Nous ne sommes pas au bout du mépris quand ce dernier écarquille les yeux pour parler de bus à haut niveau de services. Entre ce soit-disant haut niveau de services des BHNS de Fort-de-France, et l'extra bus d'Orlyval, qu'on me donne la différence. Cette clim en pays chaud n'est-elle pas celle qui se transforme en pompe à chaleur quand Paris est à -2 degrés. Si ce dernier pour une clim et quelques coussins colorés est étonné, c'est que pour son exotisme à lui, il aurait préféré que le transport se fasse à dos d’ânes. Raconter qu'il devait tenir fort d'une main son appareil photo et se ternir accroché au mulet qui le tire lui conviendrait mieux comme carte postale que la vision des élus Martiniquais ont de leur pays
C'est la même entourloupe que pour la défiscalisation , puisque rappelez vous, ce sont les usines à bateaux de la Rochelle qui construisaient à prix fort les yachts pour loisirs personnels qui étaient transformés en hôtels flottants soit- disant.
On pourrait s’arrêter là sur l'ignominie au carré de ces deux titis parisiens mais la suite est encore plus magnifique. En effet quand ces derniers parlent en chœur de celui qui a selon les mots utilisés par ces journalistes :je cite " a torpillé l'action de son prédécesseur pendant deux ans, on tombe dans un "wouéléllé wé " sans nom. Sans chercher à défendre qui que ce soit , il n'a échappé à personne que si un grande part des travaux étaient réalisés, une grande partie de la traversée de Sainte- Thérèse n'était pas achevée. Donc qu'il fallait du temps supplémentaire. Je ne reviendrai pas sur toutes les phases citées par les uns et par les autres qui montrent que les équipements, feux et autres relations commerciales n'étaient pas terminées. Pour preuve à cette heure, la relation commerciale avec les taxis collectifs qui historiquement assuraient durant des décennies le transport inter-urbain n'a toujours pas de protocole.
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C'est la même entourloupe que pour la défiscalisation , puisque rappelez vous, ce sont les usines à bateaux de la Rochelle qui construisaient à prix fort les yachts pour loisirs personnels qui étaient transformés en hôtels flottants soit- disant.
On pourrait s’arrêter là sur l'ignominie au carré de ces deux titis parisiens mais la suite est encore plus magnifique. En effet quand ces derniers parlent en chœur de celui qui a selon les mots utilisés par ces journalistes :je cite " a torpillé l'action de son prédécesseur pendant deux ans, on tombe dans un "wouéléllé wé " sans nom. Sans chercher à défendre qui que ce soit , il n'a échappé à personne que si un grande part des travaux étaient réalisés, une grande partie de la traversée de Sainte- Thérèse n'était pas achevée. Donc qu'il fallait du temps supplémentaire. Je ne reviendrai pas sur toutes les phases citées par les uns et par les autres qui montrent que les équipements, feux et autres relations commerciales n'étaient pas terminées. Pour preuve à cette heure, la relation commerciale avec les taxis collectifs qui historiquement assuraient durant des décennies le transport inter-urbain n'a toujours pas de protocole.
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