Karine MOUSSEAU, n’a-t-elle pas confirmé qu’elle était candidate à la candidature ? C’est bien la preuve que les forces vives politiques du pays rêvent d’ailleurs comme les jeunes diplômés qui inventent une nouvelle géographie Martiniquaise
S ils ne sont pas à l’exécutif, ils sont dans l’assemblée. Commençons par le député du Sud. Jean Philippe NILOR. Son cas ne se discute pas. Il est député, connaît les Affaires étrangères, et pratique depuis des années la chose parlementaire. Sa candidature est légitime d’autant qu’il est le sortant.
Yan MONPLAISIR est le patron de la droite locale. Lui aussi il caresse le rêve de députation. On dit qu’il souhaite plus, devenir le Premier ministre de l’outre-mer né en MARTINIQUE. Pour réaliser cette première, il doit devenir député et la droite doit gagner la présidence SARKOZY est son candidat. Yan est un homme de mer et il sait tirer les bords qui le mettent au vent de ses adversaires.
Francis CAROLE. Lui c’est 40 % du budget de la collectivité, rien de moins. Il a tellement de travail à réaliser que les murs de la CTM croient que c’est lui le gardien. De sources bien informées, il se raconte que ce sont des militantes qui sachant qu’il est toujours là, lui apporteraient de temps à autre une petite soupe de pied de bœuf. C’est la démonstration que la tache est lourde. C’est un peu le principe des « ravettes l’église » plus la robe est lourde plus, il faut aider celui qui la porte à la porter.
Autre fait avéré la lourde charge de Louis BOUTRIN, beaucoup de travail une occupation du terrain importante. La méthode selon laquelle la concertation est la clef du début de chaque opération fait que, systématiquement il consulte. C’est beaucoup de travail. Il se dit comme il s’écrit ici et ailleurs que Aurélie NELLA, Louis BOUTRIN , et d’autres encore de la majorité GSPBPAC serait dans la même logique.
Karine MOUSSEAU, n’a-t-elle pas confirmé qu’elle était candidate à la candidature ? C’est bien la preuve que les forces vives politiques du pays rêvent d’ailleurs comme les jeunes diplômés qui inventent une nouvelle géographie Martiniquaise. Nos étudiants sont disséminés dans le monde et seul un réseau virtuel de tête pensante mise en place par l’ex-région LETCHIMY matérialise encore leur encrage Martiniquais.
Les faits sont donc avérés et indiscutablement reproduits dans tous les groupes politiques du pays MARTINIQUE.
Yan MONPLAISIR est le patron de la droite locale. Lui aussi il caresse le rêve de députation. On dit qu’il souhaite plus, devenir le Premier ministre de l’outre-mer né en MARTINIQUE. Pour réaliser cette première, il doit devenir député et la droite doit gagner la présidence SARKOZY est son candidat. Yan est un homme de mer et il sait tirer les bords qui le mettent au vent de ses adversaires.
Francis CAROLE. Lui c’est 40 % du budget de la collectivité, rien de moins. Il a tellement de travail à réaliser que les murs de la CTM croient que c’est lui le gardien. De sources bien informées, il se raconte que ce sont des militantes qui sachant qu’il est toujours là, lui apporteraient de temps à autre une petite soupe de pied de bœuf. C’est la démonstration que la tache est lourde. C’est un peu le principe des « ravettes l’église » plus la robe est lourde plus, il faut aider celui qui la porte à la porter.
Autre fait avéré la lourde charge de Louis BOUTRIN, beaucoup de travail une occupation du terrain importante. La méthode selon laquelle la concertation est la clef du début de chaque opération fait que, systématiquement il consulte. C’est beaucoup de travail. Il se dit comme il s’écrit ici et ailleurs que Aurélie NELLA, Louis BOUTRIN , et d’autres encore de la majorité GSPBPAC serait dans la même logique.
Karine MOUSSEAU, n’a-t-elle pas confirmé qu’elle était candidate à la candidature ? C’est bien la preuve que les forces vives politiques du pays rêvent d’ailleurs comme les jeunes diplômés qui inventent une nouvelle géographie Martiniquaise. Nos étudiants sont disséminés dans le monde et seul un réseau virtuel de tête pensante mise en place par l’ex-région LETCHIMY matérialise encore leur encrage Martiniquais.
Les faits sont donc avérés et indiscutablement reproduits dans tous les groupes politiques du pays MARTINIQUE.
Beaucoup de candidature aux législatives correspondent à des postures pour savoir qui demain de la nouvelle génération d’administrateurs du pays sera en pool position, pour le contrôle de la CTM et la ville de FORT-DE-France.
Alors comment expliquer cela ?
En fait les entrepreneurs du développement que sont nos élus travaillent avec des outils inappropriés, ne sont pas pris en considération par le législateur, et tentent de cacher leur misère comme la robe de certains avocats cache avec arrogance, les trous sur leur compte en banque.
Nos élus avec la nouvelle CTM à l’exécutif ont rôle de ministre, mais ils sont payé comme des ouvriers qualifies. 1700 € comme dit MOUSSEAU, c’est le salaire OQ2 du BTP quand il touche sa prime de panier. On ne peut pas payer un ministre de la république Martiniquaise au prix d’un ouvrier fut-il qualifié.
D’autre part avec la charge de travail à abattre pour réparer un pays irréparable, les élus sont obligés de travailler à temps plein et négligent inéluctablement leurs métiers. Ils assaisonnent des étudiants et oublient de les faire frire, et leurs clients quand ils sont aux affaires se rendent vite compte que conjuguer plusieurs responsabilités est de m^me nature que la farce des prestidigitateurs.
Autre aspect de la fonction de député, c’est l’autorité certaine que donne la fonction sauf quand on est sous les « graines » de MARIE JEANNE. Il se trouve que celui-ci à déjà indiqué qu’il faisait son dernier won de chouval bwa. Les cartes vont donc être rebattues et celui qui aura la main devra être en prise directe avec le pouvoir parisien qui mène la FRANCE.
Vous voyez les faits sont avérées. La fuite vers de nouvelles latitudes est bien réelle, motivée par de vraies raisons économiques et de stratégie politique. L’ambition personnelle est l’emballage.
Alors comment réagir face à une telle situation ?
Cela ne servira à rien de ne pas aller voter, il sera encore moins utile de dénoncer cet état de fait même dans MAKACLA. Les choses sont ainsi et vont ainsi ! par contre dans cette bataille effrénée, on peut regretter que Francis CAROLLE ne se présente au centre et qu’il engage la bagarre avec un alter ego de même nature.
Ils sont chefs de parti, ont une vision claire, savent utiliser les mots qui rassemblent, sans heurter comme le fait DMS tous ceux qui ne sont pas MIM. Ils semblent, tous les deux inspirés par la féconde césarienne dégagent une image de modernes hyperactifs et ont les idées claires.
Mais peut-être que Francis CAROLE a compris qu’il ne doit pas abandonner, le combat pour la conquête de la capitale s’il veut un jour réaffronter Didier LAGUERRE.
Beaucoup de candidature aux législatives correspondent à des postures pour savoir qui demain de la nouvelle génération d’administrateurs du pays sera en pool position, pour le contrôle de la CTM et la ville de FORT-DE-France. Ce sont les deux principaux lieux de pouvoir du pays. L’un est politique l’autre est économique et social.
Vous voyez le seul espoir du tournant politique que nous amorçons, c’est qu’un certain nombre d’éléments toxiques revanchard et haineux de la politique n’abandonnent le métier pour qu’une nouvelle génération, plus ouverte, plus collaborative, moins frustrées commence son ouvrage.
Oui MAKACLA vous assure demain, la MARTINIQUE ira mieux !
En fait les entrepreneurs du développement que sont nos élus travaillent avec des outils inappropriés, ne sont pas pris en considération par le législateur, et tentent de cacher leur misère comme la robe de certains avocats cache avec arrogance, les trous sur leur compte en banque.
Nos élus avec la nouvelle CTM à l’exécutif ont rôle de ministre, mais ils sont payé comme des ouvriers qualifies. 1700 € comme dit MOUSSEAU, c’est le salaire OQ2 du BTP quand il touche sa prime de panier. On ne peut pas payer un ministre de la république Martiniquaise au prix d’un ouvrier fut-il qualifié.
D’autre part avec la charge de travail à abattre pour réparer un pays irréparable, les élus sont obligés de travailler à temps plein et négligent inéluctablement leurs métiers. Ils assaisonnent des étudiants et oublient de les faire frire, et leurs clients quand ils sont aux affaires se rendent vite compte que conjuguer plusieurs responsabilités est de m^me nature que la farce des prestidigitateurs.
Autre aspect de la fonction de député, c’est l’autorité certaine que donne la fonction sauf quand on est sous les « graines » de MARIE JEANNE. Il se trouve que celui-ci à déjà indiqué qu’il faisait son dernier won de chouval bwa. Les cartes vont donc être rebattues et celui qui aura la main devra être en prise directe avec le pouvoir parisien qui mène la FRANCE.
Vous voyez les faits sont avérées. La fuite vers de nouvelles latitudes est bien réelle, motivée par de vraies raisons économiques et de stratégie politique. L’ambition personnelle est l’emballage.
Alors comment réagir face à une telle situation ?
Cela ne servira à rien de ne pas aller voter, il sera encore moins utile de dénoncer cet état de fait même dans MAKACLA. Les choses sont ainsi et vont ainsi ! par contre dans cette bataille effrénée, on peut regretter que Francis CAROLLE ne se présente au centre et qu’il engage la bagarre avec un alter ego de même nature.
Ils sont chefs de parti, ont une vision claire, savent utiliser les mots qui rassemblent, sans heurter comme le fait DMS tous ceux qui ne sont pas MIM. Ils semblent, tous les deux inspirés par la féconde césarienne dégagent une image de modernes hyperactifs et ont les idées claires.
Mais peut-être que Francis CAROLE a compris qu’il ne doit pas abandonner, le combat pour la conquête de la capitale s’il veut un jour réaffronter Didier LAGUERRE.
Beaucoup de candidature aux législatives correspondent à des postures pour savoir qui demain de la nouvelle génération d’administrateurs du pays sera en pool position, pour le contrôle de la CTM et la ville de FORT-DE-France. Ce sont les deux principaux lieux de pouvoir du pays. L’un est politique l’autre est économique et social.
Vous voyez le seul espoir du tournant politique que nous amorçons, c’est qu’un certain nombre d’éléments toxiques revanchard et haineux de la politique n’abandonnent le métier pour qu’une nouvelle génération, plus ouverte, plus collaborative, moins frustrées commence son ouvrage.
Oui MAKACLA vous assure demain, la MARTINIQUE ira mieux !