A ce stade les images sont tournées. Le montage est payé, il ne reste plus qu'à payer des droits d'auteurs, correspondant à des bouts de films historiques utilisés dans le film, et détenus par des sociétés américaines qui en détiennent les droits !
Alors à cette occasion Patrick vend des objets personnels, entre autres une de ses voitures, et bien d'autres objets pour chineurs de goût. Des collections d'objets, des vases, des assiettes dont certains auront accessoirisé le film.
En fait en sa qualité de réalisateur privé, disons que l'artiste se débrouille pour financer son programme. Il doit trouver 30 000 euros, pour finir l'oeuvre et il organise une vente , comme une brocante. Cela se fait dans tous les grands pays et pourquoi pas ici. Au lieu de donner à perte un don, sans contrepartie du montant alloué, le contributeur choisit un objet en lien avec le montant qu'il donne. C'est presque une forme de respect !
Alors pourquoi Patrick Beaucelin n'est-il pas aidé par une collectivité, on pense à la CTM en particulier, c'est ce que se demandent l'opinion publique et les réseaux sociaux ? Patrick Baaucelin a reçu une aide proportionnelle à ses dépenses. Celle ci n'est pas suffisante à son goût, quand bien même la collectivité ne peut financer à 100 % une oeuvre, à moins qu'il ne s'agisse pour elle d'une commande mais elle correspond à un pourcentage sur son propre devis.
Alors Patrick Beaucelin nous en dit plus , je cite Patrick Beaucelin " Une convention avec la CTM a été signée pour un montant de 30 000 euros. Eu égard au film et aux moyens nécessaires pour la réalisation de cette grande "fresque", un siècle de vie aux Antilles avec des reconstitutions historiques, j'ai fait remarquer à la CTM que la somme que l'on voulait m'allouer serait beaucoup trop insuffisante. Bref, j'ai reçu un mandat de 7500 euros ; bien entendu du retard forcément pour la finalisation du film, j'ai demandé alors un avenant qui n'a pas été pris en compte et mon 2 éme versement de 7500 euros, à force d'insister devrait être dans les semaines a venir mandaté !!!!!! De plus on m'a proposé de faire une demande de financement complémentaire, ce que j'ai fait mais après des mois d'échange avec la CTM, celle-ci ne m'a accordé aucun euro supplémentaire.Cherchez l'erreur !!!!!! Fin de citation.
Alors nous avons interrogé Gil Zobda, le responsable du bureau d’accueil du cinéma en Martinique, d'autant que nous étions invités à la première d'une série dans laquelle intervient la CTM à hauteur de 600 000 €. Pour connaitre sa réponse, cliquez sur page suivante .
En fait en sa qualité de réalisateur privé, disons que l'artiste se débrouille pour financer son programme. Il doit trouver 30 000 euros, pour finir l'oeuvre et il organise une vente , comme une brocante. Cela se fait dans tous les grands pays et pourquoi pas ici. Au lieu de donner à perte un don, sans contrepartie du montant alloué, le contributeur choisit un objet en lien avec le montant qu'il donne. C'est presque une forme de respect !
Alors pourquoi Patrick Beaucelin n'est-il pas aidé par une collectivité, on pense à la CTM en particulier, c'est ce que se demandent l'opinion publique et les réseaux sociaux ? Patrick Baaucelin a reçu une aide proportionnelle à ses dépenses. Celle ci n'est pas suffisante à son goût, quand bien même la collectivité ne peut financer à 100 % une oeuvre, à moins qu'il ne s'agisse pour elle d'une commande mais elle correspond à un pourcentage sur son propre devis.
Alors Patrick Beaucelin nous en dit plus , je cite Patrick Beaucelin " Une convention avec la CTM a été signée pour un montant de 30 000 euros. Eu égard au film et aux moyens nécessaires pour la réalisation de cette grande "fresque", un siècle de vie aux Antilles avec des reconstitutions historiques, j'ai fait remarquer à la CTM que la somme que l'on voulait m'allouer serait beaucoup trop insuffisante. Bref, j'ai reçu un mandat de 7500 euros ; bien entendu du retard forcément pour la finalisation du film, j'ai demandé alors un avenant qui n'a pas été pris en compte et mon 2 éme versement de 7500 euros, à force d'insister devrait être dans les semaines a venir mandaté !!!!!! De plus on m'a proposé de faire une demande de financement complémentaire, ce que j'ai fait mais après des mois d'échange avec la CTM, celle-ci ne m'a accordé aucun euro supplémentaire.Cherchez l'erreur !!!!!! Fin de citation.
Alors nous avons interrogé Gil Zobda, le responsable du bureau d’accueil du cinéma en Martinique, d'autant que nous étions invités à la première d'une série dans laquelle intervient la CTM à hauteur de 600 000 €. Pour connaitre sa réponse, cliquez sur page suivante .