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A l’origine de ce branle bas de combat, la mauvaise santé social du domaine colonial .
Entre privilèges et profitation organisés, il faut trancher ou au moins y voir clair.
L' émigréhongrois,Nicolas Sarkozy récent héritier du trône républicain décide en plein conflit son intention de se rendre en Guadeloupe "dès que le calme serait revenu". Pour cette arrivée au domaine annoncée pour fin avril, le déplacement n'est toujours pas fixé.
Mais, la Jégote prépare activement les Etats généraux de l'outre-mer, qui démarrent officiellement aujourd’hui pour s'achever vers le 15 mai dans quatre composantes du domaine colonial (Guyane, Guadeloupe, Martinique et La Réunion).
Un contexte assez spécial de double jeu, compte tenu du fait que l'Assemblée nationale a adopté, le 9 avril dernier, la loi de développement de l'outre-mer (Lodem).
Sur le terrain Le collectif contre l'exploitation (LKP) d'Elie Domota rejette ces Etats généraux.
En Martinique le Collectif du 5 février 2009 dit aussi non.
Le pauvre Richard Samuel, chargé de la coordination des travaux qui s’est vu attribué le titre de délégué général à l'outre-mer, découvre qu’il préside un bal de macaques où l’on se demande comment les békés , nécessairement endogame et les nègres et mulâtres domestiques invités vont danser dans le grand salon du palais du gouvernement qu’est la « préfecture ».
Sur le carton d’invitation les maîtres du domaine souhaitent consulter une énième fois les responsables, politiques, syndicaux, professionnels et associatifs des DOM et des collectivités qui le souhaiteront, tout en y associant la population, via les médias locaux et Internet.
L’orchestre a huit partitions : rénovation du dialogue social, formation des prix, dépendance à l'égard des importations de l'Hexagone, projets de développement, évolution institutionnelle, insertion des DOM dans leur environnement régional, égalité des chances et promotion de la diversité et de l'identité, culture et mémoire.
Oui , thème de la Mémoire avec projection en ouverture des débats du documentaire de Canal plus sur les anciens maîtres de la Martinique.
Pourquoi pas madame la Jégote ?
José Hayot un des rapporteurs de cette commission mémoire est d’accord, car il a dénoncé ce film et les propos tenus par son ancêtre Alain Huygues Despointes, même si l’ancien Maire du Robert Edouard de Lépine trouve ces propos sans importance …
En tout cas,d’ici juin 2009, une synthèse venant du pouvoir absolu sarkozien, sera proposée avant un conseil interministériel prévu en juillet.
Comme le soulignait un journaliste français : Le risque de cette consultation est de relancer le débat sur la place et le rôle de la République dans ces territoires lointains, sans pour autant préciser les objectifs et les moyens supplémentaires que l'Etat, en cette période de crise économique et sociale, est prêt à y consacrer
Mais en attendant, dans l'arrière boutique certains parlementaires demandent de renvoi des élections régionales, et la consultation du Peuple Martiniquais et des résidents en Martinique sur un Oui ou un Non pour un article miracle de la Constitution.
Nous sommes bien entrée cette fois dans l'après-Césaire.
Entre privilèges et profitation organisés, il faut trancher ou au moins y voir clair.
L' émigréhongrois,Nicolas Sarkozy récent héritier du trône républicain décide en plein conflit son intention de se rendre en Guadeloupe "dès que le calme serait revenu". Pour cette arrivée au domaine annoncée pour fin avril, le déplacement n'est toujours pas fixé.
Mais, la Jégote prépare activement les Etats généraux de l'outre-mer, qui démarrent officiellement aujourd’hui pour s'achever vers le 15 mai dans quatre composantes du domaine colonial (Guyane, Guadeloupe, Martinique et La Réunion).
Un contexte assez spécial de double jeu, compte tenu du fait que l'Assemblée nationale a adopté, le 9 avril dernier, la loi de développement de l'outre-mer (Lodem).
Sur le terrain Le collectif contre l'exploitation (LKP) d'Elie Domota rejette ces Etats généraux.
En Martinique le Collectif du 5 février 2009 dit aussi non.
Le pauvre Richard Samuel, chargé de la coordination des travaux qui s’est vu attribué le titre de délégué général à l'outre-mer, découvre qu’il préside un bal de macaques où l’on se demande comment les békés , nécessairement endogame et les nègres et mulâtres domestiques invités vont danser dans le grand salon du palais du gouvernement qu’est la « préfecture ».
Sur le carton d’invitation les maîtres du domaine souhaitent consulter une énième fois les responsables, politiques, syndicaux, professionnels et associatifs des DOM et des collectivités qui le souhaiteront, tout en y associant la population, via les médias locaux et Internet.
L’orchestre a huit partitions : rénovation du dialogue social, formation des prix, dépendance à l'égard des importations de l'Hexagone, projets de développement, évolution institutionnelle, insertion des DOM dans leur environnement régional, égalité des chances et promotion de la diversité et de l'identité, culture et mémoire.
Oui , thème de la Mémoire avec projection en ouverture des débats du documentaire de Canal plus sur les anciens maîtres de la Martinique.
Pourquoi pas madame la Jégote ?
José Hayot un des rapporteurs de cette commission mémoire est d’accord, car il a dénoncé ce film et les propos tenus par son ancêtre Alain Huygues Despointes, même si l’ancien Maire du Robert Edouard de Lépine trouve ces propos sans importance …
En tout cas,d’ici juin 2009, une synthèse venant du pouvoir absolu sarkozien, sera proposée avant un conseil interministériel prévu en juillet.
Comme le soulignait un journaliste français : Le risque de cette consultation est de relancer le débat sur la place et le rôle de la République dans ces territoires lointains, sans pour autant préciser les objectifs et les moyens supplémentaires que l'Etat, en cette période de crise économique et sociale, est prêt à y consacrer
Mais en attendant, dans l'arrière boutique certains parlementaires demandent de renvoi des élections régionales, et la consultation du Peuple Martiniquais et des résidents en Martinique sur un Oui ou un Non pour un article miracle de la Constitution.
Nous sommes bien entrée cette fois dans l'après-Césaire.
