Pour mieux connaitre Didier #LAGUERRE (info lu pour vous)

Sa grand-mère maternelle y a été la directrice. Il se souvient encore de la coupe du Monde de football regardée avec les enfants de l’école de Trénelle en 1974. La mère de Didier Laguerre est professeur au lycée technique . Le jeune Didier s’installe avec sa famille très soudée , au quartier de la Pointe des Nègres et sera scolarisé au collège Renan, puis au lycée Bellevue où il passe un baccalauréat scientifique . Il garde de ses rencontres sportives autour de matches de football à la Cour Perrinon, des amitiés durables .

Très tôt, ses parents le sensibilisent aux problématiques sociales des enfants des quartiers en difficulté et il partage avec certains d’entre eux des moments d’études pendant lesquels son père donne des cours gratuitement à son domicile, à la Pointe des Nègres. Le sens du partage, de la solidarité et de l’effort lui sont inculqués avec force encore davantage à ces moments là. Dès son plus jeune âge, on lui apprend que l’éducation et la connaissance sont les bases de l’Autonomie et que celle-ci est aussi une condition de la réussite scolaire, d’une bonne orientation et de l’adaptation aux évolutions d’une vie personnelle, professionnelle et sociale, de l’émancipation.
Sa grand-mère maternelle habite rue Robespierre et sa meilleure amie, rue Blanqui. Les Terres-Sainville résonnent des éclats de rire des enfants et n’ont pas de secrets pour lui .

Après le baccalauréat, c’est le départ pour les études, à Toulouse où il préparera une maitrise de Physique Chimie , puis un CAPES pour enseigner , avant de retourner à la Martinique .
Etudiant, il aura une vie associative très riche avec la création d’une association Antillo Guyanaise et le CIADOM (conférence Inter Associative des DOM) qui regroupera diverses associations des Antilles et de la Guyane. Ils organiseront avec ses camarades, des conférences, débats et autres manifestations à Bordeaux, Montpellier, Toulouse, Grenoble, Paris… Didier Laguerre est pendant sa vie étudiante, très impliqué dans des mouvements de solidarité et de soutien aux étudiants en recherche de stages, de logement ou en difficulté sociale. Il touche là aux aspects politiques de la société et réfléchit autour de ces questions dans les groupements associatifs. Il rencontre des étudiants du monde entier et crée ainsi de multiples échanges entre eux et les étudiants antillo-guyanais.



De retour à la Martinique

Il intègre l’éducation nationale et continue ses activités dans les milieux associatifs. Avec ses élèves, il bâti ses relations sur la confiance, l’ouverture d’esprit et sort des « sentiers battus », parce qu’il refuse les cours magistraux. Pour lui, il est essentiel que l’école développe la capacité des élèves à apprendre tout au long de la vie, leur curiosité, l’esprit d’initiative.

En 2001, il intègre l’équipe de campagne de Serge Letchimy et se passionne pour la politique. Il rêve de construire avec lui une ville moderne et ouverte sur le Monde …
Didier Laguerre a grandi dans le « sérail césairien ». Succédant à Camille Darsieres, il est secrétaire général du PPM depuis 2005. Les questions sociales et environnementales, l’égalité, la parole mesurée et juste, les priorités économiques, font partie du débat démocratique à partir duquel Didier Laguerre s’est nourrit sans discontinuer. Il ne recule devant aucun défi lorsque la cause est humaniste, lorsqu’elle défend les idées progressistes dans l’intérêt général au profit des intérêts individuels .
Sa discrétion est égale à la force de ses engagements et il a l’assurance de celui dont la détermination, l'énergie, s'expriment sans violence, de façon sereine et paisible. Et ce sont ces qualités qui ont fait de lui, le candidat idéal choisi par ses pairs, en lui accordant à l’unanimité, toute leur confiance.

Pour Fort-de-France : la sérénité nécessaire

Didier Laguerre a conscience que la ville-patrimoine a été aussi résistante à tous les défis, avec force et détermination. Un héritage qui nécessite aujourd’hui un véritable apaisement dans les quartiers, une rénovation urbaine entamée et qu’il devra mener jusqu’à l’aboutissement. Didier Laguerre , envisage la société comme un espace symbolique, un espace social , dans lequel chacun tient d’abord à rester ensemble. Et c’est dans cet espace que la question du bonheur devra occuper une place essentielle. Dans cet espace de vie commune , chaque individu, participant à sa construction, mènera à l’émancipation de cette ville , contribuera à partager un pro-jet commun .

Didier Laguerre est marié depuis plus de 20 ans avec celle qu’il a connu tres jeune adolescent au centre aéré et qu’il a retrouvé étudiant quelques années plus tard, pour l’épouser. Conseillère pédagogique, sa femme est la mère de ses trois enfants, trois garçons .
Sa vie privée a été marquée également par un ami très proche de la famille, Vincent Placoly dont il a apprécié la culture dans toute sa générosité, sa détermination et son ouverture à l’autre .

Son beau-père, Bib Monville , musicien incroyablement doué et audacieux, l’a touché par son génie, et sa personnalité . Ses goûts musicaux ont d’ailleurs été influencés par lui, et passent du jazz, à la biguine-jazz, du reggae à Eugène Mona, de la biguine au zouk.
C’est un amoureux de la nature et un adepte de la protection de la bio-diversité .

Ses responsabilités au sein de la Collectivité régionale et municipale

Région
4ème vice – président de la commission permanente de la Région
Président de la commission ad’hoc de la « Préparation de la collectivité unique »
Président de la commission d’appels d’offres

Ville
Adjoint au maire de la ville de Fort-de-France
Délégué à la biodiversité- Président du Conservatoire botanique de la Martinique
Membre du Conseil d’Administration du SERMAC
Officier de l’Etat Civil