Ayant commencé à boxer avec les Camille DARSIERE, Alfred MARIE JEANNE, Marcel MARAN, Pierre PETIT, comment peut-il en être autrement ? Ce n’est pas comme, en 2017, où, on fait de la politique avec une page Facebook !
Ce n’est pas lui lécher les bottes, c’est reconnaître à sa juste valeur un militant politique consistant et expérimenté qui a pris le temps de sédimenter.
Voici quelques faits d’armes dont FC peut se gargariser. Il est le seul concurrent politique du PPM à avoir battu Césaire de son vivant. Quand Francis CAROLE et son groupe Asé Pléré An Lité ont gagné de canton de bas maternité, Césaire était vivant. Quand Francis CAROLE a installé MALOUDA sur le canton du bras armé du PPM, Renaud de GRANDMAISON, c’était un tour de force, dont on imagine plus le retentissement à l’époque. C’était à l’époque un outrage à Césaire.
Francis CAROLE avait dans le temps organisé dans la ville un réseau de solidarité et d’assistance sociale dont l’agilité faisait trembler l’état-major de la ville et du PPM. Une guerre interne la vieillesse de Césaire et l’arrivée de pierre SAMOT au Lamentin, affaiblissait l’économie de la ville et reléguait au second plan la capitale.
La ville basse mourrait en dehors de son festival annuel !
C’est d’une part un problème d’homme, celui qui a abouti à la création du PALIMA et un changement politique issu également, lui d’une haine entre Claude LISE et Camille DARSIERE qui aura, elle débouchée sur l’élection de Serge LETCHIMY à la mairie qui auront arrêté une ascension de FC au centre de décision de la ville qui pouvait à l’époque être considérée comme irréversible.
Le bord tiré vers le MIM n’est rien d’autre une bouffée d’air au bon moment, presque par dépit, qui aura permis d’éviter l’étouffement d’un concurrent valable.
Sauf que ce bord aura été dans le parcours politique de Francis CAROLE l’avancée la plus porteuse. Francis CAROLE contrôle en ce moment 40 % du budget de la CTM. C’est le plus gros portefeuille de l’assemblée. C’est comme si Francis CAROLE était devenu le président du conseil général avec tous les pouvoirs et toutes possibilités qui se rattachent à un tel budget. Sans doute avec moins de liberté, de moyen et de représentativité.
Loin de se satisfaire d’une telle responsabilité, et de se donner comme objectif de devenir pourquoi pas demain le patron de cette collectivité Francis CAROLE avance avec une stratégie curieuse. Il semble dire qu’il est prêt à tout abandonner pour un poste de député. Les deux poste d’exécutif ne sont pas cumulables.
Cliquer sur la page 2 pour lire la suite de l'article.
Ce n’est pas lui lécher les bottes, c’est reconnaître à sa juste valeur un militant politique consistant et expérimenté qui a pris le temps de sédimenter.
Voici quelques faits d’armes dont FC peut se gargariser. Il est le seul concurrent politique du PPM à avoir battu Césaire de son vivant. Quand Francis CAROLE et son groupe Asé Pléré An Lité ont gagné de canton de bas maternité, Césaire était vivant. Quand Francis CAROLE a installé MALOUDA sur le canton du bras armé du PPM, Renaud de GRANDMAISON, c’était un tour de force, dont on imagine plus le retentissement à l’époque. C’était à l’époque un outrage à Césaire.
Francis CAROLE avait dans le temps organisé dans la ville un réseau de solidarité et d’assistance sociale dont l’agilité faisait trembler l’état-major de la ville et du PPM. Une guerre interne la vieillesse de Césaire et l’arrivée de pierre SAMOT au Lamentin, affaiblissait l’économie de la ville et reléguait au second plan la capitale.
La ville basse mourrait en dehors de son festival annuel !
C’est d’une part un problème d’homme, celui qui a abouti à la création du PALIMA et un changement politique issu également, lui d’une haine entre Claude LISE et Camille DARSIERE qui aura, elle débouchée sur l’élection de Serge LETCHIMY à la mairie qui auront arrêté une ascension de FC au centre de décision de la ville qui pouvait à l’époque être considérée comme irréversible.
Le bord tiré vers le MIM n’est rien d’autre une bouffée d’air au bon moment, presque par dépit, qui aura permis d’éviter l’étouffement d’un concurrent valable.
Sauf que ce bord aura été dans le parcours politique de Francis CAROLE l’avancée la plus porteuse. Francis CAROLE contrôle en ce moment 40 % du budget de la CTM. C’est le plus gros portefeuille de l’assemblée. C’est comme si Francis CAROLE était devenu le président du conseil général avec tous les pouvoirs et toutes possibilités qui se rattachent à un tel budget. Sans doute avec moins de liberté, de moyen et de représentativité.
Loin de se satisfaire d’une telle responsabilité, et de se donner comme objectif de devenir pourquoi pas demain le patron de cette collectivité Francis CAROLE avance avec une stratégie curieuse. Il semble dire qu’il est prêt à tout abandonner pour un poste de député. Les deux poste d’exécutif ne sont pas cumulables.
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