Le plus important à comprendre c'est qu'il faut plus que jamais sauver cette chaîne à tout prix. Les Martiniquais l'ont compris et ils ont largement fait leur part en donnant au delà de toutes les espérances.
Xavier Magin le directeur Général de ViaATV n'a pas attendu ATV pour s'impliquer en Martinique. Il est Président de l'association du sauvetage en mer de Martinique.
Cette opération de sauvetage médiatique a été menée à la seule initiative de Miguel Limol. Si aujourd'hui ce dernier n'est plus dans le projet c'est essentiellement parce qu'en interne, certains et pas des moindres se sont laissé entraîner par une opération de déstabilisation pilotée par des intérêts extérieurs. Au vu de ce qui nous a été dit par la direction actuelle, ces derniers regrettent que des perturbations internes aient causé le départ de celui par qui en grande partie l’amorçage avait été possible!
Mais c'est ainsi et il n'est pas dit que demain il n'en sera pas autrement, même si nous n'avons cessé de répéter que cette démarche du personnel était injuste pour celui qui s'était mouillé au-delà du raisonnable pour la réussite de la chaîne. Ceci est d'autant plus regrettable que ce dernier a de vraies compétences en matière de management de projets. Si nous insistons sur ce point c'est qu'il nous parait important que la population sache qui a fait quoi et à tout moment.
Mais cet effort des Martiniquais, ceux que j'appelle les Martiniquais de la périphérie, n'est pas suffisant pour sauver une chaîne. D'autant que pour peu qu'un groupe s’intéresse à un cheval malade, les banques considèrent que ce cheval malade peut rendre chétifs les persans hébergés dans l'écurie. C'est la réalité martiniquaise! Nous n'avons pas de banque d'affaires, c'est à dire des banques qui sur leurs fonds propres prennent des risques avec des entrepreneurs. Dans le cas des retournements d'entreprises, comme c'est la cas ici à ATV, l'exploitation, c'est à dire le média, doit faire la preuve qu'il est capable non seulement de payer toutes les dépenses engendrées, mais également de commencer à produire des marges, pour qu'au moment de sortie en redressement, il soit envisageable de rembourser les dettes passées.
Alors que font les dirigeants de Via ATV ? Pour le savoir cliquez sur page suivante.
Mais c'est ainsi et il n'est pas dit que demain il n'en sera pas autrement, même si nous n'avons cessé de répéter que cette démarche du personnel était injuste pour celui qui s'était mouillé au-delà du raisonnable pour la réussite de la chaîne. Ceci est d'autant plus regrettable que ce dernier a de vraies compétences en matière de management de projets. Si nous insistons sur ce point c'est qu'il nous parait important que la population sache qui a fait quoi et à tout moment.
Mais cet effort des Martiniquais, ceux que j'appelle les Martiniquais de la périphérie, n'est pas suffisant pour sauver une chaîne. D'autant que pour peu qu'un groupe s’intéresse à un cheval malade, les banques considèrent que ce cheval malade peut rendre chétifs les persans hébergés dans l'écurie. C'est la réalité martiniquaise! Nous n'avons pas de banque d'affaires, c'est à dire des banques qui sur leurs fonds propres prennent des risques avec des entrepreneurs. Dans le cas des retournements d'entreprises, comme c'est la cas ici à ATV, l'exploitation, c'est à dire le média, doit faire la preuve qu'il est capable non seulement de payer toutes les dépenses engendrées, mais également de commencer à produire des marges, pour qu'au moment de sortie en redressement, il soit envisageable de rembourser les dettes passées.
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