Alors qu'en est-il en Martinique ?
La Martinique n'est pas en reste de ce qui se passe dans le monde. Alors quelle forme cela prend ? Observez dans un premier temps que les plus grands patrons du BTP disposaient pour certains, d'une discothèque. Dans un pays où on aime faire la fête, une table réservée à des personnes influentes, dont la facture des consommations serait réservée au patron de la discothèque, qui lui même est soumis à participer à des marchés publiques, peut sembler chose courante, ou monnaie d'échange, ou pré bonne disposition.
En effet il n'était pas rare de retrouver bien des personnalités de premier rang, en liesse, dans ce genre de situations festives. Ce format correspond bien à ceux dont l’ego a besoin d'exposition.
Mais le format plus intimiste existe aussi, combien de fois dans des soirées privées réservées à un petit nombre de décideurs, une élite, des élus ont été mis à l'aise ? En fait sur ces questions c'est une préoccupation de format selon les prédisposition des décideurs. En effet un déjeuner d'affaire, une rencontre après une manifestation sportive d'un des partenaire est a considérer comme des formes de lobby. La version bateau avec pas plus de 6 personnes est aussi un modèle de référence pour ceux qui disposent de la panoplie.
Tout ceci pour dire que la question de lobby en particulier dans un petit pays comme la Martinique, où tout le monde est finalement un petit parent de l'autre, il est impossible d'éviter la promiscuité dans les affaires et les décisions administratives locales. La préoccupation se renforce quand on sait aussi que pour certaines décisions il faut aussi des experts. Un expert en chiffres, en organisation du travail peuvent à eux seuls avoir autant d'influence, qu'un militant politique petit patron dans un groupe politique d'extrême gauche !
En effet il n'était pas rare de retrouver bien des personnalités de premier rang, en liesse, dans ce genre de situations festives. Ce format correspond bien à ceux dont l’ego a besoin d'exposition.
Mais le format plus intimiste existe aussi, combien de fois dans des soirées privées réservées à un petit nombre de décideurs, une élite, des élus ont été mis à l'aise ? En fait sur ces questions c'est une préoccupation de format selon les prédisposition des décideurs. En effet un déjeuner d'affaire, une rencontre après une manifestation sportive d'un des partenaire est a considérer comme des formes de lobby. La version bateau avec pas plus de 6 personnes est aussi un modèle de référence pour ceux qui disposent de la panoplie.
Tout ceci pour dire que la question de lobby en particulier dans un petit pays comme la Martinique, où tout le monde est finalement un petit parent de l'autre, il est impossible d'éviter la promiscuité dans les affaires et les décisions administratives locales. La préoccupation se renforce quand on sait aussi que pour certaines décisions il faut aussi des experts. Un expert en chiffres, en organisation du travail peuvent à eux seuls avoir autant d'influence, qu'un militant politique petit patron dans un groupe politique d'extrême gauche !
Alors voyez-vous c'est tout simplement une question d'honneur personnel que de n'avoir pas à tremper dans ce type de situation !
Pour approfondir le sujet et comprendre les limites de l'exercice, prenez le temps de lire cet article d'un de nos référents éditoriaux : The conversation