MAKAC LA n’est pas donc pas à la remorque d’aucun groupe financier et notre parole est libre osées, parfois arrogante, mais toujours respectueuse.
Nous disons aux politique ce que nous pensons d’eux en les regardant à hauteur d’homme y compris au plus charismatique d’entre eux. Mais nous ne sommes pas diffuseur d’insulte de mépris et de connerie raciste et idiote.
C’est pour nous l’occasion de vous donner la Position de MAKAC LA sur la question de l’affaire dite du Lycée Schœlcher. Sur l’arrêt des travaux AMJ à raison de stopper ce chantier. MAKAC LA est persuadé que soit Letchimy c’est trompé soit on l’a trompé. Intentionnellement ou involontairement il se sont tous trompés. Sauf que certaines entreprises ont organisées un raquette sur ce chantier. Voici donc au moins une raison suffisante d’arrêter ce massacre, à minima le temps de filer la pelote.
Ce n’est pas faire allégeance au nouveau président que de dire cela. Mais diffuser le texte reçu à notre rédaction sans dire mot serait lui manqué de respect. MAKAC LA paka ba moun bouch li pou mangé piman.
Nous disons aux politique ce que nous pensons d’eux en les regardant à hauteur d’homme y compris au plus charismatique d’entre eux. Mais nous ne sommes pas diffuseur d’insulte de mépris et de connerie raciste et idiote.
C’est pour nous l’occasion de vous donner la Position de MAKAC LA sur la question de l’affaire dite du Lycée Schœlcher. Sur l’arrêt des travaux AMJ à raison de stopper ce chantier. MAKAC LA est persuadé que soit Letchimy c’est trompé soit on l’a trompé. Intentionnellement ou involontairement il se sont tous trompés. Sauf que certaines entreprises ont organisées un raquette sur ce chantier. Voici donc au moins une raison suffisante d’arrêter ce massacre, à minima le temps de filer la pelote.
Ce n’est pas faire allégeance au nouveau président que de dire cela. Mais diffuser le texte reçu à notre rédaction sans dire mot serait lui manqué de respect. MAKAC LA paka ba moun bouch li pou mangé piman.
Comment une telle connerie peut elle être écrite ?
Alfred Marie-Jeanne n’a aucun atome crochu avec le lycée Schoelcher. En effet, ce lycée à son époque servait essentiellement de rampe de lancement à des jeunes qui souvent partaient en Métropole pour poursuivre des études supérieures. Ils revenaient ensuite médecins, avocats, professeurs, ingénieurs etc. Ils avaient en commun non seulement le lycée Schoelcher mais également les universités françaises. Essentiellement Bordeaux, Paris, Montpellier.
Cela crée forcément des liens forts. Alfred Marie-Jeanne n’a pas connu cela. Il n’a jamais fait d’études hors de la Martinique. Après le lycée Schoelcher il intégra l’Ecole Normale et c’est tout compte fait par la petite porte qu’il a accédé à un poste de professeur de l’éducation nationale.
Dès lors il ne ressent pas personnellement le caractère patrimonial du lycée Schoelcher. Il doit plutôt le ressentir comme le patrimoine d’une certaine élite dont il ne fait pas partie et dont il s’est sans doute senti exclu au moment où il fréquentait ce lycée. Eu égard à ses origines modestes et provinciales. C’est donc sans état d’âme qu’il l’aurait volontiers reconstruit avec n’importe quelle architecture. Et c’est sans doute également sans état d’âme qu’il pourrait fort bien ne pas le reconstruire.
Cela crée forcément des liens forts. Alfred Marie-Jeanne n’a pas connu cela. Il n’a jamais fait d’études hors de la Martinique. Après le lycée Schoelcher il intégra l’Ecole Normale et c’est tout compte fait par la petite porte qu’il a accédé à un poste de professeur de l’éducation nationale.
Dès lors il ne ressent pas personnellement le caractère patrimonial du lycée Schoelcher. Il doit plutôt le ressentir comme le patrimoine d’une certaine élite dont il ne fait pas partie et dont il s’est sans doute senti exclu au moment où il fréquentait ce lycée. Eu égard à ses origines modestes et provinciales. C’est donc sans état d’âme qu’il l’aurait volontiers reconstruit avec n’importe quelle architecture. Et c’est sans doute également sans état d’âme qu’il pourrait fort bien ne pas le reconstruire.