Une assemblée plénière qui se termine en queue de poisson entre autre fait de l'ingérence de l'exécutif dans les affaires délibératives de la CTM. Claude LISE avait demandé une clôture de la scéance à 20 heures à cause de travaux se réalisant à l'extérieur, alors que le président de l’exécutif prétendait le contraire.
Durant toute cette semaine outre cette lettre lue en réunion de cohésion tout a été dit. Les opposants au clan AMJ trouvaient dans cette explication l’illustration de ce qu’ils appelaient l’immobilisme. La droite se satisfaisant d’avoir dit à AMJ ses quatre vérités ! Une aile du MIM se référant au trouble avec la droite pour exiger un durcissement des positions et un retour à la ligne originale du parti.
Si sur bien des points cette plénière fut de bon niveau, sur l’aspect économique, piloté par la droite, le terme de cafouillage n’est pas trop fort.
Un véritable flou artistique, et l’illustration en plein jour d’un conflit d’intérêts larvés. Les meublés de tourisme furent un exemple qui doit nous donner à réfléchir. Le patron ou propriétaire des deux principaux hôtels de l’île faisant tout son possible pour faire capoter une nouvelle disposition que le conseiller Miguel LAVENTURE tentait d’introduire de force , pour sauver les meublés de tourisme.
Il a pourtant esquivé une question-piège du principal hôtelier de la MARTINIQUE et conjointement premier vice-président de la CTM. Mais ce dernier considérant sans gêne qu’en sa qualité de membre de la commission économique, il devait faire blackbouler la proposition d’amorcer ce type de dossiers de manière plus favorable en faisant passer de 120 000 à 200 000 € tous les projets pouvant émarger sur les fonds CTM . Le souhait de ML étant qu’au delà de faire levier sur les fonds européens.
Mais attention Yan MONPLAISIR sur ses positions n’est pas critiquable. Il fait son job de patron ou d’actionnaire de groupe hôtelier. Il se protège et protège les siens. Il sait que la tendance est au "allez chez l’habitant et au trouver des solutions intelligentes "pour voyager. C'est comme cela partout dans le monde. Il ne cherche qu’à bloquer ce type de développement durable qui réduit son potentiel commercial de capitaliste.
Ce qui est critiquable, c’est le choix de celui qui a décidé de mettre la droite à l’économie, au seul prétexte que la droite connaissait les affaires et leurs rouages. Car au lieu de faire une politique économique de gauche Basée sur un tourisme dont la population bénéficierait des retombées économiques, voilà que le candidat de la droite , pour sauver sa chemise, veut réduire les Martiniquais au seul rôle de faire valoir folklorique. c'est insupportable! Et pour bien montrer que c’est une tentative de YAN pour les MONPLAISIR et autres groupes capitalistes du tourisme, il faut rendre hommage à l’agacement de Karine MOUSSEAU, pourtant de droite, qui a piqué sa colère, malgré son compagnonnage électoral sous les bras de YM, de n’avoir pas été consulté sur ce dossier. Le François est la patrie des meublées.
Donc quand la droite parle cohésion de fil directeur du MIM qui serait en berne, on peut affirmer que c’est un mensonge, electoral au service d’un projet politique majeur. Gageons que les Martiniquais sauront entendre ce que nous leur démontrons pour comprendre que, finalement, il n’est pas possible de faire de la politique sans idéologie et sans étique.
Ici le patron du développement économique est pris en flagrant délit de fouter neg fé et de gadé tout bagay la pou koy ! Et c’est inamissible. Et nous le dénonçons ouvertement!
Si sur bien des points cette plénière fut de bon niveau, sur l’aspect économique, piloté par la droite, le terme de cafouillage n’est pas trop fort.
Un véritable flou artistique, et l’illustration en plein jour d’un conflit d’intérêts larvés. Les meublés de tourisme furent un exemple qui doit nous donner à réfléchir. Le patron ou propriétaire des deux principaux hôtels de l’île faisant tout son possible pour faire capoter une nouvelle disposition que le conseiller Miguel LAVENTURE tentait d’introduire de force , pour sauver les meublés de tourisme.
Il a pourtant esquivé une question-piège du principal hôtelier de la MARTINIQUE et conjointement premier vice-président de la CTM. Mais ce dernier considérant sans gêne qu’en sa qualité de membre de la commission économique, il devait faire blackbouler la proposition d’amorcer ce type de dossiers de manière plus favorable en faisant passer de 120 000 à 200 000 € tous les projets pouvant émarger sur les fonds CTM . Le souhait de ML étant qu’au delà de faire levier sur les fonds européens.
Mais attention Yan MONPLAISIR sur ses positions n’est pas critiquable. Il fait son job de patron ou d’actionnaire de groupe hôtelier. Il se protège et protège les siens. Il sait que la tendance est au "allez chez l’habitant et au trouver des solutions intelligentes "pour voyager. C'est comme cela partout dans le monde. Il ne cherche qu’à bloquer ce type de développement durable qui réduit son potentiel commercial de capitaliste.
Ce qui est critiquable, c’est le choix de celui qui a décidé de mettre la droite à l’économie, au seul prétexte que la droite connaissait les affaires et leurs rouages. Car au lieu de faire une politique économique de gauche Basée sur un tourisme dont la population bénéficierait des retombées économiques, voilà que le candidat de la droite , pour sauver sa chemise, veut réduire les Martiniquais au seul rôle de faire valoir folklorique. c'est insupportable! Et pour bien montrer que c’est une tentative de YAN pour les MONPLAISIR et autres groupes capitalistes du tourisme, il faut rendre hommage à l’agacement de Karine MOUSSEAU, pourtant de droite, qui a piqué sa colère, malgré son compagnonnage électoral sous les bras de YM, de n’avoir pas été consulté sur ce dossier. Le François est la patrie des meublées.
Donc quand la droite parle cohésion de fil directeur du MIM qui serait en berne, on peut affirmer que c’est un mensonge, electoral au service d’un projet politique majeur. Gageons que les Martiniquais sauront entendre ce que nous leur démontrons pour comprendre que, finalement, il n’est pas possible de faire de la politique sans idéologie et sans étique.
Ici le patron du développement économique est pris en flagrant délit de fouter neg fé et de gadé tout bagay la pou koy ! Et c’est inamissible. Et nous le dénonçons ouvertement!