons : Qui aux Antilles souhaite une presse libre ?
Alors les critiques, les paroles sur la presse libre, laisse tomber !
Lisa David