C’est donc CHAUVET en bon petit soldat qui désespérément prend sa plume d’acier pour répondre à cette cabale et à cette meute organisée. En effet comment ne pas comprendre que la présidente du tourisme en personne ne prenne le temps de démentir de telles rumeurs et ne s’insurge contre de tels propos.
On comprendrait encore mieux si c’était le président lui-même qui réagissant fermement à cette remise en cause de la confiance que les milieux économiques peuvent avoir dans le conseil Régional avait pris langue avec le peuple.
Cette affaire est assez grave pour que LE CHAUVET ne soit pas celui qui va en major des quartiers populaires prendre des coups pour la mulatrailles foyalaise, à laquelle il ne sera jamais assimilé malgré ses ondulations capillaires.
On comprendrait encore mieux si c’était le président lui-même qui réagissant fermement à cette remise en cause de la confiance que les milieux économiques peuvent avoir dans le conseil Régional avait pris langue avec le peuple.
Cette affaire est assez grave pour que LE CHAUVET ne soit pas celui qui va en major des quartiers populaires prendre des coups pour la mulatrailles foyalaise, à laquelle il ne sera jamais assimilé malgré ses ondulations capillaires.
Que devrait faire notre chauvet national
Que CHAUVET s’occupe de son SAR qu’il se bouge les fesses à l’institut des sports qu’il prenne la présidence du dossier maudit de l’ex IRAV pour la poursuite du projet identitaire de CESAIRE; Qu’il cherche à savoir ce qui se passe actuellement sur le bouclage de la liste de Fort de France en particulier sur la présence probable de Marcel OZENA au coté de Didier LAGUERRE.
A défaut et s’il s’emmerde qu’il finisse sa thèse, ou qu’il consacre plus de temps à peindre comme il sait si bien le faire. Maintenant qu’il a enlevé pour qu'il n'y ai pas d'équivoque, sous la pression des articles de MAKAK LA le web son masque de macaque hurleur pour prendre son minou de séducteur, qu’il ne nous prive pas de ses talents!
Que les services de la communication de la région fassent mieux leur job et que le clan des Champagnards et cotillons monte au front.
J’ai dit Mr CHAUVET.
A défaut et s’il s’emmerde qu’il finisse sa thèse, ou qu’il consacre plus de temps à peindre comme il sait si bien le faire. Maintenant qu’il a enlevé pour qu'il n'y ai pas d'équivoque, sous la pression des articles de MAKAK LA le web son masque de macaque hurleur pour prendre son minou de séducteur, qu’il ne nous prive pas de ses talents!
Que les services de la communication de la région fassent mieux leur job et que le clan des Champagnards et cotillons monte au front.
J’ai dit Mr CHAUVET.
le texte de camille chauvet.
L’article paru dans certains médias, à l’initiative de Monsieur ERIN-AGOT, mérite quelques éclaircissements et précisions. En effet les informations présentées comme telles peuvent donner une vision tendancieuse et erronée de la réalité.
La French Weeks est une manifestation organisée depuis 6 ans par la French American Chamber of Commerce de Miami (FACC) avec le soutien du Consulat Général de France à Miami. Durant cette période d’octobre à novembre, la France est à l’honneur. Toute opération mettant en avant des savoir-faire, actions culturelles et artistiques en relation avec la France et qui respecte les valeurs de la French Weeks peut bénéficier du partenariat de la FACC et figurer dans son calendrier.
Personne ne peut revendiquer le droit exclusif de participer ou de faire participer des tiers à cette manifestation.
La Martinique participe à cette manifestation depuis 2011, au travers d’initiatives privées.
On peut citer le Miami Jazz Festival à l’initiative d’un jeune Martiniquais, Matthieu COROSINE, ou le « French Fashion Show and Martinique Spicy », mettant en valeur le savoir-faire d’entreprises martiniquaises et encouragé entre autre par le Consulat de France, en la personne de Monsieur Gaël de MAISONNEUVE, puis par son successeur Monsieur Philippe LETRILLIARD
Si Monsieur ERIN-AGOT s’était documenté auprès de ses sources sur les agendas des dernières French Weeks, cela n’aurait pas dû lui échapper.
La mission collective d’entreprises de Martinique a sollicité l’aide et le soutien financier de la Région Martinique pour l’accompagner dans sa troisième mission de novembre 2013.
Cette mission collective a également bénéficié du soutien et du partenariat actif du Miami Dade, ce que Monsieur ERIN-AGOT, en qualité de conseil auprès d’une cellule politique du Miami-Dade semble également ignorer.
Monsieur ERIN-AGOT semble faire référence à une action commune Martinique Guadeloupe et déplore de ne pas avoir été suivi dans son projet par les Collectivités Territoriales, alors que rien ne l’empêchait :
1°) de monter une mission collective privée
2°) de faire appel régulièrement aux aides FEDER et Régionales dans le cadre d’une mission collective d’entreprises
On peut comprendre la déception d’un porteur de projet de n’avoir pas pu mener à bien son projet, mais de là vouloir tenir la Région Martinique voir la Région Guadeloupe, pour responsables manque particulièrement d’élégance. Il est surprenant que M. ERIN-AGOT, qui a fait le choix de s’établir en Floride, au pays de la libre concurrence dans un marché ouvert à la libre entreprise ne sache lui-même en accepter les règles.
19/02/2014
Camille CHAUVET
La French Weeks est une manifestation organisée depuis 6 ans par la French American Chamber of Commerce de Miami (FACC) avec le soutien du Consulat Général de France à Miami. Durant cette période d’octobre à novembre, la France est à l’honneur. Toute opération mettant en avant des savoir-faire, actions culturelles et artistiques en relation avec la France et qui respecte les valeurs de la French Weeks peut bénéficier du partenariat de la FACC et figurer dans son calendrier.
Personne ne peut revendiquer le droit exclusif de participer ou de faire participer des tiers à cette manifestation.
La Martinique participe à cette manifestation depuis 2011, au travers d’initiatives privées.
On peut citer le Miami Jazz Festival à l’initiative d’un jeune Martiniquais, Matthieu COROSINE, ou le « French Fashion Show and Martinique Spicy », mettant en valeur le savoir-faire d’entreprises martiniquaises et encouragé entre autre par le Consulat de France, en la personne de Monsieur Gaël de MAISONNEUVE, puis par son successeur Monsieur Philippe LETRILLIARD
Si Monsieur ERIN-AGOT s’était documenté auprès de ses sources sur les agendas des dernières French Weeks, cela n’aurait pas dû lui échapper.
La mission collective d’entreprises de Martinique a sollicité l’aide et le soutien financier de la Région Martinique pour l’accompagner dans sa troisième mission de novembre 2013.
Cette mission collective a également bénéficié du soutien et du partenariat actif du Miami Dade, ce que Monsieur ERIN-AGOT, en qualité de conseil auprès d’une cellule politique du Miami-Dade semble également ignorer.
Monsieur ERIN-AGOT semble faire référence à une action commune Martinique Guadeloupe et déplore de ne pas avoir été suivi dans son projet par les Collectivités Territoriales, alors que rien ne l’empêchait :
1°) de monter une mission collective privée
2°) de faire appel régulièrement aux aides FEDER et Régionales dans le cadre d’une mission collective d’entreprises
On peut comprendre la déception d’un porteur de projet de n’avoir pas pu mener à bien son projet, mais de là vouloir tenir la Région Martinique voir la Région Guadeloupe, pour responsables manque particulièrement d’élégance. Il est surprenant que M. ERIN-AGOT, qui a fait le choix de s’établir en Floride, au pays de la libre concurrence dans un marché ouvert à la libre entreprise ne sache lui-même en accepter les règles.
19/02/2014
Camille CHAUVET