Mais ce que je souhaite, c'est partager avec vous mon regard du pays Martinique actuel, avec une vue d'ensemble sur différents secteurs d'activités. Notre propos portera sur la politique, les affaires, la culture et les valeurs ! Soit 4 sujets à vous présenter.
Commençons par la politique : Outre le dernier spectacle de guerre de tranchée à la CTM, dont nous nous sommes largement entretenus sur ce média, et qui montre que dans nos instances les plus représentatives, que tous les coups sont permis, au niveau des EPCI principalement dans le centre et dans le nord, on peut aussi dire que c'est la débandade, crise de valeur et laisser rouler.
La crise de valeur commence quand le patron de la CACEM est à plusieurs reprises soupçonné d'escroqueries, et que ce dernier ne prend aucune mesure de retrait personnel, pour se défendre et protéger l'institution qu'il dirige. Plus grave est le silence de ses collègues maires, de Fort de France, de Schoelcher et du Lamentin, qui préfèrent attendre qu'il tombe tout seul que de le pousser à démissionner.
Ceci est du corporatisme, au mieux, de la complicité aux yeux des citoyens.
Résultat ,rien d'étonnant qu'un outil essentiel de développement beugue.... c'est Daniel Marie-Sainte qui le disait lui même : je cite "CACEM le 5 06 2019 : La semaine dernière le Conseil Communautaire de la CACEM n’a pu tenir sa réunion mensuelle à cause de l’absence de quorum ! Reconvoqué ce mercredi 5 juin la situation ne s’est pas améliorée ! La réunion du Conseil Communautaire ne s’est tenue qu’avec un effectif réduit de 18 présents sur un effectif total 56 élus !!! Soit une participation de 32% ! Il est à noter que les maires du Lamentin et de Fort de France étaient absents !!! Est-ce sérieux ?
Sauf que Daniel Marie-Sainte oublie de préciser qu''il y a moins de deux semaines, il n'a pas pu présenter ses dossiers, pourtant des sujets importants, pour quorum insuffisant , alors que la plénière a été reconvoquée aussi, et que là encore, le lendemain il n'y avait pas de quorum non plus !
La crise de valeur commence quand le patron de la CACEM est à plusieurs reprises soupçonné d'escroqueries, et que ce dernier ne prend aucune mesure de retrait personnel, pour se défendre et protéger l'institution qu'il dirige. Plus grave est le silence de ses collègues maires, de Fort de France, de Schoelcher et du Lamentin, qui préfèrent attendre qu'il tombe tout seul que de le pousser à démissionner.
Ceci est du corporatisme, au mieux, de la complicité aux yeux des citoyens.
Résultat ,rien d'étonnant qu'un outil essentiel de développement beugue.... c'est Daniel Marie-Sainte qui le disait lui même : je cite "CACEM le 5 06 2019 : La semaine dernière le Conseil Communautaire de la CACEM n’a pu tenir sa réunion mensuelle à cause de l’absence de quorum ! Reconvoqué ce mercredi 5 juin la situation ne s’est pas améliorée ! La réunion du Conseil Communautaire ne s’est tenue qu’avec un effectif réduit de 18 présents sur un effectif total 56 élus !!! Soit une participation de 32% ! Il est à noter que les maires du Lamentin et de Fort de France étaient absents !!! Est-ce sérieux ?
Sauf que Daniel Marie-Sainte oublie de préciser qu''il y a moins de deux semaines, il n'a pas pu présenter ses dossiers, pourtant des sujets importants, pour quorum insuffisant , alors que la plénière a été reconvoquée aussi, et que là encore, le lendemain il n'y avait pas de quorum non plus !
Donc autant à la CTM, dans les EPCI, et dans bon nombres d'organisations, les élus ne voient pas la nécessité d'être présents .
Nilor conteste Marie-Jeanne. Ba péyi-a an chans exclut Miguel Laventure, et il n'est pas certain que le groupe PPM après les présidentielles, et dans la perspective des municipales soit en ordre de marche.
Donc si la décomposition politique est avérée, personne ne croit en une situation qui n'évolue pas. La vraie question est de savoir quelle sera la nouvelle offre politique et quel sera le poids des alliances.
Il ne serait pas étonnant que dans les jours prochains, les uns et les autres se positionnent définitivement et annoncent leur alliance définitive. Nous ne serions pas étonnés d'une élection où les groupes fassent alliance dès le premier tour.
Il n'est pas interdit de penser que Miguel Laventure fasse alliance avec le MIM au premier tour ainsi que Bruno Nestor Azérot, et que le groupe Péyi-a ne se retrouve aussi dans une alliance au premier tour avec le PPM, d'autant qu'il n'est pas à exclure que Serge Letchimy s’interroge encore !
Nous pouvons nous tromper mais nous imaginons que ce qui est important pour les élus actuels, souvent très jeunes d'âge, c'est forcément de se retrouver dans l'emballage finale du second tour de l'élection de la CTM !
Cependant, il n'est pas dit qu'une crise sociale d'ici là ne vienne troubler le jeu davantage !
.
Donc si la décomposition politique est avérée, personne ne croit en une situation qui n'évolue pas. La vraie question est de savoir quelle sera la nouvelle offre politique et quel sera le poids des alliances.
Il ne serait pas étonnant que dans les jours prochains, les uns et les autres se positionnent définitivement et annoncent leur alliance définitive. Nous ne serions pas étonnés d'une élection où les groupes fassent alliance dès le premier tour.
Il n'est pas interdit de penser que Miguel Laventure fasse alliance avec le MIM au premier tour ainsi que Bruno Nestor Azérot, et que le groupe Péyi-a ne se retrouve aussi dans une alliance au premier tour avec le PPM, d'autant qu'il n'est pas à exclure que Serge Letchimy s’interroge encore !
Nous pouvons nous tromper mais nous imaginons que ce qui est important pour les élus actuels, souvent très jeunes d'âge, c'est forcément de se retrouver dans l'emballage finale du second tour de l'élection de la CTM !
Cependant, il n'est pas dit qu'une crise sociale d'ici là ne vienne troubler le jeu davantage !
.