Vous savez que notre webzine est un magazine engagé. Notre ligne éditoriale est tolérante mais veut avant tout lutter contre toutes stigmatisations, et toutes violences physiques.Nos observations sur la réponse de Monsieur Bérisson et sa bande sera de préciser encore plus notre engagement. Pour bien montrer que nous n'avons pas de problèmes personnels avec Olivier Bérisson, mais un questionnement sur son actuel comportement, nous pouvons faire la preuve que nous lui donnons régulièrement la parole dans ce webzine. Mais pouvons nous accepter pour autant que certains, dont lui, combattent la liberté de culte en Martinique. La réponse est non.
Comprenez amis lecteurs, qu'il s'agit bien de respecter un principe. Celui de la liberté. La liberté de choix, de religions et de croyances. Donc il n'est pas question pour nous d'opposer des courants de croyances ou des philosophies. Il s'agit de dénoncer des agissements nouveaux qui consistent à provoquer devant leur loge des maçons, comme Bérisson et sa bande l'ont fait à des personnes sur le chemin de leur culte. Personne en Martinique n'accepterait que des adventistes, provoquent devant la porte de leur église, des catholiques. Par conséquent poser le problème de la stigmatisation des francs-maçons martiniquais, par d'autres Martiniquais dans ce webzine MAKACLA.COM , c'est refuser de faire l'autruche en ne disant rien, et réagir vigoureusement contre toutes sortes de privations de libertés. En particulier la liberté de culte.
Cet engagement est de même nature que la question du pourquoi des quatre serpents posée par un éditorialiste de ce magazine directement au Président Emmanuel Macron. Avant la réponse du président, pour faire disparaitre cette provocation, certains avaient trouvé inopportune notre démarche. Jusqu'à retirer notre accréditation. Mais c'est le passé.
D'autre part et c'est à notre avis le plus grave, aujourd'hui c'est que Monsieur Olivier Bérisson, avec ces attaques répétées, risque de faire du mal à d'autres panafricanistes, qui défendent comme lui certaines valeurs, et qui ne partagent pas sa seule vision étriquée. D'autres panafricanistes sont tolérants et dialoguent avec les différents corps constitués, de politique, d'avenir, de développement durable.
Voici un post de panafricaniste s'interrogeant sur Bérrisson je cite " Mbuta MPaki "Berisson s'est il défini comme panafricain ??
Le mouvement panafricain est bien plus grand et porte en son sein un grand projet civilisationnel qui a comme ancrage la terre mère Katiopa, et une vision liée à l'ancestralité Kamit. Ce n'est surtout pas le migan du ''Martinicanisme''
En effet le panafricanisme ne s’arrête pas au mouvement Mun, ni même aux voleurs de sucres, et encore moins aux stigmatisants de francs-maçons.
Le panafricanisme ce n'est pas uniquement non plus comme il le dit ; je cite " l'unité des éléments divins : l'eau, l'air, la terre, le soleil, les êtres vivants visibles et invisibles, pour remettre sur terre l'amour en tout et tous...." Ce n'est pas uniquement l'aspect vaudouisant, encore qu'il n'y ait pas de mal , ni honte à pratiquer le vaudou. C'est une liberté de culte aussi !
Car le panafricanisme, c'est avant tout la tolérance, celle qui veut que les valeurs piétinées soient respectées, mais c'est essentiellement une espérance. Et si Monsieur Bérisson et sa bande qui disent avoir le projet politique de diriger un jour le pays estiment qu'ils ont des questions à poser, qu'ils les posent, sans persécution des uns et des autres !
C'est tout le contraire de ce que fait Bérisson et sa bande.
C'est son droit de se tromper, mais c'est aussi le nôtre, en notre qualité d'homme, donc de Mun aussi, d'éditorialiste certainement, et de média engagé assurément que de dire stop.
Stop à l'amalgame, stop à la désinformation, stop à la manipulation politique.
Ponctuellement et pour conclure, nous invitons monsieur Bérisson à parfaire ses connaissances sur les choses du monde, réelles où immatérielles, en prenant une précaution, celle de ne pas jouer avec des concepts plus grands que lui, et dont il voudrait tirer à son profit politique, toutes puissances personnelles. Car c'est bien souvent en jouant avec le feu, que l'on embrase la forêt de toutes les connaissances.
Nous vous conseillons de cliquer sur la page 2 pour lire le texte de monsieur Olivier Bérisson et pour connaitre les observations que nous en faisons.
Cet engagement est de même nature que la question du pourquoi des quatre serpents posée par un éditorialiste de ce magazine directement au Président Emmanuel Macron. Avant la réponse du président, pour faire disparaitre cette provocation, certains avaient trouvé inopportune notre démarche. Jusqu'à retirer notre accréditation. Mais c'est le passé.
D'autre part et c'est à notre avis le plus grave, aujourd'hui c'est que Monsieur Olivier Bérisson, avec ces attaques répétées, risque de faire du mal à d'autres panafricanistes, qui défendent comme lui certaines valeurs, et qui ne partagent pas sa seule vision étriquée. D'autres panafricanistes sont tolérants et dialoguent avec les différents corps constitués, de politique, d'avenir, de développement durable.
Voici un post de panafricaniste s'interrogeant sur Bérrisson je cite " Mbuta MPaki "Berisson s'est il défini comme panafricain ??
Le mouvement panafricain est bien plus grand et porte en son sein un grand projet civilisationnel qui a comme ancrage la terre mère Katiopa, et une vision liée à l'ancestralité Kamit. Ce n'est surtout pas le migan du ''Martinicanisme''
En effet le panafricanisme ne s’arrête pas au mouvement Mun, ni même aux voleurs de sucres, et encore moins aux stigmatisants de francs-maçons.
Le panafricanisme ce n'est pas uniquement non plus comme il le dit ; je cite " l'unité des éléments divins : l'eau, l'air, la terre, le soleil, les êtres vivants visibles et invisibles, pour remettre sur terre l'amour en tout et tous...." Ce n'est pas uniquement l'aspect vaudouisant, encore qu'il n'y ait pas de mal , ni honte à pratiquer le vaudou. C'est une liberté de culte aussi !
Car le panafricanisme, c'est avant tout la tolérance, celle qui veut que les valeurs piétinées soient respectées, mais c'est essentiellement une espérance. Et si Monsieur Bérisson et sa bande qui disent avoir le projet politique de diriger un jour le pays estiment qu'ils ont des questions à poser, qu'ils les posent, sans persécution des uns et des autres !
C'est tout le contraire de ce que fait Bérisson et sa bande.
C'est son droit de se tromper, mais c'est aussi le nôtre, en notre qualité d'homme, donc de Mun aussi, d'éditorialiste certainement, et de média engagé assurément que de dire stop.
Stop à l'amalgame, stop à la désinformation, stop à la manipulation politique.
Ponctuellement et pour conclure, nous invitons monsieur Bérisson à parfaire ses connaissances sur les choses du monde, réelles où immatérielles, en prenant une précaution, celle de ne pas jouer avec des concepts plus grands que lui, et dont il voudrait tirer à son profit politique, toutes puissances personnelles. Car c'est bien souvent en jouant avec le feu, que l'on embrase la forêt de toutes les connaissances.
Nous vous conseillons de cliquer sur la page 2 pour lire le texte de monsieur Olivier Bérisson et pour connaitre les observations que nous en faisons.